Aspects religieux du XIe siècle
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 21, Heft 2, S. 396-399
ISSN: 1953-8146
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In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 21, Heft 2, S. 396-399
ISSN: 1953-8146
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 29, Heft 3, S. 415-425
Georges Nlvat, Religious aspects of Russian atheists.
Russian atheism appeared suddenly without the stage of free-thinking and without being really prepared by "Voltairianism". In the 1860's, a generation of unbelieving fanatics springs up. Their bible, Chcmyshevskii's novel, Chto delat' ? (What is to be done?) is filled with biblical parables. A Russian atheist seems often to be a believer "upside down". Chekhov's story, "Na puti" (On the road) traces a portrait of this generation. Acceptance of Darwinism as "scientific faith" involves also religious characteristics. Better than others, Dostoevskii expressed the ambivalence of a Russian atheist who wants to "kill God". The article studies the case of Pryzhov, author of Russia of taverns, fierce exposer of obscurantist aspects of Orthodoxy of his time, one of the characters of Dostoevskii 's novel, Besy (The devils).
In: Perspectives chinoises: Shenzhou-zhanwang, Band 21, Heft 1, S. 46-49
ISSN: 1021-9013
International audience ; Tout pouvoir public à Rome trouve sa légitimité dans une confirmation divine et le pouvoir impérial ne fait pas exception. Les formes et les rites de cette validation suivaient néanmoins encore les pratiques républicaines et n'impliquèrent jamais que la charge suprême de l'État fût divinisée-au moins du point de vue institutionnel. Comme les magistrats, l'empereur romain aussi était choisi par les hommes et agréé par les dieux ; cependant la position d'empereur était le résultat d'une combinaison de pouvoirs et de prérogatives diverses, chacune avec leurs propres rites de validation. En tant que princeps de la res publica, père de la patrie et garant de la paix et du non-retour vers le chaos des guerres civiles, l'empereur était symbole et instrument de la bienveillance que les dieux avaient toujours démontrée envers Rome, mais il n'etait pas dieu lui-même. L'empereur n'était pas non plus l'élu des dieux, car aucun rite divinatoire public ne fut jamais introduit pour choisir un empereur plutôt qu'un autre, c'est-à-dire pour réserver aux dieux une prérogative qui restait l'exclusivité du sénat et du peuple. Le divin rentre en relation avec le pouvoir impérial dans un très grand nombre d'occasions et il est impossible de rendre compte de cette complexité dans l'espace d'un simple article. Ce qui nous occupera ici est donc seulement l'une des facettes de cette relation, celle qui concerne l'investiture impériale et la dimension religieuse de l'exercice du pouvoir civil et militaire par l'empereur. Cette synthèse vise en particulier à éclaircir certains points qui pourraient faire l'objet de malentendus et donner la fausse impression d'une origine divine du pouvoir impérial. En effet, de nombreuses sources montrent que l'idée de la divinité de l'empereur régnant était largement répandue, mais nous devons être capables de les interpréter correctement dans leur contexte religieux, politique, topographique et social. Dans une religion sans révélation ni dogme ni autorité centrale, comme l'était ...
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International audience ; Tout pouvoir public à Rome trouve sa légitimité dans une confirmation divine et le pouvoir impérial ne fait pas exception. Les formes et les rites de cette validation suivaient néanmoins encore les pratiques républicaines et n'impliquèrent jamais que la charge suprême de l'État fût divinisée-au moins du point de vue institutionnel. Comme les magistrats, l'empereur romain aussi était choisi par les hommes et agréé par les dieux ; cependant la position d'empereur était le résultat d'une combinaison de pouvoirs et de prérogatives diverses, chacune avec leurs propres rites de validation. En tant que princeps de la res publica, père de la patrie et garant de la paix et du non-retour vers le chaos des guerres civiles, l'empereur était symbole et instrument de la bienveillance que les dieux avaient toujours démontrée envers Rome, mais il n'etait pas dieu lui-même. L'empereur n'était pas non plus l'élu des dieux, car aucun rite divinatoire public ne fut jamais introduit pour choisir un empereur plutôt qu'un autre, c'est-à-dire pour réserver aux dieux une prérogative qui restait l'exclusivité du sénat et du peuple. Le divin rentre en relation avec le pouvoir impérial dans un très grand nombre d'occasions et il est impossible de rendre compte de cette complexité dans l'espace d'un simple article. Ce qui nous occupera ici est donc seulement l'une des facettes de cette relation, celle qui concerne l'investiture impériale et la dimension religieuse de l'exercice du pouvoir civil et militaire par l'empereur. Cette synthèse vise en particulier à éclaircir certains points qui pourraient faire l'objet de malentendus et donner la fausse impression d'une origine divine du pouvoir impérial. En effet, de nombreuses sources montrent que l'idée de la divinité de l'empereur régnant était largement répandue, mais nous devons être capables de les interpréter correctement dans leur contexte religieux, politique, topographique et social. Dans une religion sans révélation ni dogme ni autorité centrale, comme l'était ...
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In: Bulletin de la Classe des Beaux-Arts, Band 61, Heft 1, S. 20-42
In: Inflexions, Band 9, Heft 2, S. 175-194
Partant de l'idée que les doctrines martiales révèlent les présupposés que les nations entretiennent sur elles-mêmes et permettent de saisir la nature de leur rapport aux autres peuples et au monde, John Christopher Barry analyse le nouveau credo du soldat de 2003 de l'armée américaine. Il s'agit pour lui à la fois d'un projet politique ayant pour objectif de transformer les forces armées en légions expéditionnaires impériales, mais aussi la réaffirmation d'une identité pérenne américaine où la force vertueuse, héritée des puritains, passe par la destruction de l'ennemi plutôt que par sa défaite. « L'Amérique est la seule nation au monde fondée sur un credo. » dira l'anglais G.K. Chesterton, « elle est une nation avec l'âme d'une église ».
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 48, Heft 1, S. 53-82
ISSN: 1777-5825
In: Migrations société: revue trimestrielle, Band 172, Heft 2, S. 137-154
ISSN: 2551-9808
W epoce antycznej ogromną popularnością cieszyła się koncepcja boskości ziemskich władców. Zjawisko to obserwujemy począwszy od eposów Homera, poprzez monarchię hellenistyczną, aż po Augusta i później, u pogańskich lub chrześcijańskich następców Dioklecjana. Rzymski poeta Klaudian nimbem boskości otacza przede wszystkim cesarza Honoriusza oraz jego najbliższego współpracownika Stylichona. Podczas gdy temu ostatniemu przypisuje "bliskość bogów" (Stil. III 130) i "boskie" serce (6 C.H. 233), samego cesarza obdarza często przydomkiem sacer oraz plasuje go na równi z Jowiszem (C.H. praef. 23). Wynika z tego przekonanie Klaudiana o boskości imperatora lub przynajmniej o jego związkach z boskością. W twórczości rzymskiego poety przejawy boskości bohaterów podzielić możemy na czynne i bierne. Wśród biernych wyróżniamy: piękno fizyczne, działania przyrody w najważniejszych chwilach panowania, świetlny blask, jaki bije od rządzących, apoteozę związaną z przeobrażeniem się w gwiazdy.W ujęciu Klaudiana uroda rządzących staje się ich pierwszym atrybutem; koresponduje ona z zaletami charakteru i walorami ducha. Co zaś tyczy się współudziału przyrody w podniosłych chwilach rządów, reprezentuje ona niejako siły boskie. I tak na przykład, gdy Wenus udaje się do Mediolanu na zaślubiny Honoriusza z Marią, pod wpływem tchnienia Akwilonu niebo nad Alpami zupełnie się rozchmurza (ep. 184–188). Podobnie natura wyraża też swą radość z powodu małżeństwa Stylichona z Sereną (Stil. I 84–88). Jeśli chodzi o światłość, bije ona już od samego Rzymu (6 C.H. 410–412). Blask rządzących nim porównuje natomiast Klaudian z blaskiem bijącym od planet, gwiazd i, co rzadkie w czasach twórcy, z poświatą księżycową. Wpływom orientalnym zawdzięczamy natomiast przyrównywanie emanacji sprawujących władzę do światła słonecznego.Przejaw boskości władców stanowi wreszcie u Klaudiana katasterismós – przemiana w gwiazdy. Ten typ apoteozy, zapoczątkowany w Grecji okresu klasycznego, zdobył sporą popularność także wśród Rzymian. Już Cyceron w Śnie Scypiona (Rep. VI 13) obiecywał wszak wielkim tego świata nieśmiertelność "astralną". Autor Porwania Prozerpiny poświęca natomiast sporo miejsca gwiezdnej przyszłości cesarza Teodozjusza Wielkiego. Boskość bohaterów Klaudiana definiują ponadto aspekty czynne: wyjątkowy wpływ na zwycięstwo w trakcie trwania działań militarnych oraz wszelkie cuda i przepowiednie w okresie pokoju.Co tyczy się pierwszego z atutów, wyraża się on na przykład poprzez zdolność władcy do podporządkowania sobie wroga za sprawą samego pojawienia się w danym miejscu. Tak dzieje się chociażby w momencie, kiedy Stylichon jednym tylko spojrzeniem obezwładnia plemiona reńskie (4 C.H. 444–449). Poza polem walki wyjątkową moc rządzących podkreślają cuda oraz przepowiednie; dzięki nim ludność może zorientować się, które z decyzji rządzących podobają się bogom, a które budzą ich sprzeciw. Obecność cudów i wróżb w poezji Klaudiana nie powinna dziwić, bowiem w IV wieku po Chrystusie wciąż jeszcze przywiązywano do nich wielką rolę.
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In: La politique africaine, Heft 55, S. 52-56
ISSN: 0244-7827
Depuis quelques annees, les confreries et les marabouts qui agissaient en milieu rural ont reussi a etendre leurs activites en milieu urbain. L'auteur propose de souligner certains aspects du role joue par les confreries et les marabouts dans la vie sociale et politique. Les marabouts apparaissent aupres des instances politiques comme des "marabouts de cour" tout en etant responsables de communautes autonomes, comme il en fut d'ailleurs de tout temps. Seulement la difference reside actuellement dans le fait que les elites politiques et les leaders religieux sont issus des memes milieux. L'auteur presente les differents elements propres a l'islam en Mauritanie ainsi que sa dimension transnationale. Il constate que le nombre de ceux qui sont affilies a une confrerie est actuellement en declin et qu'une rupture est intervenue dans la maniere dont se determinent les affiliations a celle-ci. La question qui se pose maintenant, est de savoir dans quelle mesure le nouveau mouvement islamique sera susceptible de creer de nouvelles identites pour ceux qui s'y attachent et de fournir la base de nouvelles alliances trans-ethniques. (DÜI-Mfg)
World Affairs Online
In: Politique africaine, Band 55, Heft 1, S. 52-56
ISSN: 2264-5047
Aspects of the religious scene. Marabouts and brotherhoods.
Apparently religious life in Mauritanian society perpetuates traditional features characterized by the influence of Saints and leaders of religious brotherhoods. This obscures important developments : the influence of brotherhood organisational patterns borrowed from Senegal is one of them, as well as the interpenetration of urban and rural Islamic patterns. However, these religious affiliations are partly different from the other forms of social affiliations and it is difficult to know how they will evolve.
In: Studia iranica
In: Cahier 56
In: Conférences d'études iraniennes Ehsan et Latifeh Yarshater 6
World Affairs Online