Waiting for disruption?!: undersea autonomy and the challenging nature of naval innovation
In: RSIS working paper series no. 302
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In: RSIS working paper series no. 302
Singapour a connu, au cours des deux dernières décennies, d'importantes mutations de son économie, de sa population, et de son identité même en tant que ville-Etat. Face aux tendances nouvelles de la globalisation, et pour conforter son statut de pays le plus développé d'Asie du SudEst, le gouvernement singapourien a en effet décidé dans les années 1990 de mettre l'accent sur les industries de pointe et sur les services, et de faire de l'urbanité paysagée une vitrine de la compétitivité économique de la ville-Etat et le symbole de la qualité de la vie urbaine qui y a été inventée. Durant cette transition, qui est loin d'être achevée tant la ville est immergée dans un processus profond de transformation permanente1 , le paradigme d'une ville verte a été fréquemment mis en avant, et illustré par des réalisations et projets innovants qui ont placé dans divers domaines la ville au centre de l'attention régionale. Singapour s'est ainsi affirmée sur la scène internationale comme le lieu de conception et d'expérimentation de modalités plus soutenables d'être à la ville. Pourtant, entre des programmes phares aux déterminations autant idéologiques et de marketing urbain que de politique environnementale, et données énergétiques durablement fossilisées dans la posture du non-renouvelable, les ambiguïtés demeurent nombreuses. L'objet de la présente contribution est ainsi de tenter d'analyser ce qui a été fait à Singapour au cours des dernières années à l'aune d'un regard critique sur les pistes de durabilité expérimentées dans la ville-Etat.
BASE
Singapour a connu, au cours des deux dernières décennies, d'importantes mutations de son économie, de sa population, et de son identité même en tant que ville-Etat. Face aux tendances nouvelles de la globalisation, et pour conforter son statut de pays le plus développé d'Asie du SudEst, le gouvernement singapourien a en effet décidé dans les années 1990 de mettre l'accent sur les industries de pointe et sur les services, et de faire de l'urbanité paysagée une vitrine de la compétitivité économique de la ville-Etat et le symbole de la qualité de la vie urbaine qui y a été inventée. Durant cette transition, qui est loin d'être achevée tant la ville est immergée dans un processus profond de transformation permanente1 , le paradigme d'une ville verte a été fréquemment mis en avant, et illustré par des réalisations et projets innovants qui ont placé dans divers domaines la ville au centre de l'attention régionale. Singapour s'est ainsi affirmée sur la scène internationale comme le lieu de conception et d'expérimentation de modalités plus soutenables d'être à la ville. Pourtant, entre des programmes phares aux déterminations autant idéologiques et de marketing urbain que de politique environnementale, et données énergétiques durablement fossilisées dans la posture du non-renouvelable, les ambiguïtés demeurent nombreuses. L'objet de la présente contribution est ainsi de tenter d'analyser ce qui a été fait à Singapour au cours des dernières années à l'aune d'un regard critique sur les pistes de durabilité expérimentées dans la ville-Etat.
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Singapour a connu, au cours des deux dernières décennies, d'importantes mutations de son économie, de sa population, et de son identité même en tant que ville-Etat. Face aux tendances nouvelles de la globalisation, et pour conforter son statut de pays le plus développé d'Asie du SudEst, le gouvernement singapourien a en effet décidé dans les années 1990 de mettre l'accent sur les industries de pointe et sur les services, et de faire de l'urbanité paysagée une vitrine de la compétitivité économique de la ville-Etat et le symbole de la qualité de la vie urbaine qui y a été inventée. Durant cette transition, qui est loin d'être achevée tant la ville est immergée dans un processus profond de transformation permanente1 , le paradigme d'une ville verte a été fréquemment mis en avant, et illustré par des réalisations et projets innovants qui ont placé dans divers domaines la ville au centre de l'attention régionale. Singapour s'est ainsi affirmée sur la scène internationale comme le lieu de conception et d'expérimentation de modalités plus soutenables d'être à la ville. Pourtant, entre des programmes phares aux déterminations autant idéologiques et de marketing urbain que de politique environnementale, et données énergétiques durablement fossilisées dans la posture du non-renouvelable, les ambiguïtés demeurent nombreuses. L'objet de la présente contribution est ainsi de tenter d'analyser ce qui a été fait à Singapour au cours des dernières années à l'aune d'un regard critique sur les pistes de durabilité expérimentées dans la ville-Etat.
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In: Défense nationale et sécurité collective. [Französische Ausgabe], Band 64, Heft 10, S. 149-154
ISSN: 1950-3253, 0336-1489
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 25-26, Heft 2, S. 287-299
ISSN: 1951-624X
In: Sciences humaines: SH, Band 307, Heft 10, S. 15-15
International audience ; Ce chapitre examine la manière avec laquelle le renforcement de la présence de l'art dans l'espace public a constitué à Singapour un élément clé des politiques d'amélioration du cadre de vie, et donc un instrument d'urbanisme. Mais le chapitre illustre aussi les ambiguïtés de cette politique: éviction d'autres usagers de l'espace public et surtout fortes tutelle et pression politique du régime sur les formes d'expression artistique.
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In: Jeune Afrique l'intelligent: hebdomadaire politique et économique international ; édition internationale, Heft 2332, S. 81
ISSN: 0021-6089
In: Bulletin de la Classe des Beaux-Arts, Band 14, Heft 7, S. 249-253
In: International affairs, Band 37, Heft 1, S. 123
ISSN: 1468-2346
In: Futuribles, Band 416, Heft 1, S. 55-66
Futuribles a lancé, dans son numéro de juillet-août 2016 (n° 413), une « saga » sur les relations et apports de la science-fiction à la prospective, afin de discerner si, et dans quelle mesure, les auteurs de science-fiction ont eu une influence sur les imaginaires collectifs et sur les réflexions prospectives. Après avoir traité ces questions sous l'angle sociopolitique et environnemental, nous reprenons cette série en abordant la science et la technologie : quels sont les rapports entre la science, la technologie et la science-fiction ? Thomas Michaud s'intéresse ici au rôle de la science-fiction dans la recherche et l'innovation, en particulier au sein des centres de R&D (recherche-développement), publics ou privés. S'appuyant sur les cas spécifiques de l'Agence spatiale européenne, de la Nano Regions Alliance (NANORA), des Orange Labs, et d'Intel et Microsoft, il montre ainsi comment la science-fiction a pu nourrir (et nourrit encore) certains projets de recherche futuristes, mais aussi comment elle peut être utilisée pour susciter des investissements ou la confiance de l'opinion afin de promouvoir certaines recherches ou technologies spécifiques. Thomas Michaud souligne enfin comment certaines entreprises stimulent ou sponsorisent les auteurs de science-fiction (SF) afin de développer un imaginaire SF en phase avec leur propre stratégie de long terme et les innovations sur lesquelles elles travaillent. Autant d'interactions que les prospectivistes doivent examiner avec un regard critique, de sorte de tracer des lignes d'avenir plausibles. S.D.
In: Revue internationale de la Croix-Rouge: débat humanitaire, droit, politiques, action = International Review of the Red Cross, Band 48, Heft 574, S. 505-505
ISSN: 1607-5889