In this March 4, 1959 letter to Wallace Lamb John S. Apperson Jr. lamented the fact that their 1959 attempt to correct a 1957 law was not supported by the New York State legislature. Apperson was grieved that more island trees and shrubs were bound to die as a result.
On March 13, 1953 John S. Apperson Jr. wrote a letter to Mrs. Lydecker, the President of the Federated Garden Clubs of New York State, thanking her for her efforts at the annual Garden Club meeting and informing her of the recent Appellate Court victory in the Lake George water levels case.
On October 8, 1931 John S. Apperson Jr. wrote to Senator Ellwood Rabenold to praise his debate on the Hewitt Amendment. He also mentioned that 35,000 tree-cutting pamphlets had been printed and distributed.
On December 28, 1929 John S. Apperson Jr. wrote to George Foster Peabody to lay out his views on conservation for the Adirondacks. Apperson was afraid the new Conservation Commissioner might find himself supporting those who wish to exploit the Adirondacks. Apperson opposed development on top of Whiteface Mountain and he urged continued protection of Article 7 Section 7 of the New York State constitution.
In this May 10, 1923 letter John S. Apperson Jr. thanked Dr. Howard Melish for his speech at the public hearing before the NYS Senate Finance Committee on the Lake George Park bills. As a result of the hearing and the work of Apperson and his associates $75,000 was appropriated by New York State for the purchase of lands on Tongue Mountain, Lake George, NY.
On May 24, 1917 John S. Apperson Jr. wrote a letter to Dr. E. M. Stires to inform him that the Governor of New York signed the Lake George bill that appropriated $10,000 for protecting the state owned islands of Lake George and thanking Stires for his efforts with Senator Mills.
On April 9, 1914 John S. Apperson Jr. wrote this letter to Francis Bowes Sayres providing advice on how to get students interested in the outdoors in response to Sayres' letter of March 27, 1914. Apperson provided several suggestions and recommended Mr. Sayres speak with the outdoor clubs at both Dartmouth and the University of Vermont. Apperson also asked if Sayres knew anyone who would be interested in joining the political fight over protecting the Adirondack Park.
This Lake George Islands Pamphlet was created by John S. Apperson Jr. and distributed to New York State legislators in 1917. Apperson wanted to show them the damage that had been done to the islands and to encourage them to vote for an appropriations bill for riprap work on Lake George. It contains numerous captioned pictures and letters about the islands of Lake George. Apperson's campaign was successful and the appropriation was approved.
Letter from Govenor Herbert H. Lehman to William Wallace Farley, October 22, 1940 inviting Mr. Farley to a supper party in honor of Henry A. Wallace, Vice Presidential Candidate and running mate of Franklin D. Roosevelt in the 1940 U.S. Presidential Election.
Selections from Plato, Aristotle, Polybius, Cicero, St. Augustine, John of Salisbury, St. Thomas Aquinas, Dante, Marsiglio of Padua, Nicholas of Cusa, Machiavelli, Luther, Calvin, the Vindiciae contra tyrannos, Bodin, Hooker, Grotius, Milton, Hobbes, Harrington, Locke, Montesquieu, Ronsseau, Paine, and Bentham. ; "General histories of political thought": p. xvi: "Selected bibliography" at end of each chapter. ; Mode of access: Internet.
Indenture of purchase between John S. Apperson Jr. and the Nature Conservancy for Dome Island for the cost of one dollar from December 13, 1956. This concluded his decades long fight to see the island protected and kept as wild.
La fixation de la frontière linguistique en 1962-1963 est le résultat d'un long processus entamé dans les années 1870. Ses conséquences, quant à elles, se font encore sentir aujourd'hui, certains éléments de cette évolution — dont le statut des communes de la périphérie bruxelloise et de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde — continuant à diviser les deux communautés. Stéphane Rillaerts rend compte de ces mutations complexes en rassemblant tous les éléments de fait, et en exposant les positions en présence sans parti-pris. Pour chacune des lois portant sur l'emploi des langues en matière administrative, ainsi que pour les principaux projets qui ont précédé ces lois, l'auteur expose l'origine de la réforme et son contexte politique. Il présente les textes, les débats et les votes du parlement, y compris ceux portant sur des amendements controversés, relatifs aux Fourons par exemple. La montée en puissance des votes opposant les deux communautés apparaît ainsi clairement. Il s'avère également qu'au fil du temps, on a abandonné tout critère général décidant du sort des communes, ainsi que le lien avec les données issues des recensements de la population. L'auteur, qui a dépouillé toutes les sources parlementaires et les recensements de la population, compare systématiquement les données issues de ces derniers aux lois linguistiques et à leurs travaux préparatoires. Il présente en outre, en annexe, un tableau synthétisant l'évolution du statut de toutes les communes qui ont été concernées par les lois linguistiques, ce qui permet de reconstituer l'évolution de chaque commune en fonction des données des principaux recensements et des décisions politiques dont elle a fait l'objet. Cette reconstitution minutieuse, et sans précédent, fait ressortir des éléments inattendus. Ainsi, le volet linguistique du recensement a été réintroduit en 1866 à la demande de militants flamands. C'est la loi de 1921, et non celle de 1932, qui a créé les régions linguistiques. Il n'y a pas eu, en 1932, de proposition flamande de passer à un bilinguisme généralisé repoussé par les francophones. L'idée que 300 bourgmestres flamands ont refusé d'appliquer le volet linguistique du recensement de 1960 est également un mythe, de même que l'abandon des communes fouronnaises par les socialistes liégeois. La fixation de la frontière en 1962-1963 n'est pas le résultat d'un véritable compromis, en particulier en ce qui concerne la loi Gilson de 1962. Quant à la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde, elle a été repoussée, en 1963, par la majorité des élus flamands, qui en redoutaient les conséquences pour leurs sièges bruxellois. Au moment où les questions linguistiques ont ranimé les tensions entre les communautés, ce Courrier hebdomadaire permet de comprendre pourquoi les Flamands et les Francophones ont des points de vue aussi divergents et aussi profondément enracinés en la matière. La longue conclusion qui achève l'étude aborde d'ailleurs plusieurs éléments du débat actuel, sans prendre parti, mais en apportant l'éclairage qu'enseigne l'Histoire.