Économie du bien être et production marchande de l'état: une synthèse
In: Revue d'économie politique, Band 89, Heft 2, S. 129-165
ISSN: 0373-2630
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In: Revue d'économie politique, Band 89, Heft 2, S. 129-165
ISSN: 0373-2630
In: Raisons politiques: études de pensée politique, Heft 33, S. 57-80
ISSN: 1291-1941
In: Études internationales, Band 5, Heft 1, S. 171
ISSN: 1703-7891
International audience ; The economy of assistance - the measure of care ; Faisant suite à la 1ère journée " Prendre soin de soi, prendre soin d'autrui " (novembre 2011) qui a permis une approche comparatiste des postures de la sixième action transversale de CITERES, les dynamiques sociales et territoriales (en particulier urbaines) du " prendre soin " seront ici abordées et discutées sous l'angle de l'économie et de la mesure.Il s'agit d'aborder les frontières de décision, de calcul, de mobilisation, et de mise en acte de la sollicitude, dans un cadre concernant la bienfaisance, le médicalisé, les pratiques informelles, le travail social, l'intime. L'approche mettra en contact des approches disciplinaires, des temporalités - du Moyen Âge à nos jours - et des spatialités - Orient-Occident, Nord-Sud ‒ variées mais congruentes. Programme Matin 9h30 Accueil par les organisateurs : A.Bargès, anthropologue et F.O.Touati, historien. François-Olivier Touati (Université de Tours, Citères/EMAM) : Gratuité et prix des soins au Moyen Âge, la vision des médecins (Orient-Occident). Gabriella Piccinni (Université de Sienne) : L'activité bancaire des hôpitaux au Moyen Âge, une œuvre d'assistance : l'exemple de Sienne Nora Lafi (Zentrum moderner Orient, Berlin) : la dimension civique urbaine du soin dans l'Empire ottoman : des hôpitaux d'ancien régime à la période des Tanzîmât Viola Hörbst (Université de Göttingen) : Technologies médicales, pratiques informelles et économie de la procréation en Afrique subsaharienne musulmane Après-midi, 14h30 Benoist Pierre (Université de Tours, CESR) : L'économie de l'assistance selon Théophraste Renaudot. Christelle Rabier (Wellcome Trust & London School of Economics and Political Science) : Financer les soins à l'échelle du quartier : le rôle des institutions paroissiales à Paris, Marseille et Londres, XVIe-XVIIIe siècle. Stéphane Henry (Université du Havre) : Le passage du bénévolat à la professionnalisation médicale : le cas des visiteuses aux XIXe et XXe siècles. Anne Bargès ...
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International audience ; The economy of assistance - the measure of care ; Faisant suite à la 1ère journée " Prendre soin de soi, prendre soin d'autrui " (novembre 2011) qui a permis une approche comparatiste des postures de la sixième action transversale de CITERES, les dynamiques sociales et territoriales (en particulier urbaines) du " prendre soin " seront ici abordées et discutées sous l'angle de l'économie et de la mesure.Il s'agit d'aborder les frontières de décision, de calcul, de mobilisation, et de mise en acte de la sollicitude, dans un cadre concernant la bienfaisance, le médicalisé, les pratiques informelles, le travail social, l'intime. L'approche mettra en contact des approches disciplinaires, des temporalités - du Moyen Âge à nos jours - et des spatialités - Orient-Occident, Nord-Sud ‒ variées mais congruentes. Programme Matin 9h30 Accueil par les organisateurs : A.Bargès, anthropologue et F.O.Touati, historien. François-Olivier Touati (Université de Tours, Citères/EMAM) : Gratuité et prix des soins au Moyen Âge, la vision des médecins (Orient-Occident). Gabriella Piccinni (Université de Sienne) : L'activité bancaire des hôpitaux au Moyen Âge, une œuvre d'assistance : l'exemple de Sienne Nora Lafi (Zentrum moderner Orient, Berlin) : la dimension civique urbaine du soin dans l'Empire ottoman : des hôpitaux d'ancien régime à la période des Tanzîmât Viola Hörbst (Université de Göttingen) : Technologies médicales, pratiques informelles et économie de la procréation en Afrique subsaharienne musulmane Après-midi, 14h30 Benoist Pierre (Université de Tours, CESR) : L'économie de l'assistance selon Théophraste Renaudot. Christelle Rabier (Wellcome Trust & London School of Economics and Political Science) : Financer les soins à l'échelle du quartier : le rôle des institutions paroissiales à Paris, Marseille et Londres, XVIe-XVIIIe siècle. Stéphane Henry (Université du Havre) : Le passage du bénévolat à la professionnalisation médicale : le cas des visiteuses aux XIXe et XXe siècles. Anne Bargès ...
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In: Revue économique, Band 26, Heft 1, S. 138
ISSN: 1950-6694
This article questions the increasing use of "happiness" or "subjective well-being" in order to evaluate public policies and social conditions. In more scientific words, can the blossoming economics of happiness revive the economics of welfare, which is said to be dying? The first section puts economics of happiness in the history of economic thought. The second part presents the methodological arguments and proofs of happiness data relevance, as well the results that open on welfare economics renewal and unusual political recommendations. The last part concludes that happiness is a useful criterion to evaluate society's state, but should not be the only one: happiness data can allow avoiding paternalism and ethnocentrism, for example, but happiness economics face several and serious challenges that should prevent researchers from transforming satisfaction scores into the only barometer of public action. ; L'objet de cet article est d'examiner les questions que soulève l'utilisation de données sur le « bien-être subjectif » pour évaluer les politiques publiques. En termes plus académiques, il s'agit de déterminer dans quelle mesure l'économie du bonheur, en plein essor, peut contribuer à renouveler l'économie du bien-être, qui serait en perte de vitesse pour certains. Pour mieux cerner les enjeux de cette question, la première partie situe l'économie du bonheur et l'économie du bien-être dans l'histoire de la pensée économique. La deuxième partie présente les arguments méthodologiques de l'économie du bonheur, ainsi que sa contribution au renouvellement des recommandations de politiques économiques et de l'économie du bien-être. La dernière partie souligne que le bonheur est un critère utile, mais qu'il ne saurait être le seul critère pour juger les états de la société : si l'économie du bonheur peut éviter une forme de paternalisme ou d'ethnocentrisme, les incertitudes méthodologiques qui l'entourent encore, et les objections de principe nous invitent à ne pas faire du bonheur le seul baromètre de l'action publique.
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This article questions the increasing use of "happiness" or "subjective well-being" in order to evaluate public policies and social conditions. In more scientific words, can the blossoming economics of happiness revive the economics of welfare, which is said to be dying? The first section puts economics of happiness in the history of economic thought. The second part presents the methodological arguments and proofs of happiness data relevance, as well the results that open on welfare economics renewal and unusual political recommendations. The last part concludes that happiness is a useful criterion to evaluate society's state, but should not be the only one: happiness data can allow avoiding paternalism and ethnocentrism, for example, but happiness economics face several and serious challenges that should prevent researchers from transforming satisfaction scores into the only barometer of public action. ; L'objet de cet article est d'examiner les questions que soulève l'utilisation de données sur le « bien-être subjectif » pour évaluer les politiques publiques. En termes plus académiques, il s'agit de déterminer dans quelle mesure l'économie du bonheur, en plein essor, peut contribuer à renouveler l'économie du bien-être, qui serait en perte de vitesse pour certains. Pour mieux cerner les enjeux de cette question, la première partie situe l'économie du bonheur et l'économie du bien-être dans l'histoire de la pensée économique. La deuxième partie présente les arguments méthodologiques de l'économie du bonheur, ainsi que sa contribution au renouvellement des recommandations de politiques économiques et de l'économie du bien-être. La dernière partie souligne que le bonheur est un critère utile, mais qu'il ne saurait être le seul critère pour juger les états de la société : si l'économie du bonheur peut éviter une forme de paternalisme ou d'ethnocentrisme, les incertitudes méthodologiques qui l'entourent encore, et les objections de principe nous invitent à ne pas faire du bonheur le seul baromètre de l'action ...
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This article questions the increasing use of "happiness" or "subjective well-being" in order to evaluate public policies and social conditions. In more scientific words, can the blossoming economics of happiness revive the economics of welfare, which is said to be dying? The first section puts economics of happiness in the history of economic thought. The second part presents the methodological arguments and proofs of happiness data relevance, as well the results that open on welfare economics renewal and unusual political recommendations. The last part concludes that happiness is a useful criterion to evaluate society's state, but should not be the only one: happiness data can allow avoiding paternalism and ethnocentrism, for example, but happiness economics face several and serious challenges that should prevent researchers from transforming satisfaction scores into the only barometer of public action. ; L'objet de cet article est d'examiner les questions que soulève l'utilisation de données sur le « bien-être subjectif » pour évaluer les politiques publiques. En termes plus académiques, il s'agit de déterminer dans quelle mesure l'économie du bonheur, en plein essor, peut contribuer à renouveler l'économie du bien-être, qui serait en perte de vitesse pour certains. Pour mieux cerner les enjeux de cette question, la première partie situe l'économie du bonheur et l'économie du bien-être dans l'histoire de la pensée économique. La deuxième partie présente les arguments méthodologiques de l'économie du bonheur, ainsi que sa contribution au renouvellement des recommandations de politiques économiques et de l'économie du bien-être. La dernière partie souligne que le bonheur est un critère utile, mais qu'il ne saurait être le seul critère pour juger les états de la société : si l'économie du bonheur peut éviter une forme de paternalisme ou d'ethnocentrisme, les incertitudes méthodologiques qui l'entourent encore, et les objections de principe nous invitent à ne pas faire du bonheur le seul baromètre de l'action publique.
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In: Document de Travail 80
In: Revue française des affaires sociales: RFAS, Heft 1, S. 301-307
ISSN: 0035-2985
In: Recma: revue internationale de l' économie sociale, Heft 336, S. 51
ISSN: 2261-2599