Les structures agraires lituaniennes : quelles évolutions depuis l'intégration européenne?
ASRDLF = Association de Science Régionale de Langue Française ; International audience
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International audience ; Food safety has always been and continues to be a major concern for all countries of the world. This concern is all the more perennial in the developing countries like Benin with a low economic level and still rudimentary and extensive agriculture. To reduce a little bit of food insufficiency, is developed urban and peri-urban agriculture based mainly on market gardening. This study focused particularly on the production of onion in southern Benin. It aims to analyze its performance, to understand the importance of this activity but also to see what are the obstacles faced by these producers. Three municipalities were investigated: Grand-Popo, Cotonou and Sèmè-Kpodji. A total of 60 farmers were surveyed at 20 per municipality. Quantitative and qualitative tools were combined for the analysis of data collected through individual and group interviews. A joint analysis approach was used to achieve specific objectives. It consists to combine speech analysis, participant observation with statistical tools such as the frequency distribution, the regression model and calculation of performance indicators. It follows from all of these analyzes that onion production is profitable from a financial point of view. This performance is enhanced by factors such as age, experience and membership of a producer group. Similarly, the farmers claimed for majority that onion occupies a special place in their market garden production. This production improves their socio-economic and food situations. However, the constraints that undermine the more onion production and thus constitute important producer concerns are financial, institutional, organizational, property constraints and those directly related to production. Farmers therefore, expect a little more effort from agricultural policies to improve the development of this sector.
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N° ISBN - 978-2-7380-1284-5 ; International audience ; Being the important ingredient of food basket of the common people, the declining productivity of rice and its per capita availability is a policy concern, which has a global connotation. System of rice intensification (SRI) is a relevant innovation, which increases production, reduces yield gap and ensures the household food security for the vulnerable section of small and marginal farmers. It has also tremendous potential for resource conservation; and important aspect for sustainability. The paper attempts to quantify the benefits of SRI and compare its performances with that of conventional practice of cultivation of rice. The relevant information gathered from the state of Tamil Nadu, which is a fore runner in promotion of SRI in India. The four districts of Tamil Nadu representing distinctive features of irrigation system and 58 farmers are selected for the detailed farm survey. Agriculture is dominated by the small farmers having a tiny farm of average size less than 1.4 ha of over 90% of the farmers. Hence, to produce more food from less land and other inputs for livelihood is a necessity. As a pre-requisite of SRI promotion, the farmers' motivation is gauged in a perception survey, which revealed that most of the farmers were aware of SRI, who have perfected its crucial principles. Estimated indicators of success clearly vindicated that the innovative practice has several socio economic as well as bio-physical benefits, including, increase in productivity, input saving and conservation of precious resources. The return to SRI is reasonably high at Rs.14875 per hectare to Rs. 17629 (equivalent US$309 to US$370) across the districts as compared to corresponding figure of Rs.9263 to Rs.14564 (US$192 to US$ 303) under conventional practices. Higher return is attributed to increase in production as well as substantial reduction in cost of cultivation. The most impressive is the savings in water (22% to 39% saving) and seed (as high as 92% saving) ...
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International audience ; Comme l'ont montré les débats au cours du forum international sur l'eau à Kyoto (16-20 mars 2003) et les décisions récentes (sommet du millénaire, septembre 2000, Joannesburg, septembre 2002), l'eau est un enjeu stratégique mondial, principalement en raison du risque accru de raréfaction et de contamination de cette ressource vitale. Cette question du risque prend une dimension supplémentaire en Méditerranée, où les aléas climatiques renforcent la prégnance de la crise et où l'inégale répartition des ressources, et donc des pénuries, contribue à accroître la concurrence entre l'irrigation agricole, aujourd'hui dominante, et les besoins domestiques et urbains en constante augmentation. Dans ce contexte, la recherche à l'initiative du Ladyss a pour objectif, grâce à une meilleure articulation entre sciences sociales et sciences du milieu, d'apporter des connaissances nouvelles sur la perception du risque lié à la pratique de l'irrigation agricole dans sa dimension sociale locale. Elle vise en particulier à comprendre comment les agriculteurs irrigants identifient et hiérarchisent les problèmes que font surgir la crise hydraulique et l'expérience croissante et concomitante d'un risque environnemental. Concernant quatre pays de la rive nord et de la rive sud de la Méditerranée, elle s'attache à mieux cerner en quoi de nouvelles approches de la question hydraulique génèrent des dispositifs de gestion plus complexes et propose une évaluation critique des expériences de gestion dite participative des ressources en eau, notamment de leur rôle dans la minimisation ou l'aggravation des risques et des inégalités liés à l'irrigation
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International audience ; Comme l'ont montré les débats au cours du forum international sur l'eau à Kyoto (16-20 mars 2003) et les décisions récentes (sommet du millénaire, septembre 2000, Joannesburg, septembre 2002), l'eau est un enjeu stratégique mondial, principalement en raison du risque accru de raréfaction et de contamination de cette ressource vitale. Cette question du risque prend une dimension supplémentaire en Méditerranée, où les aléas climatiques renforcent la prégnance de la crise et où l'inégale répartition des ressources, et donc des pénuries, contribue à accroître la concurrence entre l'irrigation agricole, aujourd'hui dominante, et les besoins domestiques et urbains en constante augmentation. Dans ce contexte, la recherche à l'initiative du Ladyss a pour objectif, grâce à une meilleure articulation entre sciences sociales et sciences du milieu, d'apporter des connaissances nouvelles sur la perception du risque lié à la pratique de l'irrigation agricole dans sa dimension sociale locale. Elle vise en particulier à comprendre comment les agriculteurs irrigants identifient et hiérarchisent les problèmes que font surgir la crise hydraulique et l'expérience croissante et concomitante d'un risque environnemental. Concernant quatre pays de la rive nord et de la rive sud de la Méditerranée, elle s'attache à mieux cerner en quoi de nouvelles approches de la question hydraulique génèrent des dispositifs de gestion plus complexes et propose une évaluation critique des expériences de gestion dite participative des ressources en eau, notamment de leur rôle dans la minimisation ou l'aggravation des risques et des inégalités liés à l'irrigation
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International audience ; Comme l'ont montré les débats au cours du forum international sur l'eau à Kyoto (16-20 mars 2003) et les décisions récentes (sommet du millénaire, septembre 2000, Joannesburg, septembre 2002), l'eau est un enjeu stratégique mondial, principalement en raison du risque accru de raréfaction et de contamination de cette ressource vitale. Cette question du risque prend une dimension supplémentaire en Méditerranée, où les aléas climatiques renforcent la prégnance de la crise et où l'inégale répartition des ressources, et donc des pénuries, contribue à accroître la concurrence entre l'irrigation agricole, aujourd'hui dominante, et les besoins domestiques et urbains en constante augmentation. Dans ce contexte, la recherche à l'initiative du Ladyss a pour objectif, grâce à une meilleure articulation entre sciences sociales et sciences du milieu, d'apporter des connaissances nouvelles sur la perception du risque lié à la pratique de l'irrigation agricole dans sa dimension sociale locale. Elle vise en particulier à comprendre comment les agriculteurs irrigants identifient et hiérarchisent les problèmes que font surgir la crise hydraulique et l'expérience croissante et concomitante d'un risque environnemental. Concernant quatre pays de la rive nord et de la rive sud de la Méditerranée, elle s'attache à mieux cerner en quoi de nouvelles approches de la question hydraulique génèrent des dispositifs de gestion plus complexes et propose une évaluation critique des expériences de gestion dite participative des ressources en eau, notamment de leur rôle dans la minimisation ou l'aggravation des risques et des inégalités liés à l'irrigation
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International audience ; Comme l'ont montré les débats au cours du forum international sur l'eau à Kyoto (16-20 mars 2003) et les décisions récentes (sommet du millénaire, septembre 2000, Joannesburg, septembre 2002), l'eau est un enjeu stratégique mondial, principalement en raison du risque accru de raréfaction et de contamination de cette ressource vitale. Cette question du risque prend une dimension supplémentaire en Méditerranée, où les aléas climatiques renforcent la prégnance de la crise et où l'inégale répartition des ressources, et donc des pénuries, contribue à accroître la concurrence entre l'irrigation agricole, aujourd'hui dominante, et les besoins domestiques et urbains en constante augmentation. Dans ce contexte, la recherche à l'initiative du Ladyss a pour objectif, grâce à une meilleure articulation entre sciences sociales et sciences du milieu, d'apporter des connaissances nouvelles sur la perception du risque lié à la pratique de l'irrigation agricole dans sa dimension sociale locale. Elle vise en particulier à comprendre comment les agriculteurs irrigants identifient et hiérarchisent les problèmes que font surgir la crise hydraulique et l'expérience croissante et concomitante d'un risque environnemental. Concernant quatre pays de la rive nord et de la rive sud de la Méditerranée, elle s'attache à mieux cerner en quoi de nouvelles approches de la question hydraulique génèrent des dispositifs de gestion plus complexes et propose une évaluation critique des expériences de gestion dite participative des ressources en eau, notamment de leur rôle dans la minimisation ou l'aggravation des risques et des inégalités liés à l'irrigation
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International audience ; Comme l'ont montré les débats au cours du forum international sur l'eau à Kyoto (16-20 mars 2003) et les décisions récentes (sommet du millénaire, septembre 2000, Joannesburg, septembre 2002), l'eau est un enjeu stratégique mondial, principalement en raison du risque accru de raréfaction et de contamination de cette ressource vitale. Cette question du risque prend une dimension supplémentaire en Méditerranée, où les aléas climatiques renforcent la prégnance de la crise et où l'inégale répartition des ressources, et donc des pénuries, contribue à accroître la concurrence entre l'irrigation agricole, aujourd'hui dominante, et les besoins domestiques et urbains en constante augmentation. Dans ce contexte, la recherche à l'initiative du Ladyss a pour objectif, grâce à une meilleure articulation entre sciences sociales et sciences du milieu, d'apporter des connaissances nouvelles sur la perception du risque lié à la pratique de l'irrigation agricole dans sa dimension sociale locale. Elle vise en particulier à comprendre comment les agriculteurs irrigants identifient et hiérarchisent les problèmes que font surgir la crise hydraulique et l'expérience croissante et concomitante d'un risque environnemental. Concernant quatre pays de la rive nord et de la rive sud de la Méditerranée, elle s'attache à mieux cerner en quoi de nouvelles approches de la question hydraulique génèrent des dispositifs de gestion plus complexes et propose une évaluation critique des expériences de gestion dite participative des ressources en eau, notamment de leur rôle dans la minimisation ou l'aggravation des risques et des inégalités liés à l'irrigation
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International audience ; Comme l'ont montré les débats au cours du forum international sur l'eau à Kyoto (16-20 mars 2003) et les décisions récentes (sommet du millénaire, septembre 2000, Joannesburg, septembre 2002), l'eau est un enjeu stratégique mondial, principalement en raison du risque accru de raréfaction et de contamination de cette ressource vitale. Cette question du risque prend une dimension supplémentaire en Méditerranée, où les aléas climatiques renforcent la prégnance de la crise et où l'inégale répartition des ressources, et donc des pénuries, contribue à accroître la concurrence entre l'irrigation agricole, aujourd'hui dominante, et les besoins domestiques et urbains en constante augmentation. Dans ce contexte, la recherche à l'initiative du Ladyss a pour objectif, grâce à une meilleure articulation entre sciences sociales et sciences du milieu, d'apporter des connaissances nouvelles sur la perception du risque lié à la pratique de l'irrigation agricole dans sa dimension sociale locale. Elle vise en particulier à comprendre comment les agriculteurs irrigants identifient et hiérarchisent les problèmes que font surgir la crise hydraulique et l'expérience croissante et concomitante d'un risque environnemental. Concernant quatre pays de la rive nord et de la rive sud de la Méditerranée, elle s'attache à mieux cerner en quoi de nouvelles approches de la question hydraulique génèrent des dispositifs de gestion plus complexes et propose une évaluation critique des expériences de gestion dite participative des ressources en eau, notamment de leur rôle dans la minimisation ou l'aggravation des risques et des inégalités liés à l'irrigation
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