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Assistance et République: la recherche d'un nouveau contrat social sous la IIIe République
In: Le social en acte
World Affairs Online
La coopération transfrontalière et la construction européenne : éléments d'analyses récentes en sciences sociales
In: Revue des sciences sociales, Band 42, Heft 1, S. 138-145
ISSN: 2107-0385
Pour plus de Justice Fiscale
La Commission Justice et Paix s'est donné pour objectif d'étudier le rôle de l'impôt et de la justice fiscale en Belgique. C'est sans prétention technique mais avec pleine prétention politique qu'elle soumet aux citoyens ces quelques pages sur les enjeux de la fiscalité. Cette démarche, qui s'inscrit dans sa mission de service d'éducation permanente, a un triple objectif : "comprendre, critiquer, agir", objectifs qui correspondent aux trois parties de cette étude sur la justice fiscale. La première partie de l'étude "L'impôt : Pourquoi ? C'est quoi ?" introduit les caractéristiques et enjeux principaux de la fiscalité belge et internationale. Son objectif est d'aider le citoyen à comprendre la nature et le fonctionnement du système fiscal belge. La deuxième partie a pour objectif d'amener le citoyen à critiquer, dans une logique d'éthique et de service du bien commun, la fiscalité belge et internationale. Plus précisément, elle tente d'identifier les conditions qu'un système fiscal doit remplir afin qu'il engendre une contribution juste et efficace de tous les contribuables et tous leurs revenus, et garantisse un meilleur bien-être de la société dans son ensemble, et de chacun de ses membres individuellement. Autrement dit, cette partie essaye de répondre à la question suivante : "Un bon impôt, c'est quoi ?". La troisième et dernière partie propose dix recommandations qui permettraient d'agir en vue d'une plus grande justice fiscale en Belgique et en Europe. L'objectif est de les promouvoir afin de modifier les dispositions en vigueur via des initiatives de plaidoyer au sein de la société civile et du monde politique.
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Pour plus de Justice Fiscale
La Commission Justice et Paix s'est donné pour objectif d'étudier le rôle de l'impôt et de la justice fiscale en Belgique. C'est sans prétention technique mais avec pleine prétention politique qu'elle soumet aux citoyens ces quelques pages sur les enjeux de la fiscalité. Cette démarche, qui s'inscrit dans sa mission de service d'éducation permanente, a un triple objectif : "comprendre, critiquer, agir", objectifs qui correspondent aux trois parties de cette étude sur la justice fiscale. La première partie de l'étude "L'impôt : Pourquoi ? C'est quoi ?" introduit les caractéristiques et enjeux principaux de la fiscalité belge et internationale. Son objectif est d'aider le citoyen à comprendre la nature et le fonctionnement du système fiscal belge. La deuxième partie a pour objectif d'amener le citoyen à critiquer, dans une logique d'éthique et de service du bien commun, la fiscalité belge et internationale. Plus précisément, elle tente d'identifier les conditions qu'un système fiscal doit remplir afin qu'il engendre une contribution juste et efficace de tous les contribuables et tous leurs revenus, et garantisse un meilleur bien-être de la société dans son ensemble, et de chacun de ses membres individuellement. Autrement dit, cette partie essaye de répondre à la question suivante : "Un bon impôt, c'est quoi ?". La troisième et dernière partie propose dix recommandations qui permettraient d'agir en vue d'une plus grande justice fiscale en Belgique et en Europe. L'objectif est de les promouvoir afin de modifier les dispositions en vigueur via des initiatives de plaidoyer au sein de la société civile et du monde politique.
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World Social Work Day celebrations in Zimbabwe: An opportunity to promote social justice
In: International social work, Band 59, Heft 4, S. 452-458
ISSN: 1461-7234
Social Work Day was instituted by social workers at the United Nations (UN) in 1983 and is celebrated in March each year to recognise social work's achievements, share its vision for a just society and foster international solidarity. Subsequently embraced as World Social Work Day (WSWD) by the profession's international organisations and their affiliates worldwide, Zimbabwe celebrated its first WSWD in 2012 at Bindura, a small rural university near Harare, to raise social work's profile in Zimbabwe. This article describes these events.
Techno-œil : jeux de formes et d'images
In: Sociétés: revue des sciences humaines et sociales, Band 111, Heft 1, S. 71-79
ISSN: 1782-155X
Résumé Notre œil est continuellement stimulé dans l'action de captation du monde social qui nous entoure pour former un regard capable de comprendre et d'enregistrer le réel sous ses multiples facettes. Qu'est-ce qu'il advient à cet œil à l'ère de la profusion des technologies ? Comment changent les médias et leur proposition de « nouvelles » stimulations de la vision ? Dans une atmosphère contaminée par le déluge d'images et de mobilité technologique, le techno-œil sera une modalité d'expression du changement et de l'adaptation de la vision dans la porosité communicationnelle.
La chimère polonaise : la social-démocratie allemande et la Question polonaise au cours de la Première Guerre mondiale
In: http://hdl.handle.net/20.500.11794/66445
Héritée du XIXe siècle, la Question polonaise est l'un des enjeux majeurs des politiques intérieures de l'Empire allemand au tournant du siècle. Loin de s'avouer vaincue, la minorité nationale polonaise, marginalisée et ciblée par des politiques d'assimilation demeure un objet d'inquiétude qui s'amplifie avec la Première Guerre mondiale. Au milieu des tensions entre l'État allemand et ses citoyens polonais, le mouvement social-démocrate allemand intègre peu à peu les débats socio politiques concernant les problématiques polonaises de la Prusse-Orientale. onfrontés à des environnements politiques intérieurs et étrangers dépendant des affres de la guerre, les sociaux-démocrates peinent à imposer leurs visions sur l'avenir des communautés germano-polonaises. Les interventions étrangères répétées, l'implosion du mouvement social démocrate, la Paix de Brest-Litovsk, les défaites militaires et les révolutions allemande et polonaises marquent finalement l'échec du programme polonais social-démocrate. À de nombreux égards, la Première Guerre mondiale et la gestion de la minorité nationale polonaise d'Allemagne souhaitée par les sociaux-démocrates marquent la fin d'un chapitre pour les relations polono-germaniques. À la conclusion du conflit, la défaite allemande et le nouveau gouvernement social-démocrate mettent la table vers des années de compétitions polono-germaniques qui s'observent par les nombreux conflits marquant les années de l'Entre-Deux Guerres. ; Inherited from the 19th century, the Polish Question was one of the major challenges of the internal policies of the German Empire at the turn of the century. Far from admitting defeat,the Polish national minority, marginalized and targeted by assimilation policies, remains an object of concern which increases with the First World War. Amidst tensions between theGerman state and its Polish citizens, the German social democratic movement is gradually integrating socio-political debates concerning the Polish problems of East Prussia. Faced with domestic and foreign political environments dependent on the throes of war, the SocialDemocrats are struggling to impose their visions on the future of German-Polish communities.Repeated foreign interventions, the implosion of the social democratic movement, the Peace of Brest-Litovsk, military defeats and the German and Polish revolutions ultimately mark the failure of the German social democracy's polish program. In many ways, the First World Warand the management of the Polish national minority in Germany desired by the SocialDemocrats marked the end of a chapter for Polish-German relations. At the end of the conflict,the German defeat and the new social-democratic government set the stage for years of PolishGerman competition, which can be seen in the numerous conflicts marking the years of theInterwar period.
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La cour comme système : théorie politique et constructions sociales du pouvoir
In: Revue d'histoire moderne et contemporaine, Band 69-3, Heft 3, S. 142-158
ISSN: 1776-3045
Dépénaliser et décentraliser le stationnement pour confier le contrôle et la sanction des infractions aux collectivités locales : l'expérience britannique et ses enseignements pour la France
Les politiques de stationnement sont un levier efficace pour influer sur les modes de transport et favoriser un usage modéré de la voiture en zone urbaine.Ces dix dernières années, les villes françaises se sont lancées dans de véritables politiques de stationnement permettant d'instaurer une régulation effective entre l'offre et la demande. Pourtant le bilan apparaît encore en demi-teinte. Sur voirie, le contrôle du stationnement n'est pas totalement efficace pour diverses raisons. Le montant de l'amende fixé aujourd'hui par l'État (sanction pénale) n'est pas assez dissuasif et est l'un des plus bas d'Europe. Le système de verbalisation, par les moyens qu'il déploie, est relativement obsolète. Enfin, les circuits de décision et de redistribution du produit des amendes entre l'État et les villes sont complexes. Au final, le contrôle ne remplit pas de façon totalement satisfaisante son rôle et l'incivisme perdure.De nombreux acteurs du stationnement sont aujourd'hui convaincus que l'amélioration du contrôle du stationnement en France passe par une réforme en profondeur : la dépénalisation et décentralisation du stationnement au profit des collectivités. D'autres pays européens ont d'ores et déjà évolué en ce sens. La Grande-Bretagne, qui a opté pour une décentralisation du stationnement en 1991, dispose aujourd'hui d'un recul suffisant pour permettre d'évaluer l'impact de cette réforme.À l'heure où la décentralisation du stationnement est envisagée en France depuis plus de 10 ans mais qu'elle peine à se mettre en place, au moment où ce sujet a été largement abordé au Grenelle de l'environnement, il est particulièrement intéressant de mieux connaître les points forts et les faiblesses du dispositif britannique de sorte à en tirer des enseignements pour la France. Tel est l'objet du présent rapport d'étude qui se base sur différents travaux d'évaluation conduits récemment Outre-Manche.
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Normativité sociale et normativité neuronale: La découverte des « neurones miroirs » et ses usages en sociologie
In: Revue française de sociologie. [English edition], Band 51, Heft 4, S. 667-691
ISSN: 2271-7641
La question du type de rapport que la sociologie doit entretenir aux faits que les neurosciences cognitives mettent en évidence se pose aujourd'hui avec acuité. Cet article examine une des modalités de ce rapport en analysant la querelle qui a opposé deux sociologues, Omar Lizardo et Stephen Turner, au sujet d'une découverte majeure en neurophysiologie : les systèmes de neurones miroirs. Cette analyse montre comment des sociologues se servent de cette découverte pour en faire l'arbitre de la validité de propositions rivales (habitude contre habitus) qu'ils soutiennent au sujet de la nature (individuelle ou collective) de la régularité des conduites sociales. Elle établit cependant que cette invocation ne permet pas de trancher les questions de théorie sociologique, dans la mesure où les principes de détermination propres à la « normativité neuronale » appartiennent à un registre d'explication radicalement différent de ceux relatifs à la « normativité sociale ». Ce qui fait la différence entre ces deux registres est ensuite illustré à l'aide de données tirées d'une enquête empirique sur un phénomène : la sortie de la toxicomanie. L'article se conclut en suggérant un genre de relation raisonnable que la sociologie pourrait établir avec les faits produits par les neurosciences cognitives.
Les sciences sociales à l'épreuve de la cité
Cet article illustre combien la mise sur pied d'une Maison des Sciences de l'Homme à l'Université de Liège, la première en Belgique, s'inscrivit pleinement dans un « nouveau régime de connaissances » où, derrière des questions subjectives, existentielles,se jouent de véritables défis de société. D'autre part, des questions sociales se voient de plus en existentialisées. Derrière les retraites, les questions liées à la justice, à l'espérance de vie, à la vieillesse, aux thèmes des migrations, etc. de véritables drames se jouent parfois au niveau des existences. Toutes ces questions « objectives », débattues, argumentées par les universitaires, sont ainsi illustratives de questions existentielles qui touchent et préoccupent profondément les citoyens car elles renvoient à leur santé, à leur épargne, à leur habitat, à leur ville, à leur famille, à leur couple, à leur corps, à leur intégrité physique et corporelle. Autant de questions qui mettent les connaissances en débat, voire en tension, avec les politiques, avec les experts mais aussi avec l'existence même de citoyens qui pensent, réfléchissent, agissent et produisent eux-mêmes des connaissances sur les situations qu'ils vivent et qui les engagent dans leur propre quotidien, en tant que patients, usagers, épargnants, retraités, etc. ; Peer reviewed
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Les initiatives locales innovantes: Une emission a l'affut des entrepreneurs de l'economie sociale et solidaire
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Heft 399, S. 99-107
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
Economic growth, environmental change and social justice
In: The round table: the Commonwealth journal of international affairs, Band 92, Heft 371, S. 459-464
ISSN: 1474-029X