International audience ; Rédigé dans le contexte des mouvements révolutionnaires de 2011, ce texte rappelle l'importance de la dimension spatiale des mobilisations politiques et le rôle de l'espace public comme condition à l'expression politique. Est annoncé ensuite le dossier de la revue JSSJ consacré aux injustices liées au genre.
International audience ; Le texte explore la relation entre espace public, méthodes de contrôle sécuritaire et démocratie, établissant le lien direct entre ces relations et la question de la justice spatiale. Pour ce faire il s'appuie très brièvement sur les exemples contemporains d'occupation des espaces publics urbains par des mouvements contestataires.
International audience ; This text considers the relation between public space, securitarian control and democracy, and reflects on their articulation with spatial justice, by looking at contemporary examples of occupations of public space by contestation movements.
International audience ; Rédigé dans le contexte des mouvements révolutionnaires de 2011, ce texte rappelle l'importance de la dimension spatiale des mobilisations politiques et le rôle de l'espace public comme condition à l'expression politique. Est annoncé ensuite le dossier de la revue JSSJ consacré aux injustices liées au genre.
International audience ; Rédigé dans le contexte des mouvements révolutionnaires de 2011, ce texte rappelle l'importance de la dimension spatiale des mobilisations politiques et le rôle de l'espace public comme condition à l'expression politique. Est annoncé ensuite le dossier de la revue JSSJ consacré aux injustices liées au genre.
International audience ; This text considers the relation between public space, securitarian control and democracy, and reflects on their articulation with spatial justice, by looking at contemporary examples of occupations of public space by contestation movements.
The text explores the relationship between public space, methods of security control and democracy, establishing the direct link between these relations and the issue of space justice. In doing so, he relies very briefly on contemporary examples of the occupation of urban public spaces by contemporary movements. ; International audience ; The text explores the relationship between public space, methods of security control and democracy, establishing the direct link between these relations and the issue of space justice. In doing so, he relies very briefly on contemporary examples of the occupation of urban public spaces by contemporary movements. ; Le texte explore la relation entre espace public, méthodes de contrôle sécuritaire et démocratie, établissant le lien direct entre ces relations et la question de la justice spatiale. Pour ce faire il s'appuie très brièvement sur les exemples contemporains d'occupation des espaces publics urbains par des mouvements contestataires.
International audience ; This text considers the relation between public space, securitarian control and democracy, and reflects on their articulation with spatial justice, by looking at contemporary examples of occupations of public space by contestation movements.
In dieser Studie zur Stadtentwicklung im südlichen Afrika nimmt die Entwicklung in der Südafrikanischen Republik aufgrund der Apartheid eine Sonderrolle ein. Durch die Konzentration der schwarzen Bevölkerung in den Townships war die Rassentrennung besonders in Johannesburg stark ausgeprägt. Aber auch in den Städten Namibias herrschte zur Kolonialzeit das Apartheidsystem. Die afrikanischen und französischen Stadtforscher untersuchen nach einer Beschreibung der Stadtentwicklung die Folgen der Demokratisierung und Möglichkeiten für Reformen. Hier werden die Bereiche Kommunal- und Wohnungspolitik sowie wirtschaftliche Entwicklung behandelt. Die Autoren warnen vor einer Auflösung der Gesellschaft durch die Verschärfung der sozialen Unterschiede. (DÜI-Blm)
International audience ; Nous souhaitons questionner les notions de justice et d'injustice spatiale en étudiant les déplacements forcés de citadins, nous les désignerons sous le terme, utilisé en Afrique de l'Ouest francophone, de « déguerpissements ». Nous analysons des déguerpissements actuels et passés dans l'optique d'interroger différentes échelles de temps. Communs à de nombreuses villes du Sud, les déguerpissements sont décidés par des autorités étatiques ou municipales et/ou des investisseurs privés, en raison de la valeur symbolique et marchande de certains lieux notamment centraux (dans quatre villes caractérisées par une forte croissance spatiale et démographique). Ces déguerpissements concernent des catégories de citadins vulnérables car considérés « indésirables » (étrangers, minorités, déplacés de guerre, pauvres, etc.). L'objectif est ici de traiter de localisation injuste et du traitement inégal de certains groupes territorialisés, rejoignant l'idée d'Edward Soja : « les discriminations liées aux localisations (discriminations localisationnelles), résultat du traitement inégal fait à certaines catégories de population en raison de leur localisation géographique, s'avèrent fondamentales dans la production d'injustice spatiale et dans la production de structures spatiales pérennes, fondées sur privilèges et avantages. » (Soja, 2009) Nous proposons ainsi d'interroger les injustices spatiales produites par les rapports de force encadrant chaque déguerpissement en envisageant les processus dans la durée : le temps précédant le déguerpissement, accompagné de possibles négociations, le moment de la prise de décision et des éventuelles compensations, et le temps suivant le déguerpissement, de la relocalisation. Ces différents temps, imbriqués les uns dans les autres, interrogent diverses dimensions des injustices dans le processus de territorialisation/déterritorialisation des citadins déguerpis. Pour cerner les différentes formes d'injustices, nous partirons des discours produits par les acteurs qui ...
International audience ; Nous souhaitons questionner les notions de justice et d'injustice spatiale en étudiant les déplacements forcés de citadins, nous les désignerons sous le terme, utilisé en Afrique de l'Ouest francophone, de « déguerpissements ». Nous analysons des déguerpissements actuels et passés dans l'optique d'interroger différentes échelles de temps. Communs à de nombreuses villes du Sud, les déguerpissements sont décidés par des autorités étatiques ou municipales et/ou des investisseurs privés, en raison de la valeur symbolique et marchande de certains lieux notamment centraux (dans quatre villes caractérisées par une forte croissance spatiale et démographique). Ces déguerpissements concernent des catégories de citadins vulnérables car considérés « indésirables » (étrangers, minorités, déplacés de guerre, pauvres, etc.). L'objectif est ici de traiter de localisation injuste et du traitement inégal de certains groupes territorialisés, rejoignant l'idée d'Edward Soja : « les discriminations liées aux localisations (discriminations localisationnelles), résultat du traitement inégal fait à certaines catégories de population en raison de leur localisation géographique, s'avèrent fondamentales dans la production d'injustice spatiale et dans la production de structures spatiales pérennes, fondées sur privilèges et avantages. » (Soja, 2009) Nous proposons ainsi d'interroger les injustices spatiales produites par les rapports de force encadrant chaque déguerpissement en envisageant les processus dans la durée : le temps précédant le déguerpissement, accompagné de possibles négociations, le moment de la prise de décision et des éventuelles compensations, et le temps suivant le déguerpissement, de la relocalisation. Ces différents temps, imbriqués les uns dans les autres, interrogent diverses dimensions des injustices dans le processus de territorialisation/déterritorialisation des citadins déguerpis. Pour cerner les différentes formes d'injustices, nous partirons des discours produits par les acteurs qui ...
International audience ; Nous souhaitons questionner les notions de justice et d'injustice spatiale en étudiant les déplacements forcés de citadins, nous les désignerons sous le terme, utilisé en Afrique de l'Ouest francophone, de « déguerpissements ». Nous analysons des déguerpissements actuels et passés dans l'optique d'interroger différentes échelles de temps. Communs à de nombreuses villes du Sud, les déguerpissements sont décidés par des autorités étatiques ou municipales et/ou des investisseurs privés, en raison de la valeur symbolique et marchande de certains lieux notamment centraux (dans quatre villes caractérisées par une forte croissance spatiale et démographique). Ces déguerpissements concernent des catégories de citadins vulnérables car considérés « indésirables » (étrangers, minorités, déplacés de guerre, pauvres, etc.). L'objectif est ici de traiter de localisation injuste et du traitement inégal de certains groupes territorialisés, rejoignant l'idée d'Edward Soja : « les discriminations liées aux localisations (discriminations localisationnelles), résultat du traitement inégal fait à certaines catégories de population en raison de leur localisation géographique, s'avèrent fondamentales dans la production d'injustice spatiale et dans la production de structures spatiales pérennes, fondées sur privilèges et avantages. » (Soja, 2009) Nous proposons ainsi d'interroger les injustices spatiales produites par les rapports de force encadrant chaque déguerpissement en envisageant les processus dans la durée : le temps précédant le déguerpissement, accompagné de possibles négociations, le moment de la prise de décision et des éventuelles compensations, et le temps suivant le déguerpissement, de la relocalisation. Ces différents temps, imbriqués les uns dans les autres, interrogent diverses dimensions des injustices dans le processus de territorialisation/déterritorialisation des citadins déguerpis. Pour cerner les différentes formes d'injustices, nous partirons des discours produits par les acteurs qui ...
International audience ; Nous souhaitons questionner les notions de justice et d'injustice spatiale en étudiant les déplacements forcés de citadins, nous les désignerons sous le terme, utilisé en Afrique de l'Ouest francophone, de « déguerpissements ». Nous analysons des déguerpissements actuels et passés dans l'optique d'interroger différentes échelles de temps. Communs à de nombreuses villes du Sud, les déguerpissements sont décidés par des autorités étatiques ou municipales et/ou des investisseurs privés, en raison de la valeur symbolique et marchande de certains lieux notamment centraux (dans quatre villes caractérisées par une forte croissance spatiale et démographique). Ces déguerpissements concernent des catégories de citadins vulnérables car considérés « indésirables » (étrangers, minorités, déplacés de guerre, pauvres, etc.). L'objectif est ici de traiter de localisation injuste et du traitement inégal de certains groupes territorialisés, rejoignant l'idée d'Edward Soja : « les discriminations liées aux localisations (discriminations localisationnelles), résultat du traitement inégal fait à certaines catégories de population en raison de leur localisation géographique, s'avèrent fondamentales dans la production d'injustice spatiale et dans la production de structures spatiales pérennes, fondées sur privilèges et avantages. » (Soja, 2009) Nous proposons ainsi d'interroger les injustices spatiales produites par les rapports de force encadrant chaque déguerpissement en envisageant les processus dans la durée : le temps précédant le déguerpissement, accompagné de possibles négociations, le moment de la prise de décision et des éventuelles compensations, et le temps suivant le déguerpissement, de la relocalisation. Ces différents temps, imbriqués les uns dans les autres, interrogent diverses dimensions des injustices dans le processus de territorialisation/déterritorialisation des citadins déguerpis. Pour cerner les différentes formes d'injustices, nous partirons des discours produits par les acteurs qui ...
International audience ; Nous souhaitons questionner les notions de justice et d'injustice spatiale en étudiant les déplacements forcés de citadins, nous les désignerons sous le terme, utilisé en Afrique de l'Ouest francophone, de « déguerpissements ». Nous analysons des déguerpissements actuels et passés dans l'optique d'interroger différentes échelles de temps. Communs à de nombreuses villes du Sud, les déguerpissements sont décidés par des autorités étatiques ou municipales et/ou des investisseurs privés, en raison de la valeur symbolique et marchande de certains lieux notamment centraux (dans quatre villes caractérisées par une forte croissance spatiale et démographique). Ces déguerpissements concernent des catégories de citadins vulnérables car considérés « indésirables » (étrangers, minorités, déplacés de guerre, pauvres, etc.). L'objectif est ici de traiter de localisation injuste et du traitement inégal de certains groupes territorialisés, rejoignant l'idée d'Edward Soja : « les discriminations liées aux localisations (discriminations localisationnelles), résultat du traitement inégal fait à certaines catégories de population en raison de leur localisation géographique, s'avèrent fondamentales dans la production d'injustice spatiale et dans la production de structures spatiales pérennes, fondées sur privilèges et avantages. » (Soja, 2009) Nous proposons ainsi d'interroger les injustices spatiales produites par les rapports de force encadrant chaque déguerpissement en envisageant les processus dans la durée : le temps précédant le déguerpissement, accompagné de possibles négociations, le moment de la prise de décision et des éventuelles compensations, et le temps suivant le déguerpissement, de la relocalisation. Ces différents temps, imbriqués les uns dans les autres, interrogent diverses dimensions des injustices dans le processus de territorialisation/déterritorialisation des citadins déguerpis. Pour cerner les différentes formes d'injustices, nous partirons des discours produits par les acteurs qui ...
International audience ; Nous souhaitons questionner les notions de justice et d'injustice spatiale en étudiant les déplacements forcés de citadins, nous les désignerons sous le terme, utilisé en Afrique de l'Ouest francophone, de « déguerpissements ». Nous analysons des déguerpissements actuels et passés dans l'optique d'interroger différentes échelles de temps. Communs à de nombreuses villes du Sud, les déguerpissements sont décidés par des autorités étatiques ou municipales et/ou des investisseurs privés, en raison de la valeur symbolique et marchande de certains lieux notamment centraux (dans quatre villes caractérisées par une forte croissance spatiale et démographique). Ces déguerpissements concernent des catégories de citadins vulnérables car considérés « indésirables » (étrangers, minorités, déplacés de guerre, pauvres, etc.). L'objectif est ici de traiter de localisation injuste et du traitement inégal de certains groupes territorialisés, rejoignant l'idée d'Edward Soja : « les discriminations liées aux localisations (discriminations localisationnelles), résultat du traitement inégal fait à certaines catégories de population en raison de leur localisation géographique, s'avèrent fondamentales dans la production d'injustice spatiale et dans la production de structures spatiales pérennes, fondées sur privilèges et avantages. » (Soja, 2009) Nous proposons ainsi d'interroger les injustices spatiales produites par les rapports de force encadrant chaque déguerpissement en envisageant les processus dans la durée : le temps précédant le déguerpissement, accompagné de possibles négociations, le moment de la prise de décision et des éventuelles compensations, et le temps suivant le déguerpissement, de la relocalisation. Ces différents temps, imbriqués les uns dans les autres, interrogent diverses dimensions des injustices dans le processus de territorialisation/déterritorialisation des citadins déguerpis. Pour cerner les différentes formes d'injustices, nous partirons des discours produits par les acteurs qui ...