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This report makes specific proposals to support action plans for the shea chain in the East Region in Burkina Faso, one of the intervention region of support programme for agriculture in Burkina Faso (PADAB II project), depending on the market opportunities and constraints and in link with the politics and strategies of actions at the regional and national level.A techno-economic analysis of the value chain is realized to identify potentialities and main bottlenecks concerning the link production / demand. Axes of intervention increasing this link production / market and aiming at removing bottlenecks are proposed. Pilot actions and possibly actors likely to implement them are identified, as well as needs for further education on targeted thematic (technologies, process, …). ; Ce rapport fait des propositions d'appui à la filière karité pour les plans d'actions dans une des régions d'intervention du « Programme d'Appui au Développement de l'Agriculture du Burkina Faso » (PADAB II), la région Est Burkina Faso, en fonction des opportunités et contraintes de marché et en lien avec les politiques/stratégies et plans d'actions de niveau national/régional.Une analyse technico-économique de la filière est réalisée afin d'identifier les potentialités et principaux goulots d'étranglement relatifs à la liaison production / marché. Des axes d'intervention propre à améliorer la liaison production / marché et à lever les goulots d'étranglement identifiés sont proposés. Des actions pilotes et éventuellement des porteurs potentiels susceptibles de les porter sont identifiés, ainsi que les besoins d'approfondissement sur des thématiques ciblées (technologies, process…).

This report makes specific proposals to support action plans for the shea chain in the East Region in Burkina Faso, one of the intervention region of support programme for agriculture in Burkina Faso (PADAB II project), depending on the market opportunities and constraints and in link with the politics and strategies of actions at the regional and national level.A techno-economic analysis of the value chain is realized to identify potentialities and main bottlenecks concerning the link production / demand. Axes of intervention increasing this link production / market and aiming at removing bottlenecks are proposed. Pilot actions and possibly actors likely to implement them are identified, as well as needs for further education on targeted thematic (technologies, process, …). ; Ce rapport fait des propositions d'appui à la filière karité pour les plans d'actions dans une des régions d'intervention du « Programme d'Appui au Développement de l'Agriculture du Burkina Faso » (PADAB II), la région Est Burkina Faso, en fonction des opportunités et contraintes de marché et en lien avec les politiques/stratégies et plans d'actions de niveau national/régional.Une analyse technico-économique de la filière est réalisée afin d'identifier les potentialités et principaux goulots d'étranglement relatifs à la liaison production / marché. Des axes d'intervention propre à améliorer la liaison production / marché et à lever les goulots d'étranglement identifiés sont proposés. Des actions pilotes et éventuellement des porteurs potentiels susceptibles de les porter sont identifiés, ainsi que les besoins d'approfondissement sur des thématiques ciblées (technologies, process…).

En zone de savanes d'Afrique centrale cohabitent des communautés ayant pour activité principale l'agriculture et d'autres l'élevage. La sédentarisation de l'une et l'autre activité conduisent de façon plus ou moins poussée à leur " intégration " réciproque, qui a la faveur du Développement et de l'Administration. Cette intégration progressive des activités, les agriculteurs pratiquant de l'élevage et les éleveurs de l'agriculture, ne signifie pas pour autant qu'il y ait intégration territoriale ou sociale. L'analyse de territoires villageois en Centrafrique, au Tchad et au Cameroun, permet de discuter de l'intégration territoriale entre élevage et agriculture quand ces deux activités sont encore accomplies de façon dominante par deux communautés distinctes. Les intégrations les plus poussées s'observent lorsqu'un village d'éleveurs s'est installé, à la suite de bonnes relations communautaires, à côté d'un village d'agriculteurs et que leurs territoires s'interpénètrent selon des règles admises par les communautés locales. Les moins bonnes intégrations s'observent lorsqu'il y a eu tentative extérieure de mise en ordre territoriale de la cohabitation entre éleveurs et agriculteurs. L'analyse met ainsi en évidence l'importance de la dimension territoriale dans le processus d'intégration entre agriculture et élevage en zone de savanes d'Afrique centrale.

International audience ; La production de gomme arabique est déjà une filière importante pour le Tchad et pourrait se développer au Nord Cameroun. Les espèces productrices de gomme arabique, Acacia senegal et Acacia seyal, sont également importantes pour les populations rurales du fait de leur production de fourrage et de leurs vertus fertilisantes (principalement A. senegal), mais pourraient participer de façon plus importante au développement économique de ces pays au transfert de revenus vers ces populations parmi les plus pauvres. La multifonctionalité des espèces gommières et des espaces qui les portent, et la diversité et la pluralité des acteurs concernés doivent être pris en compte par les bailleurs de fonds du développement dans la conception des projets de développement. Des recherches d'accompagnement doivent également être promues pour permettre aux projets de développement de tirer profit de cette multifonctionnalité des gommiers selon des principes socialement et économiquement viables, mais également écologiquement durables: recherches sur l'intégration des gommiers dans des systèmes agro-sylvo-pastoraux stabilisés; recherches sur la mise en place d'une filière organisée allant du petit paysan à l'exportateur. (Résumé d'auteur)

International audience ; La mise en place des forêts communautaires, la gestion aux échelles locales et régionale des ressources ligneuses, et l'organisation de l'approvisionnement en bois de feu des zones urbaines au Nord-Cameroun, ne pourront se faire sans connaître la disponibilité en bois des espaces concernés. Le couplage de résultats d'inventaires forestiers à des tarifs de biomasse permet d'estimer cette disponibilité. La construction de tarifs de biomasse fraîche pour quatre des espèces (Anogeissus leiocarpus, Acacia senegal, Acacia hockii, Acacia gerrardii) principalement exploitées dans la région de Kaélé est présentée. (Résumé d'auteur)

International audience ; En zone de savanes d'Afrique Centrale cohabitent des communautés ayant pour activité centrale l'agriculture et d'autres l'élevage. La sédentarisation de l'une et l'autre activité conduit de façon plus ou moins poussée à leur "intégration" réciproque, qui a la faveur du Développement et de l'Administration. Cette intégration progressive des activités, les agriculteurs réalisant de l'élevage et les éleveurs de l'agriculture, ne signifie pas pour autant qu'il y ait intégration communautaire ou territoriale. L'analyse des territoires villageois de référence du PRASAC, en Centrafrique, au Tchad et au Cameroun, permet de discuter de l'intégration territoriale entre élevage et agriculture quand ces deux activités sont encore réalisées de façon dominante par deux communautés distinctes. Les intégrations les plus poussées s'observent lorsqu'un village d'éleveurs s'est installé, à la suite de bonnes relations communautaires, à côté d'un village d'agriculteurs et que leurs territoires s'interpénètrent selon des règles admises par les communautés locales. Les moins bonnes intégrations s'observent lorsqu'il y a eu tentative extérieure de mise en ordre territoriale de la cohabitation entre éleveurs et agriculteurs. L'analyse met ainsi en évidence, pour ce qui concerne le processus d'intégration entre agriculture et élevage en zone de savanes d'Afrique Centrale, le poids de l'histoire des relations entre communautés et de l'histoire de la gestion du territoire. (Résumé d'auteur)

International audience ; La production de gomme arabique est déjà une filière importante pour le Tchad et pourrait se développer au Nord Cameroun. Les espèces productrices de gomme arabique, Acacia senegal et Acacia seyal, sont également importantes pour les populations rurales du fait de leur production de fourrage et de leurs vertus fertilisantes (principalement A. senegal), mais pourraient participer de façon plus importante au développement économique de ces pays au transfert de revenus vers ces populations parmi les plus pauvres. La multifonctionalité des espèces gommières et des espaces qui les portent, et la diversité et la pluralité des acteurs concernés doivent être pris en compte par les bailleurs de fonds du développement dans la conception des projets de développement. Des recherches d'accompagnement doivent également être promues pour permettre aux projets de développement de tirer profit de cette multifonctionnalité des gommiers selon des principes socialement et économiquement viables, mais également écologiquement durables: recherches sur l'intégration des gommiers dans des systèmes agro-sylvo-pastoraux stabilisés; recherches sur la mise en place d'une filière organisée allant du petit paysan à l'exportateur. (Résumé d'auteur)

International audience ; La mise en place des forêts communautaires, la gestion aux échelles locales et régionale des ressources ligneuses, et l'organisation de l'approvisionnement en bois de feu des zones urbaines au Nord-Cameroun, ne pourront se faire sans connaître la disponibilité en bois des espaces concernés. Le couplage de résultats d'inventaires forestiers à des tarifs de biomasse permet d'estimer cette disponibilité. La construction de tarifs de biomasse fraîche pour quatre des espèces (Anogeissus leiocarpus, Acacia senegal, Acacia hockii, Acacia gerrardii) principalement exploitées dans la région de Kaélé est présentée. (Résumé d'auteur)

International audience ; La mise en place des forêts communautaires, la gestion aux échelles locales et régionale des ressources ligneuses, et l'organisation de l'approvisionnement en bois de feu des zones urbaines au Nord-Cameroun, ne pourront se faire sans connaître la disponibilité en bois des espaces concernés. Le couplage de résultats d'inventaires forestiers à des tarifs de biomasse permet d'estimer cette disponibilité. La construction de tarifs de biomasse fraîche pour quatre des espèces (Anogeissus leiocarpus, Acacia senegal, Acacia hockii, Acacia gerrardii) principalement exploitées dans la région de Kaélé est présentée. (Résumé d'auteur)

International audience ; En zone de savanes d'Afrique Centrale cohabitent des communautés ayant pour activité centrale l'agriculture et d'autres l'élevage. La sédentarisation de l'une et l'autre activité conduit de façon plus ou moins poussée à leur "intégration" réciproque, qui a la faveur du Développement et de l'Administration. Cette intégration progressive des activités, les agriculteurs réalisant de l'élevage et les éleveurs de l'agriculture, ne signifie pas pour autant qu'il y ait intégration communautaire ou territoriale. L'analyse des territoires villageois de référence du PRASAC, en Centrafrique, au Tchad et au Cameroun, permet de discuter de l'intégration territoriale entre élevage et agriculture quand ces deux activités sont encore réalisées de façon dominante par deux communautés distinctes. Les intégrations les plus poussées s'observent lorsqu'un village d'éleveurs s'est installé, à la suite de bonnes relations communautaires, à côté d'un village d'agriculteurs et que leurs territoires s'interpénètrent selon des règles admises par les communautés locales. Les moins bonnes intégrations s'observent lorsqu'il y a eu tentative extérieure de mise en ordre territoriale de la cohabitation entre éleveurs et agriculteurs. L'analyse met ainsi en évidence, pour ce qui concerne le processus d'intégration entre agriculture et élevage en zone de savanes d'Afrique Centrale, le poids de l'histoire des relations entre communautés et de l'histoire de la gestion du territoire. (Résumé d'auteur)

International audience ; Dans une région où l'emprise démographique devient importante, les différentes activités humaines dépendant de l'utilisation d'une même ressource naturelle entrent en concurrence. C'est le cas au Nord-Cameroun avec l'agriculture, l'élevage, l'exploitation du bois et le tourisme cynégétique, utilisateurs de terres. L'objet de l'étude est de comparer la productivité économique de ces activités telles qu'elles sont pratiquées actuellement, afin de déterminer les évolutions qui permettraient d'améliorer à la fois les revenus de la population, la préservation de la ressource et l'économie régionale. Les résultats reposent sur des suivis et des calculs économiques. Les activités qui valorisent le mieux la terre sont par ordre décroissant l'agriculture, l'élevage traditionnel, l'exploitation du bois et la chasse, tandis que pour la valorisation du travail, l'ordre est exactement inverse. Ces données doivent bien entendu être replacées dans leur environnement économique et social: fluctuation des prix; pluri-activités des acteurs; plurivalorisations de certaines terres. Mais il se vérifie que les activités les plus intensives sont les plus risquées et celles qui rémunèrent le moins bien le travail. La coexistence d'activités inégalement intensives exploitant une même ressource est de nature à générer des conflits. L'inévitable intensification des productions commandée par l'évolution démographique doit être menée parallèlement sur l'ensemble des activités, devant aboutir à une meilleure valorisation de la ressource en terres. L'accompagnement de cette intensification par des processus de production performants demeure une clé de réussite de changements économiques harmonieux de la région.

International audience ; Dans une région où l'emprise démographique devient importante, les différentes activités humaines dépendant de l'utilisation d'une même ressource naturelle entrent en concurrence. C'est le cas au Nord-Cameroun avec l'agriculture, l'élevage, l'exploitation du bois et le tourisme cynégétique, utilisateurs de terres. L'objet de l'étude est de comparer la productivité économique de ces activités telles qu'elles sont pratiquées actuellement, afin de déterminer les évolutions qui permettraient d'améliorer à la fois les revenus de la population, la préservation de la ressource et l'économie régionale. Les résultats reposent sur des suivis et des calculs économiques. Les activités qui valorisent le mieux la terre sont par ordre décroissant l'agriculture, l'élevage traditionnel, l'exploitation du bois et la chasse, tandis que pour la valorisation du travail, l'ordre est exactement inverse. Ces données doivent bien entendu être replacées dans leur environnement économique et social: fluctuation des prix; pluri-activités des acteurs; plurivalorisations de certaines terres. Mais il se vérifie que les activités les plus intensives sont les plus risquées et celles qui rémunèrent le moins bien le travail. La coexistence d'activités inégalement intensives exploitant une même ressource est de nature à générer des conflits. L'inévitable intensification des productions commandée par l'évolution démographique doit être menée parallèlement sur l'ensemble des activités, devant aboutir à une meilleure valorisation de la ressource en terres. L'accompagnement de cette intensification par des processus de production performants demeure une clé de réussite de changements économiques harmonieux de la région.

This discussion paper assesses the state of knowledge on tropical dry forests as it relates to CIFORs strategy and identifies research opportunities that align with CIFORs strategic goals. Over the past two decades, CIFOR has accumulated a substantial body of work on dry forests, with a particular focus on African dry forests. This paper is intended to build on that work, by gathering wider research from around the world, as CIFOR seeks to widen the geographic scope of its research on dry forests. The present assessment explores five themes: climate change mitigation and adaptation; food security and livelihoods; demand for energy; sustainable management of dry forests; and policies and institutional support for sustainable management. These themes emerged as priority areas during discussions on dry forest research priorities held at CIFORs Dry Forests Symposium in South Africa in 2011. Research on these themes should be considered a priority, given the importance of dry forests to people and ecosystems around the world and the threats posed to them.

Background: In Sub-Saharan Africa (SSA), the production and use of woodfuel remains an important socio-economic activity with more than 70% of the population relying on woodfuel as their primary household energy source. Despite their socio-economic significance, woodfuel value chains are often viewed negatively due to their association with detrimental health and environmental impacts. However, the lack of sound evidence and limited understanding of the role of contextual factors in influencing the various impacts of woodfuel value chains have prevented the formulation of properly guided policy interventions. Thus the objective of this systematic map is to provide a comprehensive review of the environmental, socio-economic, and health impacts of woodfuel value chains across SSA. Methods: The search strategy for this review map was defined in a peer-reviewed protocol and refined by iterative testing. Search strings were composed of population, intervention, and location terms and combined using Boolean operators. The bibliographic databases Web of Science, Scopus, and CAB Abstracts were used as the main sources of literature for this review, and a total of 4728 results were initially retrieved. Following title and abstract screening, 659 entered full text screening. Critical appraisal of 219 articles led to the exclusion of studies that did not set meet quality criteria for this map, resulting in a final total of 131 articles for inclusion in data extraction and analysis. Results: From the 131 included articles, 152 individual studies were identified during data extraction. Studies came from 26 of the 49 Sub Saharan African countries, with a particular preponderance of articles published in the last 10 years. Critical appraisal found significant weaknesses in the experimental design of woodfuel value chain studies with the exception of health impact studies, which frequently utilized controls or other relevant comparators. Findings suggest that woodfuel value chains have environmental, socioeconomic and health consequences with the frequent presence of trade-offs. The reporting of contextual factors in the studies challenge the widespread perception of deforestation as being directly caused by bush fires, overgrazing and woodcutting. Instead, agricultural expansion (which often includes forest clearing) and pre-existing biophysical factors were the most frequently cited factors in shaping environmental outcomes. Conclusions: This systematic map suggests that there are environmental, socioeconomic and health consequences associated with woodfuel value chains in Sub-Saharan Africa. However, the literature also shows a weak and geographically limited evidence base to justify the above claims. We argue that policy formulation processes targeting woodfuels in SSA require more solid, coherent and broad body of knowledge, especially for such a vital sector in rural economies. Thus, there is an urgent need to design and undertake research using robust methodologies, at appropriate scales that further takes into account the interrelationships between environmental and socio-economic outcomes in order to generate substantial and reliable evidence for informed policy formulation.

This presentation will present the SETER project. For the last twenty years, different research units participating in this project have been developing research activities on socio-ecological systems aiming at understanding relationships between agriculture and biodiversity, policies and landscapes dynamics, watershed management, ecosystem management and health risk, etc. At the same time, diverse schools of thought have developed theories and frameworks to analyse the dynamics and management of socio-ecological systems (Resilience,Vulnerability, Political ecology). The objective of this project is to assess the relevance and the complementarities of these theoretical frameworks by applying and testing them in the case of four empirical research case studies (Wetlands of the Rhone river delta, Locust control in Sahelian region, Multiple uses of Sahelian ecosystems, Management of Bemisia-phytovirus risk.) The lessons from this project will also provide the basis for new conceptualisations of socio-ecological systems dynamics and management. During summer 2009 senior researchers (Lance Gunderson, Allyson Quinlan, Colin Polsky, Marco Janssen, Paul Robbins, Nancy Peluso, Tom Bassett, Tor Benjaminssen) were hosted in Montpellier (France) for a common stay during which they interacted among them and with the participating units in Montpellier. Each case study was analysed from a different angle leading to progress in the understanding of the dynamics and management of the socio-ecological system under study. The different view points were discussed. This paper will present the preliminary results of this scientific dialog. (Texte intégral)