Suchergebnisse

I estimate a decomposition of productivity and hours into technology and non-technology components. Two results stand out: (a) the estimated conditional correlations of hours and productivity are negative for technology shocks, positive for nontechnology shocks; (b) hours show a persistent decline in response to a positive technology shock. Most of the results hold for a variety of model specifications, and for the majority of G7 countries. The picture that emerges is hard to reconcile with a conventional real-business-cycle interpretation of business cycles, but is shown to be consistent with a simple model with monopolistic competition and sticky prices. (JEL E32, E24)

Abstract
This paper analyses wage dynamics in Italy in the last 25 years with a special focus on the recent recession. Despite the rather rigid Italian institutional setting, using linked employer-employee data we find that wage rigidities, albeit always present, have been subdued during the recessionary years. Using complementary data, we verify that, although we only observe daily and not hourly wages, overtime hours are not the main mechanism behind this enhanced wage flexibility. We document the presence of a trade-off between wage and employment adjustments: firms historically displaying higher levels of wage rigidities were less able to modify wages but exhibited higher turnover. A higher share of temporary workers, whose contractual relationship may be costlessly terminated and whose wages are therefore more frequently negotiated, served instead as a significant wage flexibility enhancing margin. More broadly, we find that firms of larger dimension, with a higher share of blue collar workers, or belonging to a sector where bonuses represent a large part of annual earnings were the ones displaying a higher level of wage flexibility.


JEL Classification
J31, J33

International audience ; Le présent article vise à dégager comment les spécificités de la crise actuelle expriment les contradictions structurelles du capitalisme. Dans un premier temps, nous discutons l'hypothèse selon laquelle le déclenchement de la crise repose paradoxalement sur les composantes de la période de croissance relativement longue entre 2002 et 2006, dont la spécificité est de n'avoir pas reposé sur une hausse du bien-être général. Nous présentons le mode par lequel l'explosion de la bulle immobilière à l'été 2007 s'est transformée en crise financière, puis en récession économique mondiale, comme expression d'un phénomène de suraccumulation-dévalorisation du capital et de la tendance à la baisse du taux de profit. Nous étudions ensuite les mesures mises en oeuvre par les différents acteurs pour répondre à cette crise. Enfin, nous interrogeons la pertinence des discours présentant une reprise économique, en insistant sur le fait que la relative stabilisation des indicateurs économiques a d'abord reposé sur l'intervention publique. JEL : E32, N58, P16

International audience ; Le présent article vise à dégager comment les spécificités de la crise actuelle expriment les contradictions structurelles du capitalisme. Dans un premier temps, nous discutons l'hypothèse selon laquelle le déclenchement de la crise repose paradoxalement sur les composantes de la période de croissance relativement longue entre 2002 et 2006, dont la spécificité est de n'avoir pas reposé sur une hausse du bien-être général. Nous présentons le mode par lequel l'explosion de la bulle immobilière à l'été 2007 s'est transformée en crise financière, puis en récession économique mondiale, comme expression d'un phénomène de suraccumulation-dévalorisation du capital et de la tendance à la baisse du taux de profit. Nous étudions ensuite les mesures mises en oeuvre par les différents acteurs pour répondre à cette crise. Enfin, nous interrogeons la pertinence des discours présentant une reprise économique, en insistant sur le fait que la relative stabilisation des indicateurs économiques a d'abord reposé sur l'intervention publique. JEL : E32, N58, P16

Lettre trimestrielle d'Espaces Marx Aquitaine (janvier-mars 2010 : 41-61). ; Le présent article vise à dégager comment les spécificités de la crise actuelle expriment les contradictions structurelles du capitalisme. Dans un premier temps, nous discutons l'hypothèse selon laquelle le déclenchement de la crise repose paradoxalement sur les composantes de la période de croissance relativement longue entre 2002 et 2006, dont la spécificité est de n'avoir pas reposé sur une hausse du bien-être général. Nous présentons le mode par lequel l'explosion de la bulle immobilière à l'été 2007 s'est transformée en crise financière, puis en récession économique mondiale, comme expression d'un phénomène de suraccumulation-dévalorisation du capital et de la tendance à la baisse du taux de profit. Nous étudions ensuite les mesures mises en oeuvre par les différents acteurs pour répondre à cette crise. Enfin, nous interrogeons la pertinence des discours présentant une reprise économique, en insistant sur le fait que la relative stabilisation des indicateurs économiques a d'abord reposé sur l'intervention publique.

Lettre trimestrielle d'Espaces Marx Aquitaine (janvier-mars 2010 : 41-61). ; Le présent article vise à dégager comment les spécificités de la crise actuelle expriment les contradictions structurelles du capitalisme. Dans un premier temps, nous discutons l'hypothèse selon laquelle le déclenchement de la crise repose paradoxalement sur les composantes de la période de croissance relativement longue entre 2002 et 2006, dont la spécificité est de n'avoir pas reposé sur une hausse du bien-être général. Nous présentons le mode par lequel l'explosion de la bulle immobilière à l'été 2007 s'est transformée en crise financière, puis en récession économique mondiale, comme expression d'un phénomène de suraccumulation-dévalorisation du capital et de la tendance à la baisse du taux de profit. Nous étudions ensuite les mesures mises en oeuvre par les différents acteurs pour répondre à cette crise. Enfin, nous interrogeons la pertinence des discours présentant une reprise économique, en insistant sur le fait que la relative stabilisation des indicateurs économiques a d'abord reposé sur l'intervention publique.