Bidonvilles latino-américains: (aspects généraux, nationaux, régionaux)
In: Cahiers des Ameriques Latines, Heft 7, S. 399-411
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In: Cahiers des Ameriques Latines, Heft 7, S. 399-411
In: Revue tiers monde: études interdisciplinaires sur les questions de développement, Band 7, Heft 25, S. 25-34
ISSN: 1963-1359
International audience ; En France, depuis quelques années, le terme « décolonial » fait couler beaucoup d'encre. Employé d'abord dans les milieux militants antiracistes, il a fait plus récemment l'objet de manifestations scientifiques et de travaux académiques, ainsi que d'une réappropriation médiatique qui, en en dévoyant bien souvent le sens, jette sur lui une forme d'anathème, lui conférant une coloration largement polémique. Les théories et les mouvements décoloniaux restent ainsi fondamentalement mal compris, et leurs concepts fondateurs, comme la notion de colonialité, ne sont presque jamais rapportés à leur contexte d'origine ni aux penseurs et penseuses qui les ont forgés. L'histoire de la pensée et de la pratique décoloniales, malgré des travaux universitaires ou des revues dédiées de plus en plus nombreux, reste finalement mal aimée, parce que mal connue, du grand public. Pour dissiper les amalgames ordinaires qu'occasionne en France la réception souvent trop superficielle de ces courants, des universitaires et / ou militant·e·s tentent de diffuser la richesse conceptuelle et politique du mouvement. Leurs travaux soulignent la nécessité de faire connaître la voix d'intellectuel·le·s et d'activistes latino-américain·e·s en diffusant leurs textes en langue française, en les soumettant au débat ou en en proposant des approches critiques. On peut dire qu'un champ d'études décoloniales, encore jeune, mais pluriel et foisonnant, est en cours de consolidation.
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International audience ; En France, depuis quelques années, le terme « décolonial » fait couler beaucoup d'encre. Employé d'abord dans les milieux militants antiracistes, il a fait plus récemment l'objet de manifestations scientifiques et de travaux académiques, ainsi que d'une réappropriation médiatique qui, en en dévoyant bien souvent le sens, jette sur lui une forme d'anathème, lui conférant une coloration largement polémique. Les théories et les mouvements décoloniaux restent ainsi fondamentalement mal compris, et leurs concepts fondateurs, comme la notion de colonialité, ne sont presque jamais rapportés à leur contexte d'origine ni aux penseurs et penseuses qui les ont forgés. L'histoire de la pensée et de la pratique décoloniales, malgré des travaux universitaires ou des revues dédiées de plus en plus nombreux, reste finalement mal aimée, parce que mal connue, du grand public. Pour dissiper les amalgames ordinaires qu'occasionne en France la réception souvent trop superficielle de ces courants, des universitaires et / ou militant·e·s tentent de diffuser la richesse conceptuelle et politique du mouvement. Leurs travaux soulignent la nécessité de faire connaître la voix d'intellectuel·le·s et d'activistes latino-américain·e·s en diffusant leurs textes en langue française, en les soumettant au débat ou en en proposant des approches critiques. On peut dire qu'un champ d'études décoloniales, encore jeune, mais pluriel et foisonnant, est en cours de consolidation.
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International audience ; En France, depuis quelques années, le terme « décolonial » fait couler beaucoup d'encre. Employé d'abord dans les milieux militants antiracistes, il a fait plus récemment l'objet de manifestations scientifiques et de travaux académiques, ainsi que d'une réappropriation médiatique qui, en en dévoyant bien souvent le sens, jette sur lui une forme d'anathème, lui conférant une coloration largement polémique. Les théories et les mouvements décoloniaux restent ainsi fondamentalement mal compris, et leurs concepts fondateurs, comme la notion de colonialité, ne sont presque jamais rapportés à leur contexte d'origine ni aux penseurs et penseuses qui les ont forgés. L'histoire de la pensée et de la pratique décoloniales, malgré des travaux universitaires ou des revues dédiées de plus en plus nombreux, reste finalement mal aimée, parce que mal connue, du grand public. Pour dissiper les amalgames ordinaires qu'occasionne en France la réception souvent trop superficielle de ces courants, des universitaires et / ou militant·e·s tentent de diffuser la richesse conceptuelle et politique du mouvement. Leurs travaux soulignent la nécessité de faire connaître la voix d'intellectuel·le·s et d'activistes latino-américain·e·s en diffusant leurs textes en langue française, en les soumettant au débat ou en en proposant des approches critiques. On peut dire qu'un champ d'études décoloniales, encore jeune, mais pluriel et foisonnant, est en cours de consolidation. Retour aux origines Si les termes « décolonial » et « décolonialité » se chargent souvent dans les médias français de connotations hostiles, du fait notamment de la critique radicale de la modernité qu'ils induisent ou du soupçon de communautarisme qu'ils soulèvent, il importe de revenir à l'origine du mouvement décolonial, des théories et concepts qui le fondent, aux luttes, aux résistances concrètes et aux propositions de mondes qu'il recouvre. Pour tenter de mettre en lumière ses apports-philosophiques, mais aussi épistémologiques, politiques, ontologiques ou esthétiques-, un tour d'horizon s'impose des différent·e·s auteur·e·s et notions qui caractérisent le mouvement décolonial, au demeurant éminemment pluriel, d'Amérique latine.
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International audience ; En France, depuis quelques années, le terme « décolonial » fait couler beaucoup d'encre. Employé d'abord dans les milieux militants antiracistes, il a fait plus récemment l'objet de manifestations scientifiques et de travaux académiques, ainsi que d'une réappropriation médiatique qui, en en dévoyant bien souvent le sens, jette sur lui une forme d'anathème, lui conférant une coloration largement polémique. Les théories et les mouvements décoloniaux restent ainsi fondamentalement mal compris, et leurs concepts fondateurs, comme la notion de colonialité, ne sont presque jamais rapportés à leur contexte d'origine ni aux penseurs et penseuses qui les ont forgés. L'histoire de la pensée et de la pratique décoloniales, malgré des travaux universitaires ou des revues dédiées de plus en plus nombreux, reste finalement mal aimée, parce que mal connue, du grand public. Pour dissiper les amalgames ordinaires qu'occasionne en France la réception souvent trop superficielle de ces courants, des universitaires et / ou militant·e·s tentent de diffuser la richesse conceptuelle et politique du mouvement. Leurs travaux soulignent la nécessité de faire connaître la voix d'intellectuel·le·s et d'activistes latino-américain·e·s en diffusant leurs textes en langue française, en les soumettant au débat ou en en proposant des approches critiques. On peut dire qu'un champ d'études décoloniales, encore jeune, mais pluriel et foisonnant, est en cours de consolidation. Retour aux origines Si les termes « décolonial » et « décolonialité » se chargent souvent dans les médias français de connotations hostiles, du fait notamment de la critique radicale de la modernité qu'ils induisent ou du soupçon de communautarisme qu'ils soulèvent, il importe de revenir à l'origine du mouvement décolonial, des théories et concepts qui le fondent, aux luttes, aux résistances concrètes et aux propositions de mondes qu'il recouvre. Pour tenter de mettre en lumière ses apports-philosophiques, mais aussi épistémologiques, politiques, ...
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In: Études internationales, Band 17, Heft 2, S. 307-329
ISSN: 1703-7891
Our aim in this article is to identify the major transnational actors and to describe how they have influenced Latin American politics and development from the 1950s to the present. Transnational actors are defined as those collective actors (here non-governmental) whose membership and activities are transnational. Specifically ex-amined are the multinationals, the Catholic Church, international labor confederations, and guerrilla movements. The historical context within which we study these actors has two periods : early import substitution (1954-65) and late import substitution and export substitution (1965 to present). In each period the state pursue s a development strategy with the support of particular class alliances. For each period we describe how the transnational actors contribute to the successes and failures of these strategies. The causal relations are also reciprocal, for the actors evolve and adapt to the changing developmental context. For example, the multinationals shift from raw material extraction to manufacturing while the Church shifts from conservatism to the theology of liberation. The general trends in the activities of transnational actors over the post war period are interpreted with respect to the twin polarities of the development process : opression - liberation, integration - autonomy.
In: Canadian journal of law and society: Revue canadienne de droit et société, Band 16, Heft 2, S. 101-117
ISSN: 1911-0227
AbstractWomen's citizenship in the Southern Cone is based on a republican conception aimed at the participation to the community and a public responsability reaching from the local to the supranational level, from the public to the political space. Such a process implies a dynamic of individuation, but is also ambiguous because it reproduces the sexual division of labour.
In: Archives de sociologie des religions, Band 30, Heft 1, S. 33-57
In: Revue tiers monde: études interdisciplinaires sur les questions de développement, Band 10, Heft 39, S. 533-552
ISSN: 1963-1359
In: Questions internationales, Band 117, Heft 1, S. 64-68
In: Recherches Internationales, Band 112, Heft 1, S. 99-114
Durant le cycle ascendant des gouvernements «progressistes » (1999-2015), la relation syndicats-gouvernements a été profondément transformée, d'autant que trois chefs d'État sont issus du champ syndical (Lula au Brésil, Evo Morales en Bolivie, Nicolás Maduro au Venezuela). Les évolutions du syndicalisme dans le nouveau contexte des gouvernements progressistes, leurs relations complexes aux gouvernements, les dynamiques ouvertes par les réformes du travail restent encore largement à explorer. Nous proposons un regard critique et pluriel sur les mutations en cours au sein du champ syndical, à partir d'études de terrain approfondies en Argentine, Bolivie, Équateur et Nicaragua. Trois objets d'étude sont privilégiés par leurs auteurs : les politiques publiques mises en oeuvre par les gouvernements progressistes, en particulier dans les réformes des relations de travail, les reconfigurations du syndicalisme et son répertoire d'action à l'époque contemporaine, et, enfin, l'interprétation que nous pouvons tirer de cette relation entre mouvement syndical et gouvernements progressistes. Notre hypothèse centrale est que se maintient une tension, différenciée selon les pays, entre cooptation, autonomie et confrontation.
In: L' Ordinaire des Amériques, Heft 207, S. 5-12
ISSN: 2273-0095
In: Hommes & migrations, Band 1142, Heft 1, S. 30-32
L'exil est un thème tout à fait prégnant chez les écrivains latino-américains : beaucoup de ces écrivains, à un moment ou à un autre, l'ont vécu. Et jusqu'à une date récente, leur destination privilégiée était la France.