Recycling also military plutonium : time has come to act
In: Bulletin de la Classe des Sciences de l'Académie Royale de Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, Band 3, Heft 5, S. 153-158
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In: Bulletin de la Classe des Sciences de l'Académie Royale de Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, Band 3, Heft 5, S. 153-158
In: Artefact: techniques, histoire et sciences humaines, Band 13, S. 9-46
ISSN: 2606-9245
Peut-on dégager une typologie des ingénieurs en Europe occidentale selon leur parcours de formation, leur mode de socialisation et leur intégration dans les entreprises ? Cette interrogation entre en résonance avec la nouvelle question d'histoire contemporaine pour les concours d'enseignement : « Le travail en Europe occidentale des années 1830 aux années 1930. Mains-d'œuvre artisanales et industrielles, pratiques et questions sociales ». Dans cet article, nous relions dans un premier temps ingénieurs et processus d'industrialisation. Puis nous corrélons la structuration des systèmes de formation aux configurations étatiques de l'ouest européen. Nous étudions ensuite les modalités de socialisation des ingénieurs et abordons les enjeux de la féminisation des mondes d'ingénieur. Enfin, nous nous intéressons aux ingénieurs en action et dans les entreprises. L'ingénieur est un personnage à facettes multiples. Son portrait et celui de son groupe, change au gré des transformations du paysage dans lequel il interagit. Nous nous efforçons d'en dégager de grandes caractéristiques.
In: Esprit: comprendre le monde qui vient, Heft 7/326, S. 78-99
ISSN: 0014-0759
World Affairs Online
Dans la France des années 1968 émerge un ensemble de films nouveaux à bien des égards. Participant au bouillonnement social,politique et culturel de l'époque, ils s'inscrivent clairement dans une perspective d'action collective et de changement social. Parmi eux, une partie délaisse les rues et les universités pour se tourner vers les usines. S'inscrivant dans la lignée d'A bientôt j'espère, réalisé par Chris Marker en 1967, ils mettent l'accent sur ceux qu'ils considèrent comme les représentants de la classe ouvrière, cœur des forces de changement. (premières lignes)
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Dans la France des années 1968 émerge un ensemble de films nouveaux à bien des égards. Participant au bouillonnement social,politique et culturel de l'époque, ils s'inscrivent clairement dans une perspective d'action collective et de changement social. Parmi eux, une partie délaisse les rues et les universités pour se tourner vers les usines. S'inscrivant dans la lignée d'A bientôt j'espère, réalisé par Chris Marker en 1967, ils mettent l'accent sur ceux qu'ils considèrent comme les représentants de la classe ouvrière, cœur des forces de changement. (premières lignes)
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Dans la France des années 1968 émerge un ensemble de films nouveaux à bien des égards. Participant au bouillonnement social,politique et culturel de l'époque, ils s'inscrivent clairement dans une perspective d'action collective et de changement social. Parmi eux, une partie délaisse les rues et les universités pour se tourner vers les usines. S'inscrivant dans la lignée d'A bientôt j'espère, réalisé par Chris Marker en 1967, ils mettent l'accent sur ceux qu'ils considèrent comme les représentants de la classe ouvrière, cœur des forces de changement. (premières lignes)
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Dans la France des années 1968 émerge un ensemble de films nouveaux à bien des égards. Participant au bouillonnement social,politique et culturel de l'époque, ils s'inscrivent clairement dans une perspective d'action collective et de changement social. Parmi eux, une partie délaisse les rues et les universités pour se tourner vers les usines. S'inscrivant dans la lignée d'A bientôt j'espère, réalisé par Chris Marker en 1967, ils mettent l'accent sur ceux qu'ils considèrent comme les représentants de la classe ouvrière, cœur des forces de changement. (premières lignes)
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Dans la France des années 1968 émerge un ensemble de films nouveaux à bien des égards. Participant au bouillonnement social,politique et culturel de l'époque, ils s'inscrivent clairement dans une perspective d'action collective et de changement social. Parmi eux, une partie délaisse les rues et les universités pour se tourner vers les usines. S'inscrivant dans la lignée d'A bientôt j'espère, réalisé par Chris Marker en 1967, ils mettent l'accent sur ceux qu'ils considèrent comme les représentants de la classe ouvrière, cœur des forces de changement. (premières lignes)
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In: Le mouvement social, Band 226, Heft 1, S. 67-78
ISSN: 1961-8646
Au cours des années 1960, considérées comme l'apogée de l'ouvriérisation de la société française, les représentations cinématographiques des ouvriers connaissent des ruptures significatives. Le changement ne vient pas des œuvres de fiction qui négligent généralement ce thème mais du film documentaire. Des cinéastes s'emploient à mettre au point une technique à base de caméra légère et de son synchrone, et mènent une réflexion sur la production d'un son, et particulièrement d'une parole, saisi directement dans les scènes filmées. Cette combinaison met en cause la tradition du documentaire, encombrée de matériels lourds et de coûts élevés, dépendante des financements institutionnels. Tandis que jusque-là les ouvriers faisaient office de figurants dans des films vantant la performance industrielle, le nouveau cinéma documentaire fait surgir des personnes à la fois banales et singulières. Leur parole en direct, prise ici dans les usines automobiles encore chargées d'une aura positive, provoque un puissant effet de vérité et fait perdre leur lustre aux Trente glorieuses. Après 1968, un nouveau courant, parmi les cinéastes, les critiques et les spectateurs de ce genre de films tend à faire de ces personnages des figures politiques et à attribuer à leur parole une fonction contestataire.
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Au cours des années 1960, considérées comme l'apogée de l'ouvriérisation de la société française, les représentations cinématographiques des ouvriers connaissent des ruptures significatives. Le changement ne vient pas des œuvres de fiction qui négligent généralement ce thème mais du film documentaire. Des cinéastes s'emploient à mettre au point une technique à base de caméra légère et de son synchrone, et mènent une réflexion sur la production d'un son, et particulièrement d'une parole, saisi directement dans les scènes filmées. Cette combinaison met en cause la tradition du documentaire, encombrée de matériels lourds et de coûts élevés, dépendante des financements institutionnels. Tandis que jusque-là les ouvriers faisaient office de figurants dans des films vantant la performance industrielle, le nouveau cinéma documentaire fait surgir des personnes à la fois banales et singulières. Leur parole en direct, prise ici dans les usines automobiles encore chargées d'une aura positive, provoque un puissant effet de vérité et fait perdre leur lustre aux Trente glorieuses. Après 1968, un nouveau courant, parmi les cinéastes, les critiques et les spectateurs de ce genre de films tend à faire de ces personnages des figures politiques et à attribuer à leur parole une fonction contestataire.
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Au cours des années 1960, considérées comme l'apogée de l'ouvriérisation de la société française, les représentations cinématographiques des ouvriers connaissent des ruptures significatives. Le changement ne vient pas des œuvres de fiction qui négligent généralement ce thème mais du film documentaire. Des cinéastes s'emploient à mettre au point une technique à base de caméra légère et de son synchrone, et mènent une réflexion sur la production d'un son, et particulièrement d'une parole, saisi directement dans les scènes filmées. Cette combinaison met en cause la tradition du documentaire, encombrée de matériels lourds et de coûts élevés, dépendante des financements institutionnels. Tandis que jusque-là les ouvriers faisaient office de figurants dans des films vantant la performance industrielle, le nouveau cinéma documentaire fait surgir des personnes à la fois banales et singulières. Leur parole en direct, prise ici dans les usines automobiles encore chargées d'une aura positive, provoque un puissant effet de vérité et fait perdre leur lustre aux Trente glorieuses. Après 1968, un nouveau courant, parmi les cinéastes, les critiques et les spectateurs de ce genre de films tend à faire de ces personnages des figures politiques et à attribuer à leur parole une fonction contestataire.
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Au cours des années 1960, considérées comme l'apogée de l'ouvriérisation de la société française, les représentations cinématographiques des ouvriers connaissent des ruptures significatives. Le changement ne vient pas des œuvres de fiction qui négligent généralement ce thème mais du film documentaire. Des cinéastes s'emploient à mettre au point une technique à base de caméra légère et de son synchrone, et mènent une réflexion sur la production d'un son, et particulièrement d'une parole, saisi directement dans les scènes filmées. Cette combinaison met en cause la tradition du documentaire, encombrée de matériels lourds et de coûts élevés, dépendante des financements institutionnels. Tandis que jusque-là les ouvriers faisaient office de figurants dans des films vantant la performance industrielle, le nouveau cinéma documentaire fait surgir des personnes à la fois banales et singulières. Leur parole en direct, prise ici dans les usines automobiles encore chargées d'une aura positive, provoque un puissant effet de vérité et fait perdre leur lustre aux Trente glorieuses. Après 1968, un nouveau courant, parmi les cinéastes, les critiques et les spectateurs de ce genre de films tend à faire de ces personnages des figures politiques et à attribuer à leur parole une fonction contestataire.
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