Estimating SME Failures in Real Time: An Application to the Covid-19 Crisis
In: CEPR Discussion Paper No. DP15323
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In: CEPR Discussion Paper No. DP15323
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In: NBER Working Paper No. w27877
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We estimate the impact of the COVID-19 crisis on business failures among small and medium-size enterprises (SMEs) in seventeen countries using a large representative firm-level database. We use a simple model of firm cost minimization and measure each firm's liquidity shortfall during and after COVID-19. Our framework allows for a rich combination of sectoral and aggregate supply, productivity, and demand shocks. We estimate a large increase in the failure rate of SMEs under COVID-19 of nearly 9 percentage points, absent government support. Accommodation and food services; arts, entertainment, and recreation; education; and other services are among the sectors most affected. The SME jobs at risk due to business failures related to COVID-19 represent 3.1 percent of private sector employment. Despite the large impact on business failures and employment, we estimate only moderate effects on the financial sector: the share of nonperforming loans on bank balance sheets would increase by up to 11 percentage points, representing 0.3 percent of banks' assets, and would result in a 0.75 percentage point decline in the common equity tier 1 capital ratio. We also evaluate the cost and effectiveness of various policy interventions. The fiscal cost of an intervention that narrowly targets at-risk firms can be modest (0.54 percent of gross domestic product). However, at a similar level of effectiveness, nontargeted subsidies can be substantially more expensive (1.82 percent of gross domestic product). Our results have important implications for the severity of the COVID-19 recession, the design of policies, and the speed of the recovery.
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In: IMF Working Paper No. 17/264
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Tout le monde ne peut pas avoir une monnaie faible au même moment : si une monnaie s'affaiblit, c'est qu'une autre au moins se renchérit. De cette vérité arithmétique est né le concept de « guerre des monnaies » : une course à la dépréciation monétaire qui ne peut que mal finir. La réalité est toutefois plus complexe car les principales banques centrales des pays développés poursuivent des objectifs internes. Ainsi, la Banque centrale européenne (BCE) a pour mission la stabilité des prix dans la zone euro, tandis que la Réserve fédérale américaine poursuit un double objectif de stabilité des prix et de plein-emploi. Leurs taux de change fluctuent librement sur le marché, en fonction de l'offre et de la demande. Ce ne sont pas des objectifs de politique économique, mais des canaux de transmission de la politique monétaire. En fait de « guerre des monnaies », on assiste à une confrontation de politiques monétaires dont les objectifs, les stratégies et les contraintes varient d'un pays à l'autre.Depuis l'automne 2012, la BCE s'est distinguée de ses consœurs en menant une politique monétaire bien moins expansionniste. Dans un contexte économique marqué par la désinflation, la faiblesse de la reprise et la fragmentation du marché du crédit, la Note fait différentes propositions en faveur d'un assouplissement monétaire dans la zone euro. Un tel activisme de la BCE devrait s'accompagner d'un affaiblissement temporaire de l'euro. À travers une étude économétrique originale, les auteurs estiment qu'une dépréciation de l'euro de 10 % élèverait la valeur des exportations hors zone euro de l'ordre de 7-8 %. Cependant, elle renchérirait les importations manufacturières d'environ 3,5 %, sans baisse à court terme des volumes importés. Les prix relatifs ayant un impact aussi important que celui du taux de change sur les exportations, les auteurs soulignent l'importance de renforcer la vigilance sur les effets des politiques publiques (prélèvements obligatoires, coût de l'énergie, etc.) sur les coûts et les prix français. Selon ...
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Tout le monde ne peut pas avoir une monnaie faible au même moment : si une monnaie s'affaiblit, c'est qu'une autre au moins se renchérit. De cette vérité arithmétique est né le concept de « guerre des monnaies » : une course à la dépréciation monétaire qui ne peut que mal finir. La réalité est toutefois plus complexe car les principales banques centrales des pays développés poursuivent des objectifs internes. Ainsi, la Banque centrale européenne (BCE) a pour mission la stabilité des prix dans la zone euro, tandis que la Réserve fédérale américaine poursuit un double objectif de stabilité des prix et de plein-emploi. Leurs taux de change fluctuent librement sur le marché, en fonction de l'offre et de la demande. Ce ne sont pas des objectifs de politique économique, mais des canaux de transmission de la politique monétaire. En fait de « guerre des monnaies », on assiste à une confrontation de politiques monétaires dont les objectifs, les stratégies et les contraintes varient d'un pays à l'autre.Depuis l'automne 2012, la BCE s'est distinguée de ses consœurs en menant une politique monétaire bien moins expansionniste. Dans un contexte économique marqué par la désinflation, la faiblesse de la reprise et la fragmentation du marché du crédit, la Note fait différentes propositions en faveur d'un assouplissement monétaire dans la zone euro. Un tel activisme de la BCE devrait s'accompagner d'un affaiblissement temporaire de l'euro. À travers une étude économétrique originale, les auteurs estiment qu'une dépréciation de l'euro de 10 % élèverait la valeur des exportations hors zone euro de l'ordre de 7-8 %. Cependant, elle renchérirait les importations manufacturières d'environ 3,5 %, sans baisse à court terme des volumes importés. Les prix relatifs ayant un impact aussi important que celui du taux de change sur les exportations, les auteurs soulignent l'importance de renforcer la vigilance sur les effets des politiques publiques (prélèvements obligatoires, coût de l'énergie, etc.) sur les coûts et les prix français. Selon eux, une dépréciation temporaire de l'euro, qui accompagnerait une politique monétaire plus expansionniste, aiderait la zone euro à se sortir d'une situation conjoncturelle difficile. Mais il ne faut pas s'attendre à un affaiblissement durable de la monnaie européenne qui n'est vraisemblablement pas très éloignée de sa valeur d'équilibre de long terme.Pour limiter les risques liés au cycle mondial du crédit, les auteurs proposent de transférer au niveau de la zone euro les principaux outils de régulation macro-prudentielle, même lorsque ceux-ci supposent une différenciation selon les pays. Ils sont sceptiques sur l'utilité des déclarations des responsables politiques sur le niveau du taux de change comme sur la faisabilité d'une véritable coordination internationale des politiques monétaires. Ils suggèrent néanmoins de réexaminer, au niveau multilatéral, le concept de « manipulation » de change, actuellement peu opérationnel.
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In: American economic review, Band 101, Heft 6, S. 2450-2486
ISSN: 1944-7981
Relative cross-border retail prices, in a common currency, comove closely with the nominal exchange rate. Using product-level prices and wholesale costs from a grocery chain operating in the United States and Canada, we decompose this variation into relative costs and markup components. The high correlation of nominal and real exchange rates is driven mainly by changes in relative costs. National borders segment markets. Retail prices respond to changes in costs in neighboring stores within the same country but not across the border. Prices have a median discontinuous change of 24 percent at the border and 0 percent at state boundaries. (JEL F31, L11, L81)
In: NBER Working Paper No. w14938
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To what extent do national borders and national currencies impose costs that segment markets across countries? To answer this question the authors use a dataset with product-level retail prices and wholesale costs for a large grocery chain with stores in the United States and Canada. They develop a model of pricing by location and employ a regression discontinuity approach to estimate and interpret the border effect. They report three main facts: One, the median absolute retail price and wholesale cost discontinuities between adjacent stores on either side of the U.S.-Canadian border are as high as 21 percent. In contrast, within-country border discontinuity is close to 0 percent. Two, the variation in the retail price gap at the border is almost entirely driven by variation in wholesale costs, not by variation in markups. Three, the border gaps in prices and costs co-move almost one-to-one with changes in the U.S.-Canadian nominal exchange rate. They show these facts suggest that the price gaps they estimate provide only a lower bound on border costs.
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In: Economia: journal of the Latin American and Caribbean Economic Association, Band 1, Heft 2, S. 47-99
ISSN: 1533-6239
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In: IMF Working Paper No. 2023/178
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