En 2020, la gestion de la crise sanitaire mondiale a restreint l'exercice de libertés fondamentales : liberté d'aller et venir, d'entreprendre et de réunion. Passe sanitaire, obligation vaccinale, confinement, isolement des cas contacts sont autant de sujets débattus. Les auteurs reviennent sur les relations entre santé et libertés : existe-t-il un équilibre entre protection de la santé et respect des libertés individuelles ? Au-delà de la crise sanitaire, les libertés des malades et des personnes vulnérables sont-elles respectées ? Peut-on prévenir les conduites à risque grâce aux sciences comportementales sans porter atteinte au libre-arbitre ? Cet ouvrage croise les approches médicale, sociale et juridique pour comprendre les enjeux du débat
Lentement mais sûrement, le système de santé français bouge, avec les franchises médicales, le financement de certains soins par les malades eux-mêmes, plutôt que par l'ensemble des assurés sociaux, et la définition d'un périmètre de soins. Le payeur public s'est doté d'instruments lui permettant de financer certains soins plutôt que d'autres, jugés moins indispensables et laissés à la charge des assurances complémentaires ou des patients. En finançant « l'essentiel » et en promouvant un usage plus efficient des deniers publics, ces nouveaux dispositifs accroissent les risques d'inégalités. D'apparence techniques et médicales, ces questions ont aussi des aspects sociaux, économiques et politiques plus généraux.
Lentement mais sûrement, le système de santé français bouge, avec les franchises médicales, le financement de certains soins par les malades eux-mêmes, plutôt que par l'ensemble des assurés sociaux, et la définition d'un périmètre de soins. Le payeur public s'est doté d'instruments lui permettant de financer certains soins plutôt que d'autres, jugés moins indispensables et laissés à la charge des assurances complémentaires ou des patients. En finançant « l'essentiel » et en promouvant un usage plus efficient des deniers publics, ces nouveaux dispositifs accroissent les risques d'inégalités. D'apparence techniques et médicales, ces questions ont aussi des aspects sociaux, économiques et politiques plus généraux.
Lentement mais sûrement, le système de santé français bouge, avec les franchises médicales, le financement de certains soins par les malades eux-mêmes, plutôt que par l'ensemble des assurés sociaux, et la définition d'un périmètre de soins. Le payeur public s'est doté d'instruments lui permettant de financer certains soins plutôt que d'autres, jugés moins indispensables et laissés à la charge des assurances complémentaires ou des patients. En finançant « l'essentiel » et en promouvant un usage plus efficient des deniers publics, ces nouveaux dispositifs accroissent les risques d'inégalités. D'apparence techniques et médicales, ces questions ont aussi des aspects sociaux, économiques et politiques plus généraux.
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