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The name of a party is an important dimension of its political position. Often, the label used by a political party in its name tells much about its ideology. But, since in most cases, only a few parties compete for each election it is difficult to undertake large qualitative and quantitative analyses of party names. Local elections can provide an interesting option, however. Indeed, in several cases, we find lots of different names, and not only the usual national party labels. In the last local elections in Wallonia, one of the three Belgian Regions, 1012 lists were in competition. Such data provide a fertile ground for analysis. To study the name of the lists, we proceed in two steps. First, we build a typology of the names. We classify the lists in different categories: lists with national party name, lists with a clear reference to a national party, lists with an ideological label, lists with a clear reference to the commune's name, lists with a reference to the communal level but also lists with a reference to democracy, to a union or alliance, to change and an alternative way of doing politics, to the future, with puns, and with a reference to a person. In the second step, using multinomial regressions, we show where the different types of lists can be found and above all we look at their electoral performances and thus test the hypothesis whether the party name matters or not.

In Belgium, the idea of 'openness' is a well spread notion in electoral political discourses and the 2012 local election in Wallonia is no exception to this trend. Despite a clear victory, it is indeed very common for local political leaders in Belgium to announce that they will open their majority to other lists. The idea of 'openness' is also part of the local electoral campaign in terms of recruitment: non-partisan candidates – who clearly want to distinguish themselves from the party – are recruited to figure on the lists as 'independent candidates'. They are called 'candidates d'ouverture' as a sign of openness towards the civil society, the opposition, or dissidents from other political parties. Actually, these candidates are recruited for various reasons: there are sometimes used to demonstrate the citizen character of the list, to enhance the fact that the list 'makes politics differently from established political parties', to underline the local roots of the list, and sometimes the 'candidates d'ouverture' are simply used to complete vacancies on a list.

Depuis quelques années, l'évaluation par les étudiants (student peer-assessement) s'impose comme une méthode innovante et particulièrement efficace pour l'apprentissage des étudiants (Li et al. 2009). Dans le milieu universitaire belge francophone, cette pratique est pourtant encore peu présente. Cette communication vise à présenter et à discuter le nouveau système d'évaluation proposé depuis 2013 aux 1200 étudiants du cours de sciences politiques (BAC 1) à l'Université catholique de Louvain. Ce dispositif est construit autour de trois axes. Primo, il consiste en la mise en place d'un module d'évaluation par les pairs incluant un volet grading et un volet reviewing. Le module se compose de quatre ateliers successifs qui suivent le déroulement du cours magistral. La note finale obtenue par les étudiants se compose dès lors de la note de peer-assessement et de la note liée à la partie magistrale du cours. Secundo, ce dispositif octroie une place importante aux TIC : le module de peer-assessement, implémenté via le logiciel Moodle, a été intégré dans un parcours pédagogique sur la plateforme Claroline. Il montre que, sous certaines conditions, les désavantages soulignés par Bouzidi & Jaillet (2007) concernant l'utilisation des TIC peuvent être neutralisés. Tertio, l'impact de ce système d'évaluation sur la perception de l'apprentissage par les étudiants et sur leur réussite est étudié. A cet égard, un questionnaire a été distribué en début et en fin de processus. Celui-ci contient notamment des questions liées au sentiment de compétences des étudiants et à leur maitrise de l'outil informatique. Les résultats de ce questionnaire et des analyses des données quantitatives (activités online des étudiants) seront présentées lors du colloque. Il s'agira donc d'interroger non seulement la cohérence et l'efficacité d'un tel dispositif d'évaluation sur la perception de l'apprentissage des étudiants, mais également de réfléchir à son l'impact sur les défis rencontrés par l'enseignement universitaire.

Depuis quelques années, l'évaluation par les étudiants (student peer-assessement) s'impose comme une méthode innovante et particulièrement efficace pour l'apprentissage des étudiants (Li et al. 2009). Dans le milieu universitaire belge francophone, cette pratique est pourtant encore peu présente. Cette communication vise à présenter et à discuter le nouveau système d'évaluation proposé depuis 2013 aux 1200 étudiants du cours de sciences politiques (BAC 1) à l'Université catholique de Louvain. Ce dispositif est construit autour de trois axes. Primo, il consiste en la mise en place d'un module d'évaluation par les pairs incluant un volet grading et un volet reviewing. Le module se compose de quatre ateliers successifs qui suivent le déroulement du cours magistral. La note finale obtenue par les étudiants se compose dès lors de la note de peer-assessement et de la note liée à la partie magistrale du cours. Secundo, ce dispositif octroie une place importante aux TIC : le module de peer-assessement, implémenté via le logiciel Moodle, a été intégré dans un parcours pédagogique sur la plateforme Claroline. Il montre que, sous certaines conditions, les désavantages soulignés par Bouzidi & Jaillet (2007) concernant l'utilisation des TIC peuvent être neutralisés. Tertio, l'impact de ce système d'évaluation sur la perception de l'apprentissage par les étudiants et sur leur réussite est étudié. A cet égard, un questionnaire a été distribué en début et en fin de processus. Celui-ci contient notamment des questions liées au sentiment de compétences des étudiants et à leur maitrise de l'outil informatique. Les résultats de ce questionnaire et des analyses des données quantitatives (activités online des étudiants) seront présentées lors du colloque. Il s'agira donc d'interroger non seulement la cohérence et l'efficacité d'un tel dispositif d'évaluation sur la perception de l'apprentissage des étudiants, mais également de réfléchir à son l'impact sur les défis rencontrés par l'enseignement universitaire.

This unique book presents the first systematic overview of policy analysis activities in Belgium. Contributors from both sides of the Dutch-French language border (from research institutes in Flanders, Brussels and Wallonia) use original empirical data, through surveys and interviews with key players both within and outside government, to provide a comprehensive study of policy analysis in a multi-level polity. By the very nature of the Belgian experience, the volume is comparative, drawing conclusions on divergence and convergence of policy analysis, making it an important resource for both national and international scholars