VERKEHR UND KOMMUNIKATION - TRANSPORTS ET COMMUNICATIONS: Generelle Verkehrspolitik - Politique des transports
In: Année politique suisse: Schweizerische Politik, Band 42, S. 144
ISSN: 0066-2372
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In: Année politique suisse: Schweizerische Politik, Band 42, S. 144
ISSN: 0066-2372
L'interaction entre transport et urbanisme est au cœur d'une réflexion s'appuyant sur une double approche spatiale et temporelle de l'observation. Aussi les approches théoriques ne peuvent elles que se segmenter afin de mieux se focaliser sur des relations de cause à effet potentielles facilement isolables et interprétables. Pour mon compte, les travaux entrepris depuis la thèse se sont ainsi orientés prioritairement dans deux directions complémentaires. La première est celle de l'évaluation, vue comme la production d'un jugement de valeur destiné à éclairer les acteurs de la décision, au travers d'indicateurs représentatifs des effets nés de l'action publique sur le système de transport urbain. Depuis quelques années, la réflexion théorique et l'effort méthodologique se sont amplifiés dans le domaine de l'évaluation ex post des politiques publiques. A l'inverse, le domaine des transport urbains a plutôt connu une régression jusqu'au début des années 90, et n'opère que depuis peu une véritable introspection, rendue nécessaire à la fois par les contraintes financières et par une meilleure perception des fortes incidences négatives de l'automobile sur la vie urbaine. Une redéfinition des procédures d'évaluation, a priori comme a posteriori, est en cours, afin d'adapter les méthodes aux nouvelles orientations des politiques de déplacements urbains. Le recours à l'Analyse Coûts/Avantages pour l'évaluation des investissements se fait dans un contexte différent, que je présenterai dans la première partie de ce rapport, en montrant en quoi cette méthode peut constituer un outil de dialogue, dès lors qu'elle est conçue comme le moyen de simuler les transformations d'état d'un système de transport. La seconde découle pour partie des nécessités de l'évaluation. Elle porte sur l'évolution des préférences des individus, sur la compréhension de leurs comportements et de leurs attentes, afin d'apprécier leurs réactions aux transformations du système de transport. Cette seconde orientation revêt un caractère principalement méthodologique, dans la mesure où l'accent est mis sur l'observation des réactions comportementales à des innovations, qu'elles soient organisationnelles ou technologiques. Les méthodes usuelles d'enquêtes (préférences révélées, préférences déclarées) sont en effet développées pour répondre à deux questions principales : mesurer la mobilité individuelle pour connaître la nature de la demande de transport (et ainsi la modéliser), et quantifier les préférences individuelles, en tant que facteurs explicatifs des choix de transport. Ces méthodes se révèlent souvent inadaptées à l'observation des mutations comportementales générées par des changements de valeurs. Mes travaux portent sur la conception des enquêtes d'Adaptation Déclarées, fondées sur le recours à des jeux de simulation destinés à faire exprimer aux individus leurs attitudes et leurs comportements, face à des transformations structurelles des systèmes de transport. Le présent rapport fait la synthèse des avancées obtenues dans les recherches que j'ai entreprises sur ces deux questions, Il insiste en conclusion sur l'intérêt de les étudier de front, dans un contexte économique, social et institutionnel de plus en plus mouvant, qui laisse présager de profonds bouleversements des politiques de déplacements à l'aube du 21° siècle, et incite à une approche renouvelée de l'évaluation des stratégies de transport dans un contexte de plus en plus incertain.
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L'interaction entre transport et urbanisme est au cœur d'une réflexion s'appuyant sur une double approche spatiale et temporelle de l'observation. Aussi les approches théoriques ne peuvent elles que se segmenter afin de mieux se focaliser sur des relations de cause à effet potentielles facilement isolables et interprétables. Pour mon compte, les travaux entrepris depuis la thèse se sont ainsi orientés prioritairement dans deux directions complémentaires. La première est celle de l'évaluation, vue comme la production d'un jugement de valeur destiné à éclairer les acteurs de la décision, au travers d'indicateurs représentatifs des effets nés de l'action publique sur le système de transport urbain. Depuis quelques années, la réflexion théorique et l'effort méthodologique se sont amplifiés dans le domaine de l'évaluation ex post des politiques publiques. A l'inverse, le domaine des transport urbains a plutôt connu une régression jusqu'au début des années 90, et n'opère que depuis peu une véritable introspection, rendue nécessaire à la fois par les contraintes financières et par une meilleure perception des fortes incidences négatives de l'automobile sur la vie urbaine. Une redéfinition des procédures d'évaluation, a priori comme a posteriori, est en cours, afin d'adapter les méthodes aux nouvelles orientations des politiques de déplacements urbains. Le recours à l'Analyse Coûts/Avantages pour l'évaluation des investissements se fait dans un contexte différent, que je présenterai dans la première partie de ce rapport, en montrant en quoi cette méthode peut constituer un outil de dialogue, dès lors qu'elle est conçue comme le moyen de simuler les transformations d'état d'un système de transport. La seconde découle pour partie des nécessités de l'évaluation. Elle porte sur l'évolution des préférences des individus, sur la compréhension de leurs comportements et de leurs attentes, afin d'apprécier leurs réactions aux transformations du système de transport. Cette seconde orientation revêt un caractère principalement méthodologique, dans la mesure où l'accent est mis sur l'observation des réactions comportementales à des innovations, qu'elles soient organisationnelles ou technologiques. Les méthodes usuelles d'enquêtes (préférences révélées, préférences déclarées) sont en effet développées pour répondre à deux questions principales : mesurer la mobilité individuelle pour connaître la nature de la demande de transport (et ainsi la modéliser), et quantifier les préférences individuelles, en tant que facteurs explicatifs des choix de transport. Ces méthodes se révèlent souvent inadaptées à l'observation des mutations comportementales générées par des changements de valeurs. Mes travaux portent sur la conception des enquêtes d'Adaptation Déclarées, fondées sur le recours à des jeux de simulation destinés à faire exprimer aux individus leurs attitudes et leurs comportements, face à des transformations structurelles des systèmes de transport. Le présent rapport fait la synthèse des avancées obtenues dans les recherches que j'ai entreprises sur ces deux questions, Il insiste en conclusion sur l'intérêt de les étudier de front, dans un contexte économique, social et institutionnel de plus en plus mouvant, qui laisse présager de profonds bouleversements des politiques de déplacements à l'aube du 21° siècle, et incite à une approche renouvelée de l'évaluation des stratégies de transport dans un contexte de plus en plus incertain.
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L'interaction entre transport et urbanisme est au cœur d'une réflexion s'appuyant sur une double approche spatiale et temporelle de l'observation. Aussi les approches théoriques ne peuvent elles que se segmenter afin de mieux se focaliser sur des relations de cause à effet potentielles facilement isolables et interprétables. Pour mon compte, les travaux entrepris depuis la thèse se sont ainsi orientés prioritairement dans deux directions complémentaires. La première est celle de l'évaluation, vue comme la production d'un jugement de valeur destiné à éclairer les acteurs de la décision, au travers d'indicateurs représentatifs des effets nés de l'action publique sur le système de transport urbain. Depuis quelques années, la réflexion théorique et l'effort méthodologique se sont amplifiés dans le domaine de l'évaluation ex post des politiques publiques. A l'inverse, le domaine des transport urbains a plutôt connu une régression jusqu'au début des années 90, et n'opère que depuis peu une véritable introspection, rendue nécessaire à la fois par les contraintes financières et par une meilleure perception des fortes incidences négatives de l'automobile sur la vie urbaine. Une redéfinition des procédures d'évaluation, a priori comme a posteriori, est en cours, afin d'adapter les méthodes aux nouvelles orientations des politiques de déplacements urbains. Le recours à l'Analyse Coûts/Avantages pour l'évaluation des investissements se fait dans un contexte différent, que je présenterai dans la première partie de ce rapport, en montrant en quoi cette méthode peut constituer un outil de dialogue, dès lors qu'elle est conçue comme le moyen de simuler les transformations d'état d'un système de transport. La seconde découle pour partie des nécessités de l'évaluation. Elle porte sur l'évolution des préférences des individus, sur la compréhension de leurs comportements et de leurs attentes, afin d'apprécier leurs réactions aux transformations du système de transport. Cette seconde orientation revêt un caractère principalement ...
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JEL classification: D61, D63, R40, R53 ; International audience ; Assessment of transport policy and spatial equity. - The set up of a transport system in a place generates inequalities in accessibility at the local, national or international level. This raises the problem of the unequal access to transport and local public goods, hereafter designated as the spatial inequity. In the assessment of transport policies, dealing with spatial equity leads to several problems mainly because of the contradiction between efficiency and equity. The cost-benefit analysis usually practised is unable to consider redistribution maters. This is clearly linked to its main hypothesis based on the assumptions of an optimal allocation. We propose first to formalise this difficulty, then we consider the way the contradiction can be arbitrated. Several hypothesis are then studied. The first one consists of the integration of the notion of accessibility into the consumer surplus in accordance with the proposition of KOENIG. The following rely on the welfare economics propositions and suggest, prior to the problem, to search for a more reliable and accurate definition of the spatial equity. The present method consist of the standard cost-advantage analysis but including the use of redistribution. ; Un système de transport irrigue un espace dont tous les lieux ne jouissent pas de la même accessibilité, que cet espace soit local, national ou international. Cela pose le problème de l'inégalité face au droit au transport et plus généralement celui de l'iniquité spatiale. Dans le cas de l'évaluation des politiques de transport, la prise en compte de l'équité spatiale pose un certain nombre de problèmes. Cela renvoie à la contradiction entre efficacité et équité. L'incapacité du calcul économique, tel qu'il est usuellement pratiqué, à considérer des objectifs de redistribution est clairement liée à son principe fondé sur l'hypothèse d'une répartition optimale. Nous nous proposons dans un premier temps de formaliser cette difficulté, puis ...
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JEL classification: D61, D63, R40, R53 ; International audience ; Assessment of transport policy and spatial equity. - The set up of a transport system in a place generates inequalities in accessibility at the local, national or international level. This raises the problem of the unequal access to transport and local public goods, hereafter designated as the spatial inequity. In the assessment of transport policies, dealing with spatial equity leads to several problems mainly because of the contradiction between efficiency and equity. The cost-benefit analysis usually practised is unable to consider redistribution maters. This is clearly linked to its main hypothesis based on the assumptions of an optimal allocation. We propose first to formalise this difficulty, then we consider the way the contradiction can be arbitrated. Several hypothesis are then studied. The first one consists of the integration of the notion of accessibility into the consumer surplus in accordance with the proposition of KOENIG. The following rely on the welfare economics propositions and suggest, prior to the problem, to search for a more reliable and accurate definition of the spatial equity. The present method consist of the standard cost-advantage analysis but including the use of redistribution. ; Un système de transport irrigue un espace dont tous les lieux ne jouissent pas de la même accessibilité, que cet espace soit local, national ou international. Cela pose le problème de l'inégalité face au droit au transport et plus généralement celui de l'iniquité spatiale. Dans le cas de l'évaluation des politiques de transport, la prise en compte de l'équité spatiale pose un certain nombre de problèmes. Cela renvoie à la contradiction entre efficacité et équité. L'incapacité du calcul économique, tel qu'il est usuellement pratiqué, à considérer des objectifs de redistribution est clairement liée à son principe fondé sur l'hypothèse d'une répartition optimale. Nous nous proposons dans un premier temps de formaliser cette difficulté, puis nous nous interrogeons sur la manière d'arbitrer au mieux la contradiction. Plusieurs pistes sont alors étudiées. La première consiste en l'intégration de la notion d'accessibilité dans le calcul du surplus de l'usager selon la proposition de KOENIG. Les suivantes reposent sur les propositions des économistes de la redistribution et suggèrent, en amont du problème, de s'interroger sur la définition de l'équité spatiale. Une méthode est proposée qui intègre à l'évaluation standard une dimension redistributive.
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JEL classification: D61, D63, R40, R53 ; International audience ; Assessment of transport policy and spatial equity. - The set up of a transport system in a place generates inequalities in accessibility at the local, national or international level. This raises the problem of the unequal access to transport and local public goods, hereafter designated as the spatial inequity. In the assessment of transport policies, dealing with spatial equity leads to several problems mainly because of the contradiction between efficiency and equity. The cost-benefit analysis usually practised is unable to consider redistribution maters. This is clearly linked to its main hypothesis based on the assumptions of an optimal allocation. We propose first to formalise this difficulty, then we consider the way the contradiction can be arbitrated. Several hypothesis are then studied. The first one consists of the integration of the notion of accessibility into the consumer surplus in accordance with the proposition of KOENIG. The following rely on the welfare economics propositions and suggest, prior to the problem, to search for a more reliable and accurate definition of the spatial equity. The present method consist of the standard cost-advantage analysis but including the use of redistribution. ; Un système de transport irrigue un espace dont tous les lieux ne jouissent pas de la même accessibilité, que cet espace soit local, national ou international. Cela pose le problème de l'inégalité face au droit au transport et plus généralement celui de l'iniquité spatiale. Dans le cas de l'évaluation des politiques de transport, la prise en compte de l'équité spatiale pose un certain nombre de problèmes. Cela renvoie à la contradiction entre efficacité et équité. L'incapacité du calcul économique, tel qu'il est usuellement pratiqué, à considérer des objectifs de redistribution est clairement liée à son principe fondé sur l'hypothèse d'une répartition optimale. Nous nous proposons dans un premier temps de formaliser cette difficulté, puis nous nous interrogeons sur la manière d'arbitrer au mieux la contradiction. Plusieurs pistes sont alors étudiées. La première consiste en l'intégration de la notion d'accessibilité dans le calcul du surplus de l'usager selon la proposition de KOENIG. Les suivantes reposent sur les propositions des économistes de la redistribution et suggèrent, en amont du problème, de s'interroger sur la définition de l'équité spatiale. Une méthode est proposée qui intègre à l'évaluation standard une dimension redistributive.
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JEL classification: D61, D63, R40, R53 ; International audience ; Assessment of transport policy and spatial equity. - The set up of a transport system in a place generates inequalities in accessibility at the local, national or international level. This raises the problem of the unequal access to transport and local public goods, hereafter designated as the spatial inequity. In the assessment of transport policies, dealing with spatial equity leads to several problems mainly because of the contradiction between efficiency and equity. The cost-benefit analysis usually practised is unable to consider redistribution maters. This is clearly linked to its main hypothesis based on the assumptions of an optimal allocation. We propose first to formalise this difficulty, then we consider the way the contradiction can be arbitrated. Several hypothesis are then studied. The first one consists of the integration of the notion of accessibility into the consumer surplus in accordance with the proposition of KOENIG. The following rely on the welfare economics propositions and suggest, prior to the problem, to search for a more reliable and accurate definition of the spatial equity. The present method consist of the standard cost-advantage analysis but including the use of redistribution. ; Un système de transport irrigue un espace dont tous les lieux ne jouissent pas de la même accessibilité, que cet espace soit local, national ou international. Cela pose le problème de l'inégalité face au droit au transport et plus généralement celui de l'iniquité spatiale. Dans le cas de l'évaluation des politiques de transport, la prise en compte de l'équité spatiale pose un certain nombre de problèmes. Cela renvoie à la contradiction entre efficacité et équité. L'incapacité du calcul économique, tel qu'il est usuellement pratiqué, à considérer des objectifs de redistribution est clairement liée à son principe fondé sur l'hypothèse d'une répartition optimale. Nous nous proposons dans un premier temps de formaliser cette difficulté, puis nous nous interrogeons sur la manière d'arbitrer au mieux la contradiction. Plusieurs pistes sont alors étudiées. La première consiste en l'intégration de la notion d'accessibilité dans le calcul du surplus de l'usager selon la proposition de KOENIG. Les suivantes reposent sur les propositions des économistes de la redistribution et suggèrent, en amont du problème, de s'interroger sur la définition de l'équité spatiale. Une méthode est proposée qui intègre à l'évaluation standard une dimension redistributive.
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La mobilité urbaine à Yaoundé comme dans la majorité des agglomérations à forte croissance urbaine en Afrique est dominée par des véhicules de petite capacité comme les taxis collectifs et moto-taxis. Ce phénomène a comme conséquence une augmentation des externalités négatives comme la congestion, les accidents, la pollution, et des coûts monétaires élevés à supporter par les usagers des transports. L'objectif de ce policybrief est d'informer les communautés urbaines en Afrique ou à Yaoundénotamment, que pour résoudre ce dysfonctionnement,il est urgent de redéfinir une nouvelle politique d'occupation du sol à Yaoundé et d'augmenter l'offrequantitative et qualitative en transport publique collectifde massepourréduire la part modale du taxi enle valorisant dans certains types de déplacements comme les dépôts.
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In: Journal of political economy, Band 23, Heft 2, S. 200-200
ISSN: 1537-534X
In: Administration: revue de l'administration territoriale de l'état, Heft 234, S. 7-9
ISSN: 0223-5439
Ouvrage publié avec le soutien de la Direction de la recherche et de l'innovation (service de la recherche) du Commissariat général au développement durable (ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer), en liaison avec le Programme de recherche et d'innovation dans les transports terrestres - PREDIT 4 ; National audience ; Pour de nombreux acteurs, impliqués professionnellement ou politiquement dans les problématiques de la ville et de son aménagement, il est devenu clair que la planification de l'urbanisation ne peut être déconnectée des politiques de transport : elles interagissent l'une sur l'autre et doivent être considérées ensemble, ce qui nécessite de les formaliser sous la forme d'un système. Dans ce contexte, c'est véritablement à la question de la modélisation du système-ville, envisagé à travers sa forme et ses politiques de transport, que cet ouvrage souhaite apporter une contribution : celle de la recherche française actuelle dans ce domaine. L'ouvrage présente douze modèles de la ville, issus du monde de la recherche académique, de bureaux d'études ou d'organismes privés impliqués dans les questions d'aménagement du territoire, regroupés en deux parties. La première présente une série de modèles qui prennent en compte de manière combinée la question des déplacements quotidiens et des localisations résidentielles et d'entreprises, selon des échelles et des temporalités différentes, dans une philosophie qui peut s'assimiler à celle des modèles LUTI (Land-Use and Transportation Integrated models), dont ils offrent une adaptation au cas français sur plusieurs terrains d'étude. La deuxième partie regroupe des modèles fondés sur l'analyse des transports et de l'urbanisation : ils prennent en compte les interactions de ces deux dynamiques, mais se distinguent par une approche centrée sur des questions plus particulières, souvent innovantes, parfois très théoriques, qui offrent autant d'ouvertures pour de nombreux développements futurs. Ainsi, chacun de ces modèles ...
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Ouvrage publié avec le soutien de la Direction de la recherche et de l'innovation (service de la recherche) du Commissariat général au développement durable (ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer), en liaison avec le Programme de recherche et d'innovation dans les transports terrestres - PREDIT 4 ; National audience ; Pour de nombreux acteurs, impliqués professionnellement ou politiquement dans les problématiques de la ville et de son aménagement, il est devenu clair que la planification de l'urbanisation ne peut être déconnectée des politiques de transport : elles interagissent l'une sur l'autre et doivent être considérées ensemble, ce qui nécessite de les formaliser sous la forme d'un système. Dans ce contexte, c'est véritablement à la question de la modélisation du système-ville, envisagé à travers sa forme et ses politiques de transport, que cet ouvrage souhaite apporter une contribution : celle de la recherche française actuelle dans ce domaine. L'ouvrage présente douze modèles de la ville, issus du monde de la recherche académique, de bureaux d'études ou d'organismes privés impliqués dans les questions d'aménagement du territoire, regroupés en deux parties. La première présente une série de modèles qui prennent en compte de manière combinée la question des déplacements quotidiens et des localisations résidentielles et d'entreprises, selon des échelles et des temporalités différentes, dans une philosophie qui peut s'assimiler à celle des modèles LUTI (Land-Use and Transportation Integrated models), dont ils offrent une adaptation au cas français sur plusieurs terrains d'étude. La deuxième partie regroupe des modèles fondés sur l'analyse des transports et de l'urbanisation : ils prennent en compte les interactions de ces deux dynamiques, mais se distinguent par une approche centrée sur des questions plus particulières, souvent innovantes, parfois très théoriques, qui offrent autant d'ouvertures pour de nombreux développements futurs. Ainsi, chacun de ces modèles ...
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Ouvrage publié avec le soutien de la Direction de la recherche et de l'innovation (service de la recherche) du Commissariat général au développement durable (ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer), en liaison avec le Programme de recherche et d'innovation dans les transports terrestres - PREDIT 4 ; National audience ; Pour de nombreux acteurs, impliqués professionnellement ou politiquement dans les problématiques de la ville et de son aménagement, il est devenu clair que la planification de l'urbanisation ne peut être déconnectée des politiques de transport : elles interagissent l'une sur l'autre et doivent être considérées ensemble, ce qui nécessite de les formaliser sous la forme d'un système. Dans ce contexte, c'est véritablement à la question de la modélisation du système-ville, envisagé à travers sa forme et ses politiques de transport, que cet ouvrage souhaite apporter une contribution : celle de la recherche française actuelle dans ce domaine. L'ouvrage présente douze modèles de la ville, issus du monde de la recherche académique, de bureaux d'études ou d'organismes privés impliqués dans les questions d'aménagement du territoire, regroupés en deux parties. La première présente une série de modèles qui prennent en compte de manière combinée la question des déplacements quotidiens et des localisations résidentielles et d'entreprises, selon des échelles et des temporalités différentes, dans une philosophie qui peut s'assimiler à celle des modèles LUTI (Land-Use and Transportation Integrated models), dont ils offrent une adaptation au cas français sur plusieurs terrains d'étude. La deuxième partie regroupe des modèles fondés sur l'analyse des transports et de l'urbanisation : ils prennent en compte les interactions de ces deux dynamiques, mais se distinguent par une approche centrée sur des questions plus particulières, souvent innovantes, parfois très théoriques, qui offrent autant d'ouvertures pour de nombreux développements futurs. Ainsi, chacun de ces modèles ...
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Ouvrage publié avec le soutien de la Direction de la recherche et de l'innovation (service de la recherche) du Commissariat général au développement durable (ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer), en liaison avec le Programme de recherche et d'innovation dans les transports terrestres - PREDIT 4 ; National audience ; Pour de nombreux acteurs, impliqués professionnellement ou politiquement dans les problématiques de la ville et de son aménagement, il est devenu clair que la planification de l'urbanisation ne peut être déconnectée des politiques de transport : elles interagissent l'une sur l'autre et doivent être considérées ensemble, ce qui nécessite de les formaliser sous la forme d'un système. Dans ce contexte, c'est véritablement à la question de la modélisation du système-ville, envisagé à travers sa forme et ses politiques de transport, que cet ouvrage souhaite apporter une contribution : celle de la recherche française actuelle dans ce domaine. L'ouvrage présente douze modèles de la ville, issus du monde de la recherche académique, de bureaux d'études ou d'organismes privés impliqués dans les questions d'aménagement du territoire, regroupés en deux parties. La première présente une série de modèles qui prennent en compte de manière combinée la question des déplacements quotidiens et des localisations résidentielles et d'entreprises, selon des échelles et des temporalités différentes, dans une philosophie qui peut s'assimiler à celle des modèles LUTI (Land-Use and Transportation Integrated models), dont ils offrent une adaptation au cas français sur plusieurs terrains d'étude. La deuxième partie regroupe des modèles fondés sur l'analyse des transports et de l'urbanisation : ils prennent en compte les interactions de ces deux dynamiques, mais se distinguent par une approche centrée sur des questions plus particulières, souvent innovantes, parfois très théoriques, qui offrent autant d'ouvertures pour de nombreux développements futurs. Ainsi, chacun de ces modèles ...
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