Chinese investment and business in Canada: ethnic entrepreneurship reconsidered
In: Pacific affairs, Band 66, Heft 2, S. 219-243
ISSN: 0030-851X
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In: Pacific affairs, Band 66, Heft 2, S. 219-243
ISSN: 0030-851X
World Affairs Online
In: Pacific affairs: an international review of Asia and the Pacific, Band 66, Heft 2, S. 219
ISSN: 1715-3379
In: Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie, Band 29, Heft 4, S. 488-510
ISSN: 1755-618X
Maints auteurs ont affirmé que la race et le sexe repreésentent des bases de fractions de classe en ce sens que leur construction sociale permet à des segments d'une classe de se constituer à partir de caractéristiques liées à la race et au sexe. Cependant, les études ernpiriques antérieures tendent à considérer seulernent la race et le sexe comme des facteurs de fractionnernent au sein de la classe ouvrière seulement. À l'aide des données du recensement de 1986, cette communication analyse lea effets interactifs de la race et du sexe sur le revenu considéré comme facteur de fractionnement des classes. Les recherches de l'auteur indiquent que les effets produits par le groupement par race et par sexe sont inégaux en ce qui trait au revenu, les hommes gagnant davantage que les femmes tout en étant davantage 'fractionnés' par le revenu que les femmes. Lorsqu'on fait abstraction des différences de revenu entre classes, la race et le sexe demeurent des facteurs explicatifs importants du niveau de revenu, bien que leurs effets soient plus marqués chez les cadres, les professionnels et les ouvriers. L'écart entre les sexes est plus prononcé, mais la race demeure importante comme facteur de fractionnement au niveau des revenus des homrnes, měme après correction pour tenir cornpte d'autres variables. L'auteur affirme que l'assimilation des relations de sexe et de race aux relations entre classes est insatisfaisante et qu'il existe de sérieuses considérations théoriques pour considérer que les causes des inégalités entre les sexes et les races se trouvent non seulement à l'intérieur du domaine de la production, mais également à l'extérieur de celui‐ci.The literature has argued that race and gender are bases of class fractions in that their social construction enables segments of a class to be constituted on racialized and gender‐linked characteristics. However, previous empirical works tend to consider race or gender as fractionalizing the working class only. Using the 1986 Census data, this paper analyses the interactive effects of race and gender on earnings as grounds of fractionalizing classes. The findings indicate that race and gender groupings produce unequal effects on earnings: males have an income advantage over females, but race fractionalizes the earnings of men to a greater extent than for women. When inter‐class differences in earnings are removed, race and gender remain important in explaining earnings, although their effects are stronger among the managerial, the professsional, and the working class. The gender gap is more pronounced, but race remains important in fractionalizing the earnings of men even after controlling for other variables. The paper argues that it is insufficient to subsume gender and race relations under class relations, and that there are compelling theoretical grounds to consider gender and race inequality as having roots both within and outside the sphere of production.
In: The annals of the American Academy of Political and Social Science, Band 513, S. 194-195
ISSN: 0002-7162
In: The annals of the American Academy of Political and Social Science, Band 513, Heft 1, S. 194-195
ISSN: 1552-3349
In: Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie, Band 19, Heft 4, S. 527-540
ISSN: 1755-618X
Get article se penche sur l'histoire de travail d'un groupe d'immigrants chinois de première génération, ayant vécu de 50 à 70 ans au Canada. L'étude se concentre plus spécialement sur les expériences de travail vécues avant et pendant la période d'exclusion (1923‐47), à une époque où le Canada interdisait l'immigration chinoise. L'analyse a pour but de tirer des conclusions générales quant à la survie économique d'une minorité ethnique ayant rencontré, au cours de son histoire, une forte discrimination et d'autres obstacles structuraux. L'utilisation d'histoires de cas donne des informations en profondeur sur l'organisation du travail chez un groupe d'immigrants et sur la façon dont ce groupe a été intégré au sein de l'économie canadienne.This paper examines the job histories of a group of first‐generation Chinese immigrants who have been living in Canada from 50 to 70 years. The study focuses on the working experience of the Chinese prior to and during the exclusion era between 1923 and 1947, when they were barred from immigrating to Canada. The purpose of the analysis is to draw some general conclusions about the economic survival of an ethnic minority which has historically encountered severe discrimination and other structural barriers. The use of case histories in this study provides detailed insights into the organization of the working world of an immigrant group, and its incorporation into the Canadian economy.
In: Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie, Band 16, Heft 3, S. 320-332
ISSN: 1755-618X
Bien que les modèles d'acquisition de situation aient apporté des contributions importantes en mettant en question l'approche culturelle par rapport à la stratification ethnique, une large partie des inégalités ethniques reste inexpliquée. Une part de cette lacune peut être comblée par l'examen du processus historique produisant des conditions de marché restreignant la participation d'un groupe ethnique sur le marché du travail.Ce travail retrace l'expérience des Chinois au Canada entre 1858 et 1930, et entend montrer que les choix de professions de la part des Chinois étaient en grande partie limités par les conditions du marché tels que la demande de main‐d'oeuvre à bon marché, et le développement d'un racisme institutionnel. L'apparition d'un marché du travail séparé ainsi que d'une force de travail chinoise occasionnelle peuvent être envisagées comme une conséquence du racisme institutionnel, alors que l'expansion des affaires ethniques constitue une réponse à un environnement hostile. Le cas des Chinois illustre l'efficacité des approches historiques dans le cadre de la stratification ethnique.While status attainment models have made important contributions in challenging the cultural approach to ethnic stratification, a substantial portion of ethnic inequality remains unexplained. Part of this gap may be filled by examining the historical process that produces those market conditions which restrict the participation of an ethnic group in the labour market.This paper traces the experience of the Chinese in Canada between 1858 and 1930, and argues that the occupational choices of Chinese were largely constrained by market conditions, such as the demand for cheap labour and the development of institutional racism. The emergence of a split labour market and a casual Chinese labour force may be viewed as consequences of institutional racism, while the rise of ethnic business, a response to a hostile environment. The case of the Chinese illustrates the efficacy of historical approaches in ethnic stratification.
In: Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie, Band 16, Heft 2, S. 231-236
ISSN: 1755-618X
In: Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie, Band 15, Heft 1, S. 31-40
ISSN: 1755-618X
In: The sociological quarterly: TSQ, Band 18, Heft 4, S. 478-489
ISSN: 1533-8525
In: Journal of comparative family studies, Band 8, Heft 1, S. 47-63
ISSN: 1929-9850
Ethnic kinship systems have frequently been evaluated in the context of culture, and in particular, the culture of poverty. This paper argues that kinship variations among ethnic groups may be more appropriately interpreted as differential responses to structural constraints . Using both official statistics and field materials, this paper shows how Chinese immigrants to the U .S. developed various kinship mechanisms such as pseudo-sons, hasty marriages and kinship chains in trying to circumvent a legal system which seeks to exclude them from entering the country. The formation of these kinship ties, whether real or fictive, cannot be seen in isolation from the historical and structural conditions under which the Chinese were admitted to the U.S..
In: Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie, Band 44, Heft 1, S. 65-99
ISSN: 1755-618X
La documentation sur le sujet n'est pas décisive quant à savoir si léconomie ethnique enclavée enregistre un rendement économique comparable chez les travailleurs et les entrepreneurs immigrants à ceux qui se situent dans le courant économique principal. Les auteurs de cette étude utilisent des données du Recensement du Canada de 2001 sur la langue la plus utilisée au travail din de mesurer la participation des immigrants chinois à léconomie enclavée. Après les avoir comparés au capital humain ainsi qu'aux variations liées au travail et au milieu urbain, les résultats démontrent que le rendement est moins élevé chez les hommes et chez les femmes de l'enclave que celui des gens qui se trouvent dans le courant économique principal. Les caractéristiques de la langue et le type de travail qui s'effectue dans léconomie enclavée expliquent pourquoi le rendement y est inférieur à celui obtenu dans le courant économique principal.The literature in inconclusive as to whether the immigrant enclave economy offers returns to immigrant workers and entrepreneurs comparative to those in the mainstream economy. This study uses data from the 2001 Census of Canada on language most often used at work to measure enclave economy participation for Chinese immigrants. The findings show that returns are lower for men or women in the enclave than those in the mainstream economy, respectively, after controlling for human capital, work‐related and urban variations. Language features of and job type in the enclave economy explain why returns are inferior to that of the mainstream economy.
In: Journal of comparative family studies, Band 23, Heft 2, S. 217-229
ISSN: 1929-9850
Gender Differences in Work Interruptions as Unequal Effects of Marriage and Childrearing: Findings From A Canadian National Survey Research on work interruption has shown substantial gender differences in the propensity to quit. Although the adverse effects of job interruption have been used to explain why some women have lower earnings, gender difference in job discontinuity has largely been interpreted as results of unequal work environment. This paper compares work interruption for men and women using a 1984 national sample of Canadians, and argues that some of their differences in job discontinuity can be attributed to the unequal effects of marriage and childrearing. The findings show that although women are more likely than men to experience work interruption, and for a longer duration, job interruption affects women more adversely than men in terms of their likelihood to return to work, when differences in work environment facing part-time work and fulltime work have been taken into account. Gender differences in work interruption can be attributed to unequal effects of marriage and childrearing. Our data confirm that marriage and childrearing explain a substantial part of job discontinuity for women but not for men.
In: Labour / Le Travail, Band 27, S. 348