Suchergebnisse

The above article, a chapter from a larger work on the socio-historical foundation of Prussia, deals with the only peasants' revolt of importance that ever took place in Germany east of the Elbe. In September 1525, when in western Germany the after-effects of the great revolt were ebbing down, the peasants in the recently secularized dukedom of Prussia revolted against the rising nobility. The course of the peasants' action and the insufficient assistance they received from the town of Konigsberg and its citizens are sketched separately from material gathered from a contemporary chronicle. Already five days after the outbreak of the revolt and before serious acts of violence had occurred, the aristocratic town-council of Königsberg effected peace between the peasants and the nobility. After the return of the duke from Germany, severe punishments were inflicted, followed in the next year by the statutory regulation of all the new peasants' obligations.Special attention deserve: the close connection between the peasant movement and contemporary unrests in Konigsberg; the influence that radiated from there; the lack of support from the towns as the cause of the speedy break-down of the revolt; its pronouncedly political character, hardly influenced by religious ideas and aiming at rooting out the aristocratic "weeds". The leading elements of the revolt were the well-to-do, self-confident, free peasants—of German as well as of Polish descent—and not the mostly impoverished serfs, which proves that no peasants' revolts occurred east of the Elbe not because of the favourable condition of the peasants there, and that also in this one particular case socially higher situated elements were sooner inclined to revolt against suppression.

This book, first published in 1976, re-examines many aspects of the German Peasant War of 1525, important as the first national peasant revolt in Germany and because of the influence of Engels' work on the subject. With one contributor noting the similarities between the organisation, demands and action of the Swabian peasants and those of the Zapatas of Mexico four centuries later, these essays provide remarkable insights and analyses into the enduring importance of the German Peasant War.

International audience ; S'intéresser à l'emploi du marbre dans l'architecture de Philibert De l'Orme peut paraître surprenant, et étonnera peut-être les parfaits connoisseurs de l'architecte ; tant il est vrai qu'il ne s'agit pas, a priori, d'une des caractéristiques de l'oeuvre de celui dont nous avons célébré, en 2014, le cinq-centième anniversaire. Pourtant, quelques lignes de De L'Orme, notamment dans le chapitre XIV de son Premier tome de l'architecture qui laissent supposer que le sujet mérite des développements et peut apporter quelque nouveauté, ne sont pas trompeuses et il y a bien une pensée du marbre chez notre architecte. Si bien des recherches doivent encore être entreprises et si cet essai n'est qu'une première esquisse d'un travail qui mériterait d'être poursuivi, nous pouvons d'ores et déjà distinguer, dans le corpus de De l'Orme, deux domaines particulièrement intéressants pour notre propos : les considérations de « politique » marbrière qui traversent l'oeuvre théorique et les préconisations quant à l'emploi du marbre qui, annoncées dans ses écrits, se vérifient dans certaines réalisations. « Lesquels il ne faut d'ici en avant chercher ou envoyer quérir hors du Royaume » Philibert De l'Orme avait toutes les raisons de s'intéresser au marbre polychrome : une formation intellectuelle poussée et des connaissances en théologie 1 , une formation culturelle approfondie qui l'avait notamment conduit en Italie où il avait pu admirer un sens très aigu de l'utilisation du marbre dans l'architecture et le décor. Sa conception même de l'architecture qui, comme l'affirme Philippe Potié, est « élaborée dans une constante recherche d'équilibre entre construire et embellir, entre savoir de maître maçon et la découverte de l'architecture antique » 2 , manifestait aussi un intérêt marqué pour le marbre. L'étude du Premier tome peut cependant décevoir. Certes un chapitre entier, le chapitre XIV, est consacré à la question des pierres, mais dans ses considérations sur En quel temps il faut faire provision de ...

International audience ; S'intéresser à l'emploi du marbre dans l'architecture de Philibert De l'Orme peut paraître surprenant, et étonnera peut-être les parfaits connoisseurs de l'architecte ; tant il est vrai qu'il ne s'agit pas, a priori, d'une des caractéristiques de l'oeuvre de celui dont nous avons célébré, en 2014, le cinq-centième anniversaire. Pourtant, quelques lignes de De L'Orme, notamment dans le chapitre XIV de son Premier tome de l'architecture qui laissent supposer que le sujet mérite des développements et peut apporter quelque nouveauté, ne sont pas trompeuses et il y a bien une pensée du marbre chez notre architecte. Si bien des recherches doivent encore être entreprises et si cet essai n'est qu'une première esquisse d'un travail qui mériterait d'être poursuivi, nous pouvons d'ores et déjà distinguer, dans le corpus de De l'Orme, deux domaines particulièrement intéressants pour notre propos : les considérations de « politique » marbrière qui traversent l'oeuvre théorique et les préconisations quant à l'emploi du marbre qui, annoncées dans ses écrits, se vérifient dans certaines réalisations. « Lesquels il ne faut d'ici en avant chercher ou envoyer quérir hors du Royaume » Philibert De l'Orme avait toutes les raisons de s'intéresser au marbre polychrome : une formation intellectuelle poussée et des connaissances en théologie 1 , une formation culturelle approfondie qui l'avait notamment conduit en Italie où il avait pu admirer un sens très aigu de l'utilisation du marbre dans l'architecture et le décor. Sa conception même de l'architecture qui, comme l'affirme Philippe Potié, est « élaborée dans une constante recherche d'équilibre entre construire et embellir, entre savoir de maître maçon et la découverte de l'architecture antique » 2 , manifestait aussi un intérêt marqué pour le marbre. L'étude du Premier tome peut cependant décevoir. Certes un chapitre entier, le chapitre XIV, est consacré à la question des pierres, mais dans ses considérations sur En quel temps il faut faire provision de pierres & les tirer des carrières semblablement comment il les faut choisir et mettre en oeuvre & aussi pour connaître leur bonté, Philibert De l'Orme n'a pas la précision d'autres théoriciens. Il préconise, pour se prémunir du gel hivernal, que l'extraction des pierres ait lieu en été, qu'elle respecte le « lit » de la roche et que les carriers veillent à « ôter tout le bousin qui ne vaut rien » 3. Mais en réalité, de la « nature admirable des pierres sous diverses couleurs et qualités », il ne dit presque rien. Considérant que « véritablement qui se voudrait amuser à décrire toutes les susdites sortes de pierres, n'entreprendrait un petit labeur », et que « nos auteurs d'architecture en parlent assez au long », il se contente de lister quelques caractéristiques générales des pierres : humides, sèches, spongieuses, caverneuses, frangibles ou fragiles, aigres ; qui s'éclatent, qui se délitent, qui sont pleines, pesantes, légères, trouées, molles ou dures, d'autre de la nature du feu [.], d'autres qui sont propres pour porter fardeau en tous sens [.], d'autres qui ne veulent être mises en oeuvre que sur leur lit, ainsi que la nature les a faites et non autrement ; d'autres encore qui portent lustre et poliment comme marbre, et d'autres qui représentent minières d'or, d'argent, de cuivre et couleurs fort admirables 4. Le marbre est donc, pour l'architecte, une pierre « qui porte lustre et poliment » et qui présente l'avantage, qu'il semble juger considérable, de n'être point sujette à recevoir des bousins. 1 Qui accorde aux pierres dures, au jaspe notamment, assimilé bien souvent à du marbre, une symbolique particulière.

Ce mémoire s'inscrit dans une tentative de restitution de l'outillage mental avec lequel Claude Haton, un curé de Provins appartenant à la clientèle des Guise et au discours anticalviniste très marqué, a appréhendé la période mouvementée des guerres de Religion. Ce travail de recherche vise plus précisément, grâce à une analyse des mémoires de cet homme, à retracer l'évolution des représentations de la figure royale pendant cette période de mise en cause de l'autorité monarchique. Claude Haton passe en effet d'une image exaltée du roi Henri II à une vision de plus en plus sombre et critique des souverains régnant pendant les guerres de Religion. IL s'agit donc aussi de découvrir les ressorts de cette "politisation" afin de comprendre la manière dont s'articulent les diverses influences à partir desquelles Haton étoffe son imaginaire politique, intégrant à sa grille de lecture exclusivement religieuse du début un nombre croissant d'éléments appartenant à la sphère du politique et affinant ainsi sa compréhension des événements.

Ce mémoire s'inscrit dans une tentative de restitution de l'outillage mental avec lequel Claude Haton, un curé de Provins appartenant à la clientèle des Guise et au discours anticalviniste très marqué, a appréhendé la période mouvementée des guerres de Religion. Ce travail de recherche vise plus précisément, grâce à une analyse des mémoires de cet homme, à retracer l'évolution des représentations de la figure royale pendant cette période de mise en cause de l'autorité monarchique. Claude Haton passe en effet d'une image exaltée du roi Henri II à une vision de plus en plus sombre et critique des souverains régnant pendant les guerres de Religion. IL s'agit donc aussi de découvrir les ressorts de cette "politisation" afin de comprendre la manière dont s'articulent les diverses influences à partir desquelles Haton étoffe son imaginaire politique, intégrant à sa grille de lecture exclusivement religieuse du début un nombre croissant d'éléments appartenant à la sphère du politique et affinant ainsi sa compréhension des événements.

Ce mémoire s'inscrit dans une tentative de restitution de l'outillage mental avec lequel Claude Haton, un curé de Provins appartenant à la clientèle des Guise et au discours anticalviniste très marqué, a appréhendé la période mouvementée des guerres de Religion. Ce travail de recherche vise plus précisément, grâce à une analyse des mémoires de cet homme, à retracer l'évolution des représentations de la figure royale pendant cette période de mise en cause de l'autorité monarchique. Claude Haton passe en effet d'une image exaltée du roi Henri II à une vision de plus en plus sombre et critique des souverains régnant pendant les guerres de Religion. IL s'agit donc aussi de découvrir les ressorts de cette "politisation" afin de comprendre la manière dont s'articulent les diverses influences à partir desquelles Haton étoffe son imaginaire politique, intégrant à sa grille de lecture exclusivement religieuse du début un nombre croissant d'éléments appartenant à la sphère du politique et affinant ainsi sa compréhension des événements.

Ce mémoire s'inscrit dans une tentative de restitution de l'outillage mental avec lequel Claude Haton, un curé de Provins appartenant à la clientèle des Guise et au discours anticalviniste très marqué, a appréhendé la période mouvementée des guerres de Religion. Ce travail de recherche vise plus précisément, grâce à une analyse des mémoires de cet homme, à retracer l'évolution des représentations de la figure royale pendant cette période de mise en cause de l'autorité monarchique. Claude Haton passe en effet d'une image exaltée du roi Henri II à une vision de plus en plus sombre et critique des souverains régnant pendant les guerres de Religion. IL s'agit donc aussi de découvrir les ressorts de cette "politisation" afin de comprendre la manière dont s'articulent les diverses influences à partir desquelles Haton étoffe son imaginaire politique, intégrant à sa grille de lecture exclusivement religieuse du début un nombre croissant d'éléments appartenant à la sphère du politique et affinant ainsi sa compréhension des événements.

в статье рассматриваются основные аспекты политического учения видного шотландского гуманиста XVI в. Джорджа Бьюкенена и анализируется основной его трактат De Jure Regni Apud Scotos («О королевском праве у шотландцев»). ; this article deals with the chief aspects of George Buchanan's political theory, who was himself a prominent Scottish humanist of the XVI cent., and analyses his main treatise De Jure Regni Apud Scotos («On the Right of Kingship among Scots»).