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Le départ est au cœur de l'esprit de la Légion étrangère, et la Légion étrangère permet d'illustrer cette idée du départ. Celui qui s'y engage cherche à trouver autre chose, mais aussi à quitter son passé et à recommencer. Une fois à la Légion étrangère, sa quête se poursuit, et il a l'esprit tout entier tourné par son prochain départ pour un théâtre d'opération lointain, avant que, finalement, le départ pour le combat le conduise au bout de sa recherche. Et, cela, ce sont les chants de la Légion qui en parlent le mieux et nous révèlent son âme…

par Frédéric Masson ; Volltext // Exemplar mit der Signatur: München, Bayerische Staatsbibliothek -- Gall.rev. 577 k

« Je veux décorer mes soldats et mes savants », a expliqué Bonaparte en instituant la Légion d'honneur. Il est aisé de percevoir comment un citoyen sous les armes, prêt à faire le sacrifice de sa vie pour la défense de son pays, peut incarner l'honneur et se voir ainsi récompensé. La chose est parfois moins bien comprise dans le cas de mérites émanant de civils. Réflexions du grand chancelier de l'ordre.

As the leader and founder of the first French "fascist" political organization, the Légion, Antoine Rédier allows us to begin to trace how gender and the family played a pivotal role in the fundamental ideologies of the major fascist and extreme-right political movements of interwar France. Though short-lived, the Légion was importantly the first of several groups on the extreme Right to make gender, the family, and fatherhood central to their political philosophies. By doing so, Rédier and other such political leaders helped pave the way for the transition to the Vichy regime in 1940.