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Session Ad Hoc ; International audience ; Dans ce papier, nous analysons une approche originale en combinant les processus de recouvrement de route et de chemin dans un réseau ad hoc hétérogène utilisant deux technologies sans fil Zigbee et WiFi pour améliorer la robustesse du réseau. Nous proposons une architecture de redondance multi-niveau qui s'appuie sur des protocoles normalisés IEEE et IETF. Elle prend en charge toutes les étapes du processus de recouvrement de chemin depuis la détection de la rupture d'un lien sur le chemin primaire jusqu'à la reprise du trafic sur le chemin secondaire. Une formulation analytique de la fiabilité de chacun des trois schémas de recouvrement de base (recouvrement lien par lien, de bout en bout et par segment) est proposée. L'étude de performance montre l'avantage en terme de fiabilité du recouvrement par segment par rapport aux deux autres politiques. Il apparaît aussi qu'en terme de fiabilité, la gestion des pannes de la route primaire doit s'effectuer au niveau du routage par des protocoles multipath plutôt que par la couche transport.

Session Ad Hoc ; International audience ; Dans ce papier, nous analysons une approche originale en combinant les processus de recouvrement de route et de chemin dans un réseau ad hoc hétérogène utilisant deux technologies sans fil Zigbee et WiFi pour améliorer la robustesse du réseau. Nous proposons une architecture de redondance multi-niveau qui s'appuie sur des protocoles normalisés IEEE et IETF. Elle prend en charge toutes les étapes du processus de recouvrement de chemin depuis la détection de la rupture d'un lien sur le chemin primaire jusqu'à la reprise du trafic sur le chemin secondaire. Une formulation analytique de la fiabilité de chacun des trois schémas de recouvrement de base (recouvrement lien par lien, de bout en bout et par segment) est proposée. L'étude de performance montre l'avantage en terme de fiabilité du recouvrement par segment par rapport aux deux autres politiques. Il apparaît aussi qu'en terme de fiabilité, la gestion des pannes de la route primaire doit s'effectuer au niveau du routage par des protocoles multipath plutôt que par la couche transport.

Session Ad Hoc ; International audience ; Dans ce papier, nous analysons une approche originale en combinant les processus de recouvrement de route et de chemin dans un réseau ad hoc hétérogène utilisant deux technologies sans fil Zigbee et WiFi pour améliorer la robustesse du réseau. Nous proposons une architecture de redondance multi-niveau qui s'appuie sur des protocoles normalisés IEEE et IETF. Elle prend en charge toutes les étapes du processus de recouvrement de chemin depuis la détection de la rupture d'un lien sur le chemin primaire jusqu'à la reprise du trafic sur le chemin secondaire. Une formulation analytique de la fiabilité de chacun des trois schémas de recouvrement de base (recouvrement lien par lien, de bout en bout et par segment) est proposée. L'étude de performance montre l'avantage en terme de fiabilité du recouvrement par segment par rapport aux deux autres politiques. Il apparaît aussi qu'en terme de fiabilité, la gestion des pannes de la route primaire doit s'effectuer au niveau du routage par des protocoles multipath plutôt que par la couche transport.

Session Ad Hoc ; International audience ; Dans ce papier, nous analysons une approche originale en combinant les processus de recouvrement de route et de chemin dans un réseau ad hoc hétérogène utilisant deux technologies sans fil Zigbee et WiFi pour améliorer la robustesse du réseau. Nous proposons une architecture de redondance multi-niveau qui s'appuie sur des protocoles normalisés IEEE et IETF. Elle prend en charge toutes les étapes du processus de recouvrement de chemin depuis la détection de la rupture d'un lien sur le chemin primaire jusqu'à la reprise du trafic sur le chemin secondaire. Une formulation analytique de la fiabilité de chacun des trois schémas de recouvrement de base (recouvrement lien par lien, de bout en bout et par segment) est proposée. L'étude de performance montre l'avantage en terme de fiabilité du recouvrement par segment par rapport aux deux autres politiques. Il apparaît aussi qu'en terme de fiabilité, la gestion des pannes de la route primaire doit s'effectuer au niveau du routage par des protocoles multipath plutôt que par la couche transport.

The IETF P2PSIP Working Group is currently designing a standard overlay protocol, named RELOAD, that employs a centralized node identifier (node-id) assignment for security reasons. Given this scenario, we propose the utilization of a Low Discrepancy Sequence (LDS) for the assignment of node-ids in the P2PSIP architecture. We perform an analytical and simulation study considering a Chord DHT that demonstrates that using a LDS-based node-id assignment guarantees a fair distribution of the node's zone of responsibility, even in high churn scenarios. Previous studies have shown that a fairer distribution of the zones of responsibility sizes leads to a fairer distribution of the storage and routing load. Therefore we conclude that the proposed LDS node-id assignment provides these features without adding any extra overhead. ; This work has been partially supported by the EU through the FP7 TREND Project (257740), the Spanish Government through the T2C2 project (TIN2008-06739-C04-01), and the Regional Government of Madrid through the MEDIANET project (S-2009/TIC- 1468). ; Publicado

EUNICE 2005. IFIP International Workshop on Networked Applications, Colmenarejo, Madrid/Spain, 6–8 July, 2005. (Proceedings of the 11th Open European Summer School EUNICE 2005: Networked Applications) ; This paper proposes an API for Multihoming in IPv6. This API is based on the Hash Based Addresses and Cryptographically Generated Addresses approaches, which are being developed by the IETF multi6 Working Group. The support of Multihoming implies several actions such as failure detection procedures, reachability tests, re-homing procedures and exchange of locators. Applications can benefit from transparent access to Multihoming services only if per host Multihoming parameters are defined. However, more benefits could be obtained by applications if they will be able to configure these parameters. The proposed Multihoming API provides different functions to applications which can modify some parameters and invoke some functions related with the Multihoming Layer. ; This work has been partly supported by the European Union under the E-Next Project FP6506869 and by OPTINET6 project TIC-2003-09042-C03-01.

1st IEEE International Workshop on Future Multimedia Networking - FMN´08, 16th-19th September 2008, (Cardiff, Wales, United Kingdom) ; The provision of innovating multimedia services is a high priority for service providers. Due to the the high traffic volume characteristics of multimedia content, decentralised services are a desired solution for multimedia scenarios. Based on the ongoing work of the IETF P2PSIP WG this paper defines a simple way to interconnect different domains using on peer-to-peer technology. The objective is to provide connectivity between users of different domains and allow decentralised multimedia services to be placed where they can be provided most effectively. Furthermore, the routing performance and routing state is analysed for the proposed hierarchical DHT overlay architecture. ; This work has been supported by the European Union under the IST Content NoE (FP6-2006-IST-038423), by the Regional Government of Madrid under the BioGridNet project (CAM, S-0505/TIC-0101) and by the Ministry of Science and Innovation under the CONPARTE project (MEC, TEC2007-67966-03-03/TCM). ; En prensa

The evolution of technology has made the connection of all types of devices to IP networks possible. In this paper, the authors investigate the possible usage of IPv6 in sensor networks connected through the Power Line Communication (PLC) non-wireless medium and demonstrate possible interoperability. This work is based on the adaptation of the IEEE 802.15.4 standard protocol constrained by the low-power, lossy and low data-rate context of PLC transceiver that uses pulse modulation. The aim is to provide interoperability features with other media using a robust and reliable communication stack. The target application of such results ranges from smart metering and environment monitoring to home control and urban area energy efficiency applications. This paper proposes the first adaptation of the IEEE 802.15.4 standard commons for the PLC medium. Following this standard interface, the authors demonstrate data communication on PLC with low power energy requirement using the pulse PLC physical layer. This paper also presents an initial implementation of the Routing Protocol for Low power and lossy networks (RPL) setup proposed by the IETF working group. In this context, the authors demonstrate interoperability in a testbed between PLC and Wireless Sensor Networks (WSN).

QUIC, fostered by Google and under standardization in the IETF, integrates some of HTTP/s, TLS, and TCP functionalities over UDP. One of its main goals is to facilitate transport protocol design, with fast evolution and innovation. However, congestion control in QUIC is still severely jeopardized by packet losses, despite implemented loss recovery mechanisms, whose behavior strongly depends on the Round Trip Time. In this paper, we design and implement rQUIC, a framework that enables FEC within QUIC protocol to improve its performance over wireless networks. The main idea behind rQUIC is to reduce QUIC's loss recovery time by making it robust to erasures over wireless networks, as compared to traditional transport protocol loss detection and recovery mechanisms. We evaluate the performance of our solution by means of extensive simulations over different type of wireless networks and for different applications. For LTE and Wifi networks, our results illustrate significant gains of up to 60% and 25% savings in the completion time for bulk transfer and web browsing, respectively. ; Özgü Alay was partially supported the Norwegian Research Council project No. 250679 (MEMBRANE). Ramón Agüero was partially supported by the Spanish Government (MINECO, MCIU, AEI, FEDER) by means of the projects ADVICE: Dynamic provisioning of connectivity in high density 5G wireless scenarios (TEC2015-71329-C2-1-R) and FIERCE: Future Internet Enabled Resilient Cities (RTI2018-093475-A-100).

Provides an in-depth coverage of TV White Space Technology (TVWS) and the various challenges of its new innovations This book covers the full spectrum of TVWS technology including regulations, technology, standardizations, and worldwide deployments. It begins with an introduction to cognitive radio and TVWS. The regulation activities in TVWS throughout North America, Europe, and Asia Pacific are covered in depth. After a discussion of regulations, the authors examine the standardizations developed to specify the enabling technologies of TVWS systems. The following chapter focuses on the key technologies that differentiate TVWS from a conventional wireless communication system. . Describes various worldwide use cases and deployments based on the needs of the consumers. Covers IEEE 802.19.1, IEEE 802.22, IEEE 802.11af, IEEE 802.15.4m, and IETF protocol for Accessing White Spaces. Studies the market and commercial potential of TVWS and other spectrum sharing technologies. Discusses technological trends in spectrum sharing and additional applications that could leverage on TVWS and other spectrum sharing technologies TV White Space: The First Step Towards Better Utilization of Frequency Spectrum is written for telecommunications/networks operators, researchers, engineers, government regulators, technical managers, and network equipment manufacturers. Ser Wah Oh is the Head of the White Space Communications Department at the Institute for Infocomm Research (I2R), Singapore. He is also the co-founder and co-chair of the Singapore White Spaces Pilot Group, co-chair of Singapore TVWS Task Force, and member of Singapore Telecom Standards Advisory Committee. He previously led a team to contribute to the Federal Communications Commission (FCC) TVWS field trial in 2008 that helped to shape the TVWS landscape today.

As famous as the quotation by Lawrence Lessing "Code is law", the sentence by David Clark at a meeting at the IETF in 1992 "We reject kings, presidents and voting, we believe in rough consensus and running code" became a "motto for Internet standardization" (Russell, 2006) that invites us to have a look at the past relationships and intertwinements between networks design and governance. From the 1970s topics related to distribution and openness have become key in networks infrastructures, while complementary issues related to asymmetries and multi-stakeholderism (Raymond and DeNardis 2015) have been emphasized in the 1990s and 2000s, and notably during the WSIS in Tunis and Geneva. Research related to Internet governance (Mueller and Badiei, 2020; Musiani, Schafer, 2021) has also brought to the table strong issues related to agencies, privacy, and many others that have strongly followed the development of networks and their uses as well as controversies related to net neutrality or information flows for example (DeNardis, 2020). This presentation will go through several historical case studies and rethink them through the lens of infrastructure design and governance, from Arpanet in the 1970s, XNS and then the OSI (Russell, 2014), to web archives (Schafer, Winters 2021) and research infrastructures today, through past designs and attempts, related to the Web and Xanadu, the Minitel (Schafer, Thierry, 2012; Mailland, Driscoll, 2017), platforms like Wuala (Musiani, 2022) and Wikipedia (Cardon and Levrel, 2009). This will allow us to explore some notions and approach related to closure, secret, incentives, empowerment, while finally moving from "governance" to "good governance" and its challenges.

With the recent explosion of the Internet and the enormous business opportunities available to communication system providers, great interest has developed in improving the efficiency of data transfer using the Transmission Control Protocol (TCP) of the Internet Protocol (IP) suite. The satellite system providers are interested in solving TCP efficiency problems associated with long delas and error-prone links. Similarly, the terrestrial community is interested in solving TCP problems over high-bandwidth links. Whereas the wireless community is intested in improving TCP performance over bandwidth constrained, error-prone links. NASA realized that solutions had already been proposed for most of the problems associated with efficient data transfer over large bandwidth-delay links (which include satellite links). The solutions are detailed in various Internet Engineering Task Force (IETF) Request for Comments (RFCs). Unfortunately, most of these solutions had not been tested at high-speed (155+ Mbps). Therefore, the NASA's ACTS experiments program initiated a series of TCP experiments to demonstrate scalability of TCP/IP and determine how far the protocol can be optimised over a 622 Mbps satellite link. These experiments were known as the 118i and 118j experiments. During the 118i and 118j experiments, NASA worled closely with SUN Microsystems and FORE Systems to improve the operating system, TCP stacks, and network interface cards and drivers. We were able to obtain instantaneous data througput rates of greater than 529 Mbps and average throughput rates of 470 Mbps using TCP over Asynchronous Transfer Mode (ATM) over a 622 Mbps Synchronous Optical Network (SONET) OC12 link. Following the success of these experiments and the successful government/industry collaboration, a new series of experiments, the 118x experiments, were developed.

Ouvrage de vulgarisation ; Who runs the Internet ? In this original and well-documented book, Pierre Mounier shows that the history of cyberspace looks like that the birth of a new nation : after the time of sharing comes that of money. In less than ten years, cyberspace has moved into the spheres of power. Who runs the Internet ? The answer is not only institutional, technical or economic. It is fundamentally political. ; Qui dirige Internet ? La question, accessoire il y a encore quelques années, prend aujourd'hui une dimension nouvelle. Au départ réseau de communication à usage militaire, puis utilisé par les scientifiques, Internet s'est depuis largement ouvert au grand public, suscitant des conflits d'intérêt croissants entre des acteurs toujours plus puissants. Dans ce livre original et documenté, Pierre Mounier montre que la jeune histoire du cyberespace ressemble à celle de la fondation d'une nouvelle nation : après le temps du partage, des patriarches et de la netiquette, vient celui de l'argent, des puissants et de la législation. L'égalité au sein d'une petite élite d'accord sur l'essentiel laisse progressivement la place à une foire d'empoigne : cybercrates, marchands et netizens (citoyens) investissent l'arène où ils combattent avec leurs propres armes. En moins de dix ans, le cyberespace est devenu moderne : il est entré dans l'ère du pouvoir. Mais ce pouvoir n'est jamais absolu : diffus et insaisissable, il circule dans divers organismes techniques - ICANN, IETF, W3C - inconnus du grand public. Il faut le débusquer derrière des choix technologiques, des rapprochements anodins, des déclarations obscures qui convergent vers un même objectif : la domination d'un réseau conçu, à l'origine, pour être incontrôlable. Qui dirige Internet ? La réponse, affirme Pierre Mounier, n'est pas seulement institutionnelle, technique ou économique, elle est tout cela à la fois. Elle est, fondamentalement, politique.

Ouvrage de vulgarisation ; Who runs the Internet ? In this original and well-documented book, Pierre Mounier shows that the history of cyberspace looks like that the birth of a new nation : after the time of sharing comes that of money. In less than ten years, cyberspace has moved into the spheres of power. Who runs the Internet ? The answer is not only institutional, technical or economic. It is fundamentally political. ; Qui dirige Internet ? La question, accessoire il y a encore quelques années, prend aujourd'hui une dimension nouvelle. Au départ réseau de communication à usage militaire, puis utilisé par les scientifiques, Internet s'est depuis largement ouvert au grand public, suscitant des conflits d'intérêt croissants entre des acteurs toujours plus puissants. Dans ce livre original et documenté, Pierre Mounier montre que la jeune histoire du cyberespace ressemble à celle de la fondation d'une nouvelle nation : après le temps du partage, des patriarches et de la netiquette, vient celui de l'argent, des puissants et de la législation. L'égalité au sein d'une petite élite d'accord sur l'essentiel laisse progressivement la place à une foire d'empoigne : cybercrates, marchands et netizens (citoyens) investissent l'arène où ils combattent avec leurs propres armes. En moins de dix ans, le cyberespace est devenu moderne : il est entré dans l'ère du pouvoir. Mais ce pouvoir n'est jamais absolu : diffus et insaisissable, il circule dans divers organismes techniques - ICANN, IETF, W3C - inconnus du grand public. Il faut le débusquer derrière des choix technologiques, des rapprochements anodins, des déclarations obscures qui convergent vers un même objectif : la domination d'un réseau conçu, à l'origine, pour être incontrôlable. Qui dirige Internet ? La réponse, affirme Pierre Mounier, n'est pas seulement institutionnelle, technique ou économique, elle est tout cela à la fois. Elle est, fondamentalement, politique.

Ouvrage de vulgarisation ; Who runs the Internet ? In this original and well-documented book, Pierre Mounier shows that the history of cyberspace looks like that the birth of a new nation : after the time of sharing comes that of money. In less than ten years, cyberspace has moved into the spheres of power. Who runs the Internet ? The answer is not only institutional, technical or economic. It is fundamentally political. ; Qui dirige Internet ? La question, accessoire il y a encore quelques années, prend aujourd'hui une dimension nouvelle. Au départ réseau de communication à usage militaire, puis utilisé par les scientifiques, Internet s'est depuis largement ouvert au grand public, suscitant des conflits d'intérêt croissants entre des acteurs toujours plus puissants. Dans ce livre original et documenté, Pierre Mounier montre que la jeune histoire du cyberespace ressemble à celle de la fondation d'une nouvelle nation : après le temps du partage, des patriarches et de la netiquette, vient celui de l'argent, des puissants et de la législation. L'égalité au sein d'une petite élite d'accord sur l'essentiel laisse progressivement la place à une foire d'empoigne : cybercrates, marchands et netizens (citoyens) investissent l'arène où ils combattent avec leurs propres armes. En moins de dix ans, le cyberespace est devenu moderne : il est entré dans l'ère du pouvoir. Mais ce pouvoir n'est jamais absolu : diffus et insaisissable, il circule dans divers organismes techniques - ICANN, IETF, W3C - inconnus du grand public. Il faut le débusquer derrière des choix technologiques, des rapprochements anodins, des déclarations obscures qui convergent vers un même objectif : la domination d'un réseau conçu, à l'origine, pour être incontrôlable. Qui dirige Internet ? La réponse, affirme Pierre Mounier, n'est pas seulement institutionnelle, technique ou économique, elle est tout cela à la fois. Elle est, fondamentalement, politique.