Why are motion pictures often attributed to authors – or "filmmakers" – while dozens of names and occupations appear in film credits? Following Foucault's definition of authorship as a form of appropriation, this dissertation focuses on copyright law and authorship battles in order to explain the origins and existence of film authors. Rather than considering authors as the individuals who "make" movies or as a fiction overshadowing the collective nature of filmmaking, I show that the attribution of films to authors is the result of the division of filmmaking labor and its power relations. This research uses a sociohistorical perspective and a transnational approach centered on the United States and France, where film authors are not granted the same authorship rights. It sheds light on the national, international and transnational dimensions of the appropriation of motion pictures. This study starts when film authors first appeared in copyright law: as early as the 1900s.The first part of this dissertation focuses on the writing of motion pictures' property rights from the birth of cinema to the passing of the French copyright law of 1957 and of the Copyright Act of 1976. After decades of battles, these laws provided different definitions of film authors and granted them with different property rights. Using legal publications, congressional records and reports, as well as film journals, I study French and American laws as the results of a codification process shaped by preexisting law and by the cooperation and power relations between lawyers, public officials, politicians and film organizations. A study of the revisions of the Berne Convention for the protection of literary and artistic works also show the interdependency between national and international norms of film authorship and copyright law.The second part of the dissertation study the appropriation of motion pictures as a social relation based on the division of filmmaking labor and social labor. Film authorship battles which started in the 1910s contributed to the creation of professional hierarchies and to the differentiation of film value from other forms of economic and artistic value. I use various writings of film professionals, along with other sources, to show that film authorship was shaped by various aspects of film production, dissemination and reception (including the power relations between film professionals, the diversity of film careers and the uses of authors' names by film critics and audiences). To study the division of filmmaking labor, I use Pierre Bourdieu's research on cultural fields, Howard Becker's work on art worlds as well as scholarship on professions. The dissertation also shows that the professional hierarchies of motion picture production interrelate with various forms of domination common to other fields. For example, gender helped to establish and legitimate hierarchies between professions and occupations, to distribute film labor and to exclude women from dominant professions. Film production also generated huge economic inequalities which nurtured authorship battles and rose the prestige of authors. Lastly, I show that film authorship was influenced by transnational circulations of movies, workers and ideas, by the asymmetries of the international film market and by film nationalism. To study the international division of filmmaking labor, I use world-systems theory, research on translations and quantitative data.The third part of the dissertation focuses on film directors and their copyright battles since the 1960s. Film directors took part in the negotiations of bargaining agreements, the French copyright law of 1985, the ratification of the Berne Convention by the United States and various laws sanctioning "internet piracy" (such as HADOPI law and the SOPA law). In these legal battles, film directors claimed to be authors in order to be granted with rights fostering their power, recognition and earnings. The legal claims were denounced by other filmmakers who challenged film authorship, copyright law and the interests of dominant film companies. Using the concept of field, biographical data, network analysis and multiple correspondence analysis, I explain that the alliances and oppositions of filmmakers in copyright battles were shaped by their professional careers. I study the political representation of film directors by members and leaders of their professional organizations. I conducted dozens of interviews to understand the points of views of French filmmakers on their property rights and on economic inequalities between film professionals. I show that their points of view vary according to their incomes and positions in the filmmaking field.This dissertation is meant to be useful for scholars interested in the history of copyright law, motion pictures, authorship, the division of (artistic) labor, professions and transnational approaches. ; Pourquoi les films de cinéma sont-ils souvent attribués à des auteurs alors même que leurs génériques énumèrent des dizaines de noms propres et de noms de métiers ? A la suite de Michel Foucault et de sa définition de la « fonction-auteur » comme forme d'appropriation des discours, cette thèse étudie la genèse et l'existence des auteurs de films au prisme des luttes de définition de leurs droits de propriété. Plutôt que de considérer les auteurs de cinéma comme ceux qui « font » les films ou comme une fiction occultant le caractère collectif de leur fabrication, elle montre que les auteurs sont les produits d'une division du travail cinématographique et des rapports de domination qui la traversent. Ce travail, inscrit dans une perspective de sociologie historique, adopte un référentiel binational centré sur la France et les Etats-Unis, où les auteurs de films ne disposent pas des mêmes droits. Il vise à objectiver les dimensions nationales, internationales et transnationales de l'appropriation des films. La période étudiée débute au moment où des personnes et des groupes ont été définis juridiquement comme des auteurs de cinéma : dès les années 1900.La première partie de ce texte est consacrée à la définition du droit de propriété des films depuis l'émergence du cinéma jusqu'à l'adoption de la loi du 11 mars 1957 et du Copyright Act de 1976. Après des décennies de débats, ces lois ont défini différemment l'identité et les droits des auteurs de films. A partir de publications juridiques, cinématographiques et parlementaires, on étudie ces lois comme les résultats d'un travail de codification structuré par des normes préexistantes et par les relations entre les acteurs qui ont participé à leur rédaction. Le développement du droit de propriété cinématographique est à la fois la cause et la conséquence de la constitution d'un espace de négociation regroupant des professionnels du droit, des hauts fonctionnaires, des professionnels de la politique et des organisations professionnelles du cinéma, dont certaines se sont constituées dans le but de défendre le statut d'auteur de leurs membres. La thèse montre ce que les normes du droit de propriété cinématographique français et américain doivent aux savoir-faire et concurrences entre des experts du droit de propriété intellectuelle, ainsi qu'aux relations entre des organisations professionnelles inégalement dotées en ressources économiques, juridiques et politiques. En examinant les révisions de la Convention de Berne, on analyse les interdépendances entre les processus de définition des normes nationales et internationales de la propriété des films. La deuxième partie de la thèse prolonge et dépasse l'étude du droit de propriété en analysant l'appropriation des films comme une relation structurée par la division du travail cinématographique et social. Les luttes de définition de l'auteur de film qui ont débuté dans les années 1910 ont contribué à la hiérarchisation du personnel cinématographique et à la différenciation de la valeur cinématographique par rapport à d'autres formes de valeur économique et artistique. Des témoignages, autobiographies et publications cinématographiques permettent de montrer que l'attribution des films à des auteurs dépend de diverses relations de production, de diffusion et de valorisation des films, comme la répartition des tâches et du pouvoir entre le personnel, les incertitudes et inégalités qui structurent les trajectoires des prétendants au statut d'auteur et les vertus cognitives et distinctives de la fonction-auteur employée par les critiques et une fraction des spectateurs. On mobilise pour cela les travaux de Pierre Bourdieu sur les champs de production culturelle, d'Howard Becker sur les mondes de l'art et d'autres recherches sur les professions et artistiques et non-artistiques. En outre, la thèse constate que les hiérarchies professionnelles du cinéma se sont construites à l'intersection de rapports de domination communs à différents domaines d'activité. Par exemple, le genre a servi à hiérarchiser les groupes professionnels, à répartir le travail cinématographique et à exclure les femmes de certains métiers du cinéma. Le cinéma a produit d'immenses inégalités de richesse qui ont attisées les luttes de définition de l'auteur et accru le prestige de certains métiers. La thèse explique également ce que les hiérarchies professionnelles du cinéma doivent à des échanges transnationaux, des concurrences internationales et aux nationalismes et universalismes cinématographiques. A cette fin, elle objective les asymétries de la division internationale du travail cinématographique, à l'aide des concepts de centre et de périphérie employés par la théorie des systèmes-monde, de travaux sur les échanges internationaux de biens culturels et de données sur les palmarès de festivals internationaux et la production et les échanges de films.La troisième partie est centrée sur les cinéastes et leur mobilisation autour du droit de propriété des films depuis les années 1960. En négociant des conventions collectives, la loi du 3 juillet 1985 sur le droit d'auteur, l'adhésion des Etats-Unis à la Convention de Berne et des lois réprimant les pratiques dites de téléchargement illégal (comme les lois HADOPI et SOPA), des réalisateurs, des réalisatrices et leurs organisations ont fait valoir le statut d'auteur pour obtenir ou défendre des droits censés accroître leur pouvoir, leur reconnaissance et leurs revenus. Leurs revendications ont été dénoncées par des cinéastes remettant en cause la notion d'auteur, la propriété des œuvres et/ou les intérêts d'entreprises dominantes. Les alliances et divisions des cinéastes français sont rapportées à leurs trajectoires cinématographiques grâce au concept de champ et à des données prosopographiques traitées en combinant les méthodes de l'analyse des correspondances multiples et de l'analyse de réseaux. La thèse étudie la division du travail de représentation des cinéastes entre des professionnels plus ou moins connus et reconnus, des militants et des dirigeants de sociétés d'auteurs. Sur la base d'entretiens et d'observations, on observe les points de vue des cinéastes français sur leurs droits de propriété et sur la répartition de l'argent entre les groupes professionnels du cinéma. Ces points de vue varient en fonction des positions des cinéastes dans la division du travail cinématographique, dans le champ du cinéma et dans des hiérarchies économiques, objectivées à l'aide de données statistiques.Ce travail s'adresse ainsi aux personnes intéressées par l'histoire du droit d'auteur, du copyright, du cinéma, de ses auteurs et de leurs modes de production ; aux personnes réfléchissant à la division, la hiérarchisation et l'appropriation du travail artistique ou non-artistique ; aux personnes intéressées par les approches transnationales.
Solo exhibition, touring to Eastside Projects (Birmingham, Nov 2010 - Jan 2010), Cornerhouse (Manchester, Feb - April 2011), mima (Middlesbrough, April - July 2011). The exhibition offered a survey of ten years of the artist's practice and included a major new video commission, entitled 'Memento Park'. Exhibition press release: Eastside Projects proudly presents the debut of Memento Park, a major touring solo show by Carey Young commissioned in conjunction with Cornerhouse, Manchester and mima, Middlesbrough. A new video commission, Memento Park (2010), is central to the exhibition, which surveys a decade of the artist's practice, including a number of key video works and recent photographic and text works. Carey Young's internationally renowned work focuses on the interconnections between economic systems, legal language and contemporary culture. Using a variety of media and settings she often uses found tools, language and training processes from the worlds of the multinational corporation and global law firm, altering them to create fictional and absurd scenarios which explore notions of performance, autonomy, criticality and imagination. Positioning herself as an insider to these predominant systems, she takes a stance between complicity and resistance as she criticizes them playfully through the use of their own methods and language. Key to the exhibition, Memento Park was shot in a statue park in Budapest containing a large collection of monumental, socialist realist Soviet statues in poses of 'suspended animation'. We see the figures surrounded by bustling contemporary life passing by outside the park, which undercuts the statues' historical importance and impressive physical impact by giving them a provisional, peripheral context reminiscent of the works of the late post-minimal artist Robert Smithson. Nevertheless, the seductive lushness of the surrounding greenery, shot mainly at the beginning and end of the day, gives these icons of propaganda a strange and beautiful serenity, as if we are witnessing the dusk and dawn of an idyll. This subtle and nuanced new work expands and laterally shifts the focus of Young's ongoing interests in performance, politics and rhetoric. Many of the recent works have not been seen in the UK before, including a new image from the artist's Redshift series (2010), a series of cameraless photographs created in the darkroom by exposing light through translucent meteorite fragments as if they were photographic negatives, presented with a text relating to experimental ideas in copyright, and its relation to time and the distribution of images; and Obsidian Contract (2010), a legal text proposing the exhibition space as a new area of publicly-owned land via a reversed text reflected in a black mirror, a device which has a long tradition within witchcraft and the occult in many cultures, and is also associated with the Romantic landscape tradition in painting. Eastside Projects has been altered to form three cinema rooms housing the videos Memento Park (2010), Uncertain Contract (2009) and Product Recall (2007). In Uncertain Contract, we see an actor interpret a script composed of legal terms from a commercial contract, the white backdrop of his rehearsal space referencing the 'white cube' of the gallery as well as the appearance of contractual documents. The specific terms of the contract have been omitted, leading to an 'uncertain' contract in which the meaning is open to interpretation. For Product Recall, we see Carey Young undergoing a psychoanalysis session in which she is asked to remember a series of advertising slogans belonging to global companies, all whom are active as art sponsors and which brand themselves around 'imagination' or 'inspiration'. It remains ambiguous whether the point of the exercise is for the artist to remember the slogans, or to forget them. The rooms reform gallery space through a sequence of finished and unclad stud walls providing spaces for monitor based video works Terms & Conditions (2004), I am a Revolutionary (2001), and Everything You've Heard is Wrong (1999) and works from the photographic series Body Techniques (2007). Terms and Conditions is a short video that features a female presenter speaking to camera in a welcoming tone whilst standing in an idyllic agricultural landscape. Her speech appears to discuss the 'site' but the text is actually a composite of disclaimers from corporate websites, within the rural setting, the speech seems both absurd and curiously apt. I am a Revolutionary sees the artist within the stage-like environment of an empty office space, undergoing a presentation skills training session with her own personal trainer. Together they work hard at perfecting a line from what appears to be a larger speech—"I am a revolutionary"—words which could equally come from heroic 'business leadership' rhetoric as from the words of political or anti-globalisation agitators. Everything You've Heard is Wrong is a video of a performance held at Speakers' Corner, London, in which Young, dressed in a smart business suit, delivers a skills workshop on successful corporate-style communication in the midst of the traditional Sunday mayhem of speakers and onlookers. Body Techniques is a new series of eight photographs that considers the interrelationships between art and globalized commerce. The title of the series refers to a phrase originally coined by Marcel Mauss and developed by Pierre Bourdieu as habitus, which describes how an operational context or behavior can be affected by institutions or ideologies. Set in the vast building sites of Dubai and Sharjah's futuristic corporate landscape, the series sees the artist alone and dressed in a suit, reworking some of the classic performance-based works associated with Conceptual art, including pieces by Richard Long, Bruce Nauman, Dennis Oppenheim and Valie Export. In recasting earlier works centered around the physicality of the body in time and space, it is ambiguous whether the artist is molding herself to the landscape or exploring ways of resisting it. Three further text works complete the exhibition, including Cautionary Statement (2007), a text piece based on 'forward looking statements', a type of corporate disclaimer allowing firms to discuss the future whilst not being held to account if such statements do not come to pass; and a new version of Inventory (2007), which declares the current total value of the chemical elements that make up the artist's body on the exterior billboard of Eastside Projects. A new major monographic publication will accompany the exhibition, with texts by Jennifer Allen, Raimundas Malasauskas and Jill Magid and Carey Young. Memento Park tours to Cornerhouse, Manchester (4 Feb – 20 March 2011) and mima, Middlesbrough (31 March – 10 July 2011). Each venue will present a different selection of works by the artist, allowing a variety of themes to emerge across her diverse and ambitious practice. Research Profile: Carey Young is a Senior Lecturer in Photography in the Faculty of Media at LCC. Having completed an MA in Photography at the Royal College of Art in 1997, her artistic work employs a variety of media, including photography, video, text and performance, and has gained a national and international reputation. She often explores themes such as portraiture, landscape and the sublime by using found tools and language from the worlds of the multinational corporation or global law firm. Her solo exhibitions include the solo show Memento Park, touring to Eastside Projects, Birmingham, Cornerhouse, Manchester and mima, Middlesborough in 2010-2011; Contracting Universe, Paula Cooper Gallery, New York (2010); Carey Young: Uncertain Contracts, Museum of Art, Rhode Island School of Design (2009); Speech Acts, Contemporary Art Museum St. Louis (2009); Counter Offer, The Power Plant, Toronto (2009); and Business as Usual, John Hansard Gallery & tour (2001.) She has participated in the British Art Show 6, the Moscow Biennale, Sharjah Biennale, Tirana Biennale and Taipei Biennale, and been included in many significant group exhibitions at venues including MoMA/PS1 (New York, the New Museum (New York), Hayward Gallery (London), ICA (London), Whitechapel Gallery (London), Frieze Projects at the Frieze Art Fair (London) and Secession (Vienna). Her works are in the collections of Arts Council England, Tate and the Centre Pompidou and she is represented by Paula Cooper Gallery, New York.
1) Una panorámica sobre la Política Pública de Convivencia en Hispanoamérica."Convivencia" es un término usado en Hispanoamérica para denominar aquella política, o componente de una estrategia mayor de política pública, que tiene como meta mejorar las relaciones entre ciudadanos o entre grupos de ciudadanos. Los objetivos que se quiere alcanzar con este mejoramiento son variados, pero en general están relacionados a:Disminuir o moderar los niveles de violencia interpersonal.Incidir positivamente en la sensación subjetiva de seguridad (la cual suele mantenerse pese a la disminución objetiva de la violencia interpersonal).Integración social de grupos específicos (típicamente migrantes).Promover la tolerancia a la diversidad (cultural, sexual, etc.).Promover el acceso a derechos y el respeto de derechos."Convivencia" se ha transformado paulatinamente en un enfoque que tiende a ser el paraguas conceptual que orienta la política de seguridad interna en muchos Estados. Tal es el caso de Uruguay con "La estrategia por la vida y la convivencia" o el colombiano con la "Política Nacional de Seguridad y Convivencia Ciudadana"1. En su origen, detrás de esta orientación de política pública estaba la convicción de que para detener la violencia interpersonal no alcanzaba con represión y política social. Era necesario algo más.Actualmente se usa el término "convivencia" tanto para políticas dirigidas a intervenir sobre la violencia interpersonal en sus variadas formas (entre ciudadanos, a nivel doméstico, etc.) como a intervenir en situaciones de decadencia o erosión de la sociabilidad (y de esta manera prevenir futuras situaciones de violencia interpersonal o conflictividad).Un elemento característico de las políticas de Convivencia es la fuerte participación de los gobiernos locales. Si bien, como es el caso de Uruguay, las políticas de Convivencia pueden estar contenidas en una estrategia nacional, la participación de alcaldías, municipalidades, etc., es muy importante. Esto es así porque los problemas de convivencia (sea violencia, inseguridad o integración) son problemas de las ciudades y su dinámica social2.Otro elemento característico de las políticas de Convivencia es la importancia que se da a la participación de la comunidad organizada para el éxito de los programas y proyectos. Con dicha participación se pretende dar apoyo a políticas que requieren de tiempo para arrojar resultados positivos (Frühling, 2012).Las llamadas políticas de convivencia recurren a muy variados instrumentos. Estos últimos van desde la educación ciudadana hasta la inversión en infraestructura para la interacción, esparcimiento o disfrute urbano; pueden implicar acciones masivas (por ejemplo publicidad o intervenciones urbanas en puntos neurálgicos de la ciudad), así como pueden implicar acciones particulares en zonas o barrios de la ciudad (intervenciones con centros culturales o en espacios urbanos como plazas) y otras modalidades. La intervención en el espacio público como forma de promover participación y relaciones de convivencia entre los ciudadanos es una idea altamente difundida3. La relevancia del barrio en las políticas de Convivencia es una clara derivación del énfasis que tiene la búsqueda de potenciar la sociabilidad y relaciones interpersonales a través del mejoramiento de la infraestructura urbana para esparcimiento e interacción. El barrio es, a su vez, la más pequeña unidad territorial que se maneja a nivel de políticas urbanas.Hay algunas definiciones comúnmente usadas en Hispanoamérica. Antanas Mockus (Colombia) define Convivencia de la siguiente manera:Convivir es llegar a vivir juntos entre distintos sin los riesgos de la violencia y con la expectativa de aprovechar fértilmente nuestras diferencias. El reto de la convivencia es básicamente el reto de la tolerancia a la diversidad y ésta encuentra su manifestación más clara en la ausencia de violencia. (Mockus, 2002, pág. 20)Romero y Sánchez (España) definen convivencia con las siguientes palabras:Podemos sintetizar lo visto hasta el momento e indicar que, desde un análisis meramente lingüístico, convivencia es la "acción de convivir", así como la "relación entre los que conviven". Dentro de esta segunda acepción, convivencia significa, más concretamente, "vivir en buena armonía con los demás". (Romero & Sánchez, 2007, pág. 78) 2) Discusión de los problemas de Convivencia desde la Sociología.En esta sección se intentará ubicar los problemas que la política pública define como problemas "de convivencia" dentro del marco de discusión de la sociología.Las definiciones de Convivencia normalmente implican relaciones de respeto a pesar de diferencias, capacidad de manejar relaciones humanas a pesar del conflicto. El valor de la convivencia estaría en que en una colectividad donde hay buena convivencia hay cooperación entre diferentes, ausencia de violencia y armonía pese a las diferencias. Como se señaló al principio del documento, la idea detrás de la política pública es que potenciar la convivencia permite influir positivamente en el control de la violencia interpersonal, mejorar la sensación subjetiva de seguridad, colaborar con la integración social de grupos específicos, promover la tolerancia a la diversidad.¿Qué campos de investigación discuten estos problemas en sociología? ¿Qué es posible aprender de las discusiones en estos campos de estudio para mejorar la política pública? Se intentará responder a estas preguntas en el texto que sigue.Es importante plantear desde el principio cuál ha sido el criterio general para la revisión de la literatura que se va a presentar. Se considera que los problemas que en política pública se conceptualizan como "de convivencia" en sociología se conceptualizan como problemas de cohesión (o integración), capital social y/o acción colectiva. Estos tres campos tienen que ver con tres problemas altamente relacionados con "convivencia": compartir normas y valores, colaborar con otros así como contar con otros para los proyectos propios y actuar junto a otros para resolver problemas colectivos o para transformar los espacios públicos.Hay una idea fundante en sociología, esta es aquella que postula que el cemento que mantiene unida a una sociedad es un mínimo de cohesión valorativa y apego a las normas. Esto permitiría a una sociedad funcionar sin la existencia de conflictos desarticuladores. El problema del orden4 es ya un problema clave en la reflexión de E. Durkheim (1858-1917). Para él las sociedades modernas podían alcanzar este mínimo sin necesidad de que las personas se conocieran cara a cara. Llamó a este mecanismo solidaridad orgánica y lo opuso a la solidaridad mecánica (típica de las comunidades tradicionales). Cuando este mínimo se afecta pueden surgir situaciones de anomia que promueven patologías sociales como el suicidio o la criminalidad5.El problema del orden también está presente en la idea proveniente de la antropología según la cual el cemento de la sociedad está en las obligaciones recíprocas que existen entre sus miembros. En esta perspectiva las instituciones sociales son formas de objetivar y dar continuidad a estas obligaciones. Las instituciones constituyen el medio a través del cual se controla la conducta y el marco que habilita la posibilidad de confianza en los demás y la cooperación (Malinowski, 1985 [1926]).A continuación se hará un repaso de los principales argumentos en las literaturas relativas a los tópicos cohesión social, capital social y eficacia colectiva. En las mismas se continúan y profundizan las referidas ideas. 2.1. Convivencia desde la perspectiva de Cohesión social.El problema de la cohesión social tiene al menos dos grandes vertientes. La cohesión entendida como el grado de reciprocidad entre los miembros de una sociedad en función de los acuerdos valorativos y normativos. Esta es la perspectiva de Durkheim según la cual una sociedad cohesionada es aquella en la cual los vínculos forjados a través de valores y normas permiten el funcionamiento de una sociedad compleja sin necesidad de una coordinación central. La cohesión en esta perspectiva puede ser nociva en sus extremos. Una sociedad altamente cohesionada puede tiranizar a sus miembros individuales al no tolerar ningún desafío a la autoridad del grupo. Asimismo es una sociedad con dificultades para vincularse con otras sociedades o para aceptar en su seno a miembros de otras comunidades. El otro extremo es una sociedad débilmente cohesionada (anomia) en la cual los individuos interactúan con base en marcos normativos contradictorios y no encuentran amparo ni reconocimiento en otros individuos. Por tanto, para Durkheim lo "saludable" en una sociedad moderna es algún punto intermedio entre los extremos antedichos. La consecuencia más relevante de una cohesión "saludable" sería la siguiente: una sociedad cohesionada sería una sociedad con más posibilidades de cooperación entre sus miembros y capacidad para resolver pacíficamente los conflictos, sería una sociedad moderadamente abierta a la innovación y capaz de procesar el cambio social así como una sociedad capaz de respetar credos, ideas y estilos de vida diferentes en su seno.En esta tradición la cohesión social se identifica "con la capacidad de una determinada sociedad para producir confianza social, para generar redes de cooperación efectivas entre extraños y para comprometer el interés y el respeto público en las acciones individuales, más la particular capacidad de sancionar al que saca ventajas indebidas de la fuerza de la cooperación social (free rider)" (Valenzuela, Schwartzman, Biehl, & Valenzuela, 2008, pág. 8). O como lo define otro autor, la cohesión social está relacionada con la creencia en una comunidad moral: "the belief—held by citizens in a given nation state—that they share a moral community, which enables them to trust each other" (Larsen, 2013).En esta perspectiva los vínculos fuertes (familia, amigos, con los cuales hay una relación íntima, frecuente y con fuertes lazos de lealtad) no son la clave para la construcción de una sociedad cohesionada. Por el contrario, una sociedad cohesionada y capaz de actuar sobre sus problemas implica buenos vínculos entre extraños o personas con poco conocimiento mutuo (Granovetter, 1973). Los vínculos fuertes pueden constituirse en vínculos negativos: la disposición a permanecer y relacionarse con iguales o parientes puede transformarse en hostilidad y discriminación hacia el diferente.En esta perspectiva el temor es "la fuente principal de destrucción de la confianza y de la disposición hacia la colaboración. La preocupación por los efectos de la violencia criminal en la desorganización de los barrios es un buen ejemplo de esto. El aumento del temor, muchas veces en contextos de sociedades que envejecen aceleradamente, conduce a diferentes formas de repliegue y desconexión social que debilitan enormemente la consistencia de la sociedad civil" (Valenzuela, Schwartzman, Biehl, & Valenzuela, 2008, pág. 9).Indicadores del nivel de cohesión social habituales en este enfoque: montos de confianza interpersonal,la fortaleza de la asociatividad,la consistencia de las relaciones vecinales y de amistad, especialmente cuando ellas comprometen relaciones más lejanas – o "vínculos débiles"disposición al compromiso cívico de los ciudadanos, la cual no implica siempre confianza y participación propiamente políticas.Ahora bien, otra literatura refiere a cohesión social asimilándola al nivel de desigualdad entre los miembros de la sociedad. Esta puede denominarse como la perspectiva de la equidad (Valenzuela, Schwartzman, Biehl, & Valenzuela, 2008). Así como para la perspectiva de origen durkheimiano el opuesto de la cohesión social es la desintegración social o la anomia, para esta perspectiva el opuesto de la cohesión es la exclusión social (Sorj & Tironi, 2007).Estas teorías parten de la fuente estructural de los vínculos entre las personas y grupos en una sociedad: la equidad, definida como "la capacidad de la sociedad para producir una distribución equitativa del poder o del bienestar mediante arreglos institucionales específicamente diseñados para este propósito" (Valenzuela, Schwartzman, Biehl, & Valenzuela, 2008, pág. 10).Lo que la teoría hipotetiza es que cuando existen desequilibrios en materia de equidad –y si son percibidos y considerados "hirientes" por las personas- éstos pueden conducir al conflicto abierto entre grupos. "Según esta perspectiva los problemas de cohesión no se traducen en desorganización y anomia social, sino más bien en una polarización entre grupos o clases dentro de la sociedad que puede escalar hacia el conflicto abierto, la hostilidad política y hasta el uso de la fuerza en la resolución de las diferencias sociales" (Valenzuela, Schwartzman, Biehl, & Valenzuela, 2008, pág. 10).Los conflictos fruto de una crisis de cohesión pueden terminar en autoritarismo. En la perspectiva democrática la búsqueda de cohesión se consigue si existen instituciones que pueden asegurar la resolución de conflictos de forma pacífica.En este enfoque hay tanto indicadores subjetivos como objetivos de equidad o distancia social. Esto es así porque una dimensión es la relativa a las distancias sociales que objetivamente pueden medirse a través del índice Gini por ejemplo, y otra es la percepción que los miembros tienen de dicha distancia y cómo esta percepción condiciona sus relaciones con otras personas o grupos sociales.Este enfoque centrado en equidad ha sido muy influyente en política pública y en la perspectiva de organismos internacionales (en las políticas de la Unión Europea y en el caso de América Latina en CEPAL) (European Commission, 2014) (Feres & Villatoro, 2010). 2.2. Convivencia desde la perspectiva de Capital Social.El concepto de capital social es un desarrollo relativamente reciente y que a partir de la publicación de varios artículos del politólogo Robert Putnam (Putnam, Bowling Alone: America's Declining Social Capital, 1995) y particularmente de su libro "Bowling alone: The Collapse and Revival of American Community" (Putnam, 2000) se ha convertido en un campo de estudios prominente en sociología. Para tener una idea, una búsqueda de la frase "social capital" en la biblioteca digital JSTOR arroja unos 8.100 artículos, mientras que la misma búsqueda para "social cohesion" arroja 340. Pese a ser una versión popular del concepto de "capital social", particularmente entre policy makers y organismos internacionales6 la versión de Putnam es una de las más cuestionadas.El concepto de capital social tiene su origen en sociología en la obra de Pierre Bourdieu y de James Coleman (Portes & Vickstrom, 2012) (Portes, 1998). Estos trabajos inician una de las tradiciones relevantes en materia de capital social y su estudio que continúa hoy en día con el trabajo de investigadores como Ronald Burt, Nan Lin, Alejandro Portes.Bourdieu y Coleman trabajan desde la perspectiva del individuo o de pequeños grupos. Si bien tienen diferencias entre sí ambos insisten en un punto clave: los beneficios que tienen los individuos o familias a través de los vínculos que tienen con otros. Bourdieu tiene una perspectiva instrumental del concepto: las personas construyen en forma intencional sus vínculos, teniendo en cuenta los beneficios que podrían traerles en el futuro. Como explica Alejandro Portes:"En unas cuantas páginas brillantes, Bourdieu trata las interacciones entre el capital monetario, el capital social y el capital cultural, y define este último como la combinación de las credenciales de educación formal que posee un individuo y un complejo intangible de valores y estilos de comportamiento. El principal aporte de Bourdieu fue mostrar que estas tres formas de capital son fungibles, que pueden ser intercambiadas unas con otras y que de hecho requieren dichos intercambios para su desarrollo (Bourdieu 1980). Así, un capital social considerable rara vez puede ser adquirido sin la inversión de ciertos recursos materiales y sin la posesión de algún saber cultural, lo que le permite al individuo establecer relaciones con otras personas que tienen capitales valiosos". (Portes, 2004, pág. 151)Si bien la definición original de J. Coleman es vaga7, a través de sus ejemplos es claro que su énfasis está en la confianza interpersonal y cómo el "cerramiento" (closure) de la estructura social (lo cual se logra mediante el conocimiento directo o mediado de las personas que interactúan) facilita el control mutuo, lo cual permite el cumplimiento de normas. El control mutuo es una garantía que fortalece la confianza interpersonal y facilita la interacción de múltiples maneras.En definitiva, en este enfoque el capital social ha sido definido alternativamente como una fuente de control social, una fuente de beneficios mediados por las familias y una fuente de recursos mediados por redes no familiares (Portes, 2004).La segunda tradición y la más influyente es la iniciada por Robert Putnam. En este enfoque el capital social es una propiedad de los colectivos (a nivel agregado). Esto hace que sea posible calificar a una comunidad, ciudad o país por su nivel de capital social. Esto ha habilitado la posibilidad de estudiar una multiplicidad de fenómenos (desde temas de salud a temas de criminalidad) y la manera en que el capital social de la comunidad influye en los mismos. Esta idea ha penetrado fuertemente en políticos, hacedores de política pública y organismos internacionales.En la visión de Putnam el capital social de una comunidad depende de la naturaleza y alcance del involucramiento de los individuos en redes informales de interacción y organizaciones cívicas formales. Por tanto, el capital social de una comunidad se mide tanto a través del contacto de los miembros entre sí (ya sea a través del saludo, el compartir una cena o apoyarse en el cuidado de los niños) como de la participación en organizaciones. Esto permite determinar el nivel de salud cívica de una población y estudiar la manera en que la misma influye en el crimen, la salud, pobreza, desempleo, etc. La idea ha sido también influyente porque permite pensar formas de detener el declive de la vida cívica o potenciar a las comunidades y así influir en problemas de muy difícil resolución (Woolcock & Narayan., 2000). (Grootaert, Narayan, Jones, & Woolcock, 2004). Definiciones de capital social: resumen de concepciones relevantes en política pública e investigación.Robert PutnamAspectos de las organizaciones sociales tales como las redes, las normas y la confianza, que facilitan la acción y la cooperación para beneficio mutuo.James ColemanLos recursos socio-estructurales que constituyen un activo de capital para el individuo y facilitan ciertas acciones comunes de quienes conforman esa estructura.Pierre BourdieuEl capital social (capital social. Capital cultural, capital económico, capital simbólico) es un tipo de capital, entre otros, que permite la movilidad de los agentes de un espacio social determinado.Banco MundialInstituciones, relaciones, actitudes y valores que gobiernan la interacción de las personas y facilitan el desarrollo económico y la democracia.Bonding: "Capital social de lazos", que genera lazos de unión entre los miembros de una misma comunidad. Se limita a contribuir al bienestar de sus miembros.Bridging: "Capital social de puente", que genera sinergia entre grupos disímiles. Abre oportunidades económicas a aquellos que pertenecen a los grupos menos poderosos o excluidos.Fuentes: (Durston, Duhart, Miranda, & Monzó, 2003) (Arriagada, Miranda, & Pávez., 2004)Las conceptualizaciones de capital social, principalmente las asociadas a Putnam y los investigadores del Banco Mundial, son influyentes en la reflexión sobre Convivencia por cuanto señalan cuáles son los aspectos de la vida comunitaria relevantes para mejorar las relaciones entre las personas. Asimismo es una conceptualización que brinda un armazón causal para fundamentar el valor de invertir en la convivencia social para mejorar aspectos como el crimen y la violencia doméstica sin recurrir a políticas represivas. Pese a ello estas perspectivas han sido fuertemente criticadas desde la academia. Un crítico incisivo es Alejandro Portes. En la visión de Portes el énfasis de Putnam en los valores cívicos y particularmente la contraposición entre un pasado idílico (con fuertes valores cívicos y participación social) y un presente individualista es una manera equivocada de encarar el problema en las sociedades modernas. Portes aduce que los resultados de investigación generados por el programa de investigación de Putnam tienen el problema de delimitar con claridad las precedencias causales: ¿es el capital social causa del desarrollo económico o al revés? La discusión de este problema y la revisión de los datos de investigación en capital social lleva a Portes a postular que la inversión sólo en capital social, sin tener en cuenta factores estructurales como pobreza, movilidad residencial y otros, no alcanza para afectar significativamente criminalidad, violencia, salud, etc.8 Esta es una discusión altamente relevante y a tener en cuenta en el diseño de programas de Convivencia. ¿Por qué? Porque señala que las políticas de Convivencia que enfatizan sólo en aspectos de cohesión o capital social deben buscar articularse institucionalmente con otros programas que estén dirigidos a afectar los aspectos estructurales de los territorios (como pobreza, desempleo, movilidad residencial, vivienda) para poder lograr sus objetivos. 1-"Dicha Política tiene un ámbito claramente distinto de la Política de Seguridad Nacional, la que se focaliza en fuerzas irregulares armadas opuestas al Estado y en organizaciones ligadas al crimen organizado. La Política se propone entregar una respuesta integral a los problemas de seguridad existentes, para lo cual define los siguientes Ejes Estratégicos: i) Prevención social y situacional; ii) Presencia y control policial; iii) Justicia, víctimas y resocialización; iv) Cultura de legalidad y convivencia; v) Ciudadanía activa y responsable" (Frühling, 2012, pág. 25)2-En el caso de Colombia, por ejemplo, la política es coordinada por la Alta Consejería Presidencial de Seguridad Ciudadana. Ésta articula a 17 entidades nacionales y 3 Programas Nacionales (Frühling, 2012).3-"La red nace a iniciativa del Centro Internacional de Formación para las Autoridades y Agentes Locales, CIFAL Barcelona. El centro es fruto de un acuerdo entre el Departamento de Interior, Relaciones Institucionales y Participación de la Generalitat de Catalunya y el Instituto de Naciones Unidas para la Formación Profesional e Investigaciones (UNITAR) con el objetivo de promover la cooperación en materia de seguridad y convivencia en los espacios urbanos. En este marco se iniciaron los trabajos, junto con el asesoramiento científico de la École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), para la constitución de la red. En un espíritu de diálogo multidisciplinar, varios sectores proponen sumir su expertise a los trabajos de la red, incluso la empresa VEOLIA Environnement, dedicada, junto a las Naciones Unidas, a mejorar la calidad de vida en las ciudades. De este modo, en enero de 2007 se celebró en Barcelona la primera reunión del comité de desarrollo de la red, formada por representantes de instituciones públicas, académicas, organizaciones de la sociedad civil y del ámbito privado de países europeos y latinoamericanos con la intención de poner las bases de la red y abordar la problemática desde una perspectiva interactoral [sic] e intersectorial" (Boisteau & Xifra, 2007, pág. 5).4-Jon Elster resume el problema de la siguiente manera: "¿Qué es lo que mantiene unidas a las sociedades y les impide desintegrarse en el caos y en la guerra". (Elster, 2005, pág. 13)5-E. Durkheim plantea estas ideas originalmente en "La división social del trabajo" (1893) y "El suicidio" (1897).6- Por ejemplo la vision de capital social del BID está claramente influenciada por Putnam (Woolcock, 1998) (Woolcock & Narayan., 2000).7-"Social capital is defined by its function. It is not a single entity but a variety of different entities, with two elements in common: they consist of some aspect of social structures, and they facilitate certain actions of actors –wether persons or corporate actors- within the structure. Like other forms of capital, social capital is productive, making possible the achievement of certain ends that in its absence would not be possible". (Coleman, 1988, pág. S98)8- "Como hemos visto en epígrafes anteriores, los estudios empíricos han demostrado que el índice de capital social de Putnam es un correlato o una consecuencia de procesos más básicos, como la desigualdad y la segregación racial. Estos procesos son los que merecen atención, puesto que sí amenazan la viabilidad a largo plazo de las sociedades democráticas modernas. La solidaridad de estas sociedades se deduce en último término de las oportunidades que ofrecen a todos sus miembros de alcanzar sus metas individuales. La denegación sistemática de esas oportunidades a amplios sectores sobre la base de su raza o de su origen étnico es enemiga de las formas superiores de cohesión basadas en reglas universalistas e imparciales". (Portes & Vickstrom, 2012, pág. 101).
Conceiving the curriculum as an element in which different knowledge and interests et inside the game, in this paper, we propose a compilation of background records that have addressed curricular change and, while analyzing some of them, we propose a particular way of approaching to the analysis of this process taking into account current research. The precedents are located mainly in universities in Rio de la Plata countries and analyze the change from two spotlights: subjects and products. The comprehension of these processes would be enriched if the institutional and disciplinary logics that operate in the change were considered, at least in undergraduate programs of certain areas of knowledge. ; Concibiendo al currículo como un elemento en el que entran en juego conocimientos e intereses diversos, en este trabajo planteamos una recopilación de estudios que han abordado el cambio curricular, a la vez que proponemos una forma particular de encarar el análisis de este proceso. Los antecedentes relevados se sitúan principalmente en países latinoamericanos y analizan el cambio desde dos focos: sujetos y productos. Entendemos que la comprensión de estos procesos se vería enriquecida si se consideraran las lógicas institucionales y disciplinares que operan en el cambio, al menos en las formaciones de grado de ciertas áreas del conocimiento.Curriculum Change in Higher Education in la Plata River countries: review of background and proposals for analysis Conceiving the curriculum as an element in which different knowledge and interests get inside the game, in this paper, we propose a compilation of background records that have addressed curricular change and, while analyzing some of them, we propose a particular way of approaching to the analysis of this process taking into account current research. The precedents are located mainly in universities in Rio de la Plata countries and analyze the change from two spotlights: subjects and products. The comprehension of these processes would be enriched if the institutional and disciplinary logics that operate in the change were considered, at least in undergraduate programs of certain areas of knowledge. ReferenciasAcciaresi, O. A., Zuluaga, M. S. (octubre de 2009). Los cambios de los planes de estudio en la carrera de ingeniería agronómica de la Facultad de Ciencias Agrarias y Forestales de la UNLP y su relación con la transformación de la estructura productiva nacional. II Jornadas de Enseñanza e Investigación Educativa en el campo de las Ciencias Exactas y Naturales. Universidad Nacional de La Plata, La Plata. Adam, F. (2009). Curriculum reform in higher education: a humanities case study. (PhD Thesis).University of the Witwatersrand. Johannesburg. Aguilar, A., Aranda, R. (septiembre de 2009). El tránsito hacia un currículo flexible desde el punto de vista del personal académico. 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[ES] La tesis: De la crisis de la novela a la novela de la crisis: fundamentación filosófica de la literatura colombiana actual. Propone una reflexión teórica en torno a las variables que afectan el desarrollo de la novela colombiana. Problemática, no obstante, extensible a la literatura en general. La argumentación parte de una pregunta obligatoria pese a su obviedad: ¿qué debe entenderse por crisis de la novela? Tras la revisión bibliográfica adelantada debe afirmarse que esta no es una problemática nueva, que la versión actual de dicha crisis consiste en la reedición de un mal anterior del cual ya hablaran Calvino (1959), Sabato (1963), Vila Matas (2003), Bolaño (2004) o Todorov (2008), entre otros. En sus respectivas radiografías de la crisis universal de la novela se reeditan causas, síntomas y secuelas. Dentro de las variables consideradas destaca por su carácter determinante la lógica derivada de un modelo de organización social capitalista. Al incorporar dicha categoría se es plenamente consciente de que entramos en un dominio complejo, ciertamente ambiguo, respecto del cual se definen prácticas sociales tales como dominación y resistencia. Desde nuestro punto de vista, la imposición dominante interesa por cuanto implica la renuncia a una asimilación crítica del contexto. De otro lado, la resistencia interesa a partir de los métodos actualizados y los efectos que genera una apreciación analítica de todo cuanto constituye la circunstancia inmediata de los individuos. En esta medida nos concierne estudiar las maneras en que la literatura colombiana actualiza mecanismos que permitan cuestionar la lógica de la dominación, la lucha por el poder, el establecimiento de éticas afines y la necesidad de una resistencia intelectual que desencadene prácticas favorables al desarrollo de la cultura. Para efectos de la presente investigación se asume como argumento prioritario que la evolución de la novela colombiana se da a partir del diálogo entre las posiciones asumidas por los escritores frente a la crisis, las apuestas estéticas inscritas en el campo literario propio (sujeto a la problemática nacional) y, las visiones de mundo derivadas del problema que dotan de sentido a discursos vertebrados a través de la literatura. Ahora, si se acepta que toda producción artística se debe a una función social-estética, afirmamos que la novela de la crisis es en Colombia la manifestación más actual de dicho compromiso. Si el deber ser de todo arte es representar de manera crítica y objetiva la realidad en su conjunto, la cuestión no será en adelante definir si se usa o no a la literatura; será entonces definir los términos en que esta es usada. Preguntarse, por ejemplo, ¿qué enfoque dar al contenido político de la obra para que trascienda lo panfletario?, ¿qué perspectiva filosófica aplicar al tratamiento de la realidad y la historia?, ¿cómo alcanzar cierto margen de objetividad en la interpretación de la cultura? Tales interrogantes (subyacentes a la creación narrativa) permiten afirmar que La novela de la crisis, aspira a un cambio de estado de cosas en la construcción del pensamiento. Si bien es un ejercicio de resistencia que analizamos estableciendo como límite la novela actual en Colombia, su génesis puede remontarse a los inicios de la vanguardia hispanoamericana: es la idea, aún vigente, del arte como novedad en sentido estrictamente intelectual. En la tesis se señala como principal exponente de su generación a Roberto Bolaño, sin embargo, la generación en pleno se sabe heredera de dicha actitud combativa. La unidad de criterios, o el consenso general del que hablamos queda planteado en Palabra de América, (Seix Barral, 2004). Aquí, los escritores de dicha generación hacen explícita las líneas de sentido medulares a su apuesta estética individual; declaración que, dicho sea de paso, permite pensar en la unidad de las letras hispanoamericanas. Puede afirmarse que tal orientación teleológica se circunscribe a la creación colectiva de una literatura inmune a la capacidad de seducción que representa para el autor, el reconocimiento, la universalidad de su obra y la comercialización de sus productos. El recurso teórico desde donde se cimenta dicha apreciación obliga en la tesis la mención de la teoría de las reglas del arte explicitada por Pierre Bourdieu. Según el teórico francés en torno a la definición del valor del arte existen siempre tres campos de influencia en donde se adelanta la lucha por legitimar apuestas, por participar, se establecen pugnas entre distintos aspirantes a hacerse un nombre. El campo dominante será indefectiblemente el campo de poder; campo respecto del cual habrán de asumir posiciones subordinadas el campo de producción artística en general y el campo de producción artística nacional. La mención de este tipo de planteo teórico se hace estrictamente necesaria en la medida en que es a partir de esta tensión que se definen la particularidad de los proyectos narrativos de cuatro autores colombianos objeto de este estudio: Héctor Abad Faciolince (Medellín, 1958), Jorge Franco Ramos (Medellín 1972), Santiago Gamboa (Bogotá, 1965), y Mario Mendoza (Bogotá, 1964); es también a partir de esta relación que se define la especificidad de sus proyectos narrativos. Es decir: la manera en que participan o restringen su participación en las dinámicas masivas de comercialización del arte y la literatura como producto, el tratamiento de temáticas, los recursos técnicos implementados en el análisis de los fenómenos de que se ocupa su novela. En términos más concretos, la manera particular en que su obra define esquemas analíticos desde donde se pronuncia en relación con; políticas sociales, alternativas de configuración del estado propuestas desde tales políticas; toma posición en relación con la democracia participativa, la evolución y desarrollo de la cultura, sobre los términos en que se da el diálogo intercultural, los efectos de la transición (aún incomprendida) entre premodernidad, modernidad, posmodernidad y ultramodernidad. Quizá los autores que aborda este estudio resulten desconocidos en un contexto amplio de las letras universales. No obstante el estudio de su obra, permite: asumir posturas críticas frente a la crítica, delimitar los discursos implicados (a razón de su carácter significativo) en el campo literario nacional, entender la lógica de la resistencia; también las posturas contrapuestas en la definición ética, estética, filosófica de la literatura colombiana. Hablamos sin lugar a dudas de lugares comunes, y es bien sabido que en la repetición todo queda desprovisto de su sentido. Aun así, la apuesta se hace recurrente, pues el lugar común de tratamiento del tema no es pretexto para ignorarlo; deviene, en efecto, una especie de imposición a partir de la cual se redefinen los recursos de la ficción, el carácter algebraico de la composición de la trama, se subvierten las normas, se amplía el breviario de recursos (formales, estilísticos, lingüísticos, simbólicos, retóricos) funcionales al repensar una realidad cuyo carácter rotundo, alienante de diversos modos, le exime de objeciones o cuestionamientos. La novela de la crisis se estructura, específicamente, en esta apelación de la realidad, en el ejercicio de su representación literaria desmonta todas las prerrogativas estéticas que empobrecen la reflexión filosófica inherente a la novela. La obra de los autores estudiados se inscribe entonces dentro de esta necesidad, la de definir nuevos modelos analíticos que permitan entender mejor qué es lo que sucede en nuestra cultura. Reconocer cuáles son las razones, los procesos históricos que llenan de significación nuestro apego a la tierra, en el otro extremo, del desarraigo, nuestra nostalgia por los pueblos arcádicos situados en las regiones montañosas del país, la aversión latente por la modernidad y su práctica ininterrumpida de la violencia, nuestro pánico al progreso; en suma, de nuestra identidad. Las múltiples vertientes de este esfuerzo convergen en la creación de una literatura distinta. Cabe insistir, con otras preocupaciones éticas, estéticas, que establece una relación diferente con la filosofía, que desvirtúa argucias tendenciosas proclives a la muerte de la historia y el arte. Tras la puesta en marcha de la novela de la crisis se adelanta de manera paralela la creación de un lector competente capaz de entender los mecanismos implementados por la novela para responder de manera pertinente a la crisis de los contextos en que se inserta, capaz de entender que la filosofía y la historia se pronuncian a través de la novela de la crisis. Tras analizar el corpus de novelas delimitado podemos afirmar que en la novela colombiana actual la estética del caos y deterioro social es dominante, que sus enfoques son estrictamente filosóficos, que el objeto de su elaboración se centra en formular respuestas frente a las crisis diversas generadas por la modernidad en su versión más actual. Para los escritores colombianos tratados encajar en dicho proyecto obligó a un proceso de diálogo intercultural transformador de toda la cultura nacional en beneficio de la violencia perpetuada, en todas sus manifestaciones, delante del cual la novela colombiana asume posiciones críticas distintas de las permitidas por el modelo de desarrollo dominante. Desde el punto de vista filosófico podemos afirmar que la novela de la crisis es una novela deconstruccionista en el sentido en que desestructura la totalidad de los discursos (dominantes y marginales) interpretando en su lógica articulatoria las verdades que le son inherentes. Fenomenológica en la medida en que objetiva la esencia del acontecimiento a partir de su relación con la conciencia del sujeto afectado por el mismo. Psicológica por cuanto ahonda en el conocimiento de la psique de sujetos expuestos a las diversas crisis que genera en su discurrir la evolución cultural de sociedades vinculadas a la globalización planetaria. Una novela humanista orientada a reinterpretar la historia, reestructurar la memoria, asumir posturas críticas respecto de la política, ética, moral, la filosofía, éticas civiles dominantes, implicados en la construcción del pensamiento desde donde se define la condición humana. Es una novela social, en el sentido de que la revisión pormenorizada de la problemáticas sociales se remonta a la génesis del problema, consciente de las variables que participan en su definición, de sus causas consecuencias, consciente de la dialéctica entre sociedad, individuo, cultura. En su tarea de comprender los contextos problemáticos en que se ubica el individuo y se actualiza el desarrollo del pensamiento, desmonta el conjunto dado para entender en el desmantelamiento su lógica organizacional, para definir las líneas de sentido principales desde las cuales se vertebra el universo social de los sujetos, dilucidar los modos en que los individuos se ven involucrados en la construcción de la sociedad. Desde el punto de vista de lo formal, el interés de esta novela es si bien no puede sustraerse al tratamiento de temáticas idénticas a saber, la violencia, el sicariato, la miseria generalizada, el desmoronamiento de la parafernalia estatal desde donde se pretende construir el gobierno, la falsedad detrás de la demagogia política y la retórica tendenciosa¿ el desdibujamiento de los grandes relatos que orienten la participación social de los individuos, el descreimiento general que deviene crisis de fe, la degradación de absolutamente todo, el relativismo¿etc. Dicha novela propende por la definición de una serie de criterios objetivos que permitan el revisionismo de todo cuanto constituye el universos social, cultural que antecede o enmarca la construcción del sujeto cultural. La crisis es apreciable a nivel general y su alcance es universal. Diríase, de hecho, que es el fenómeno esencial respecto del cual se define la circunstancia socio-histórica en que se hace a sí mismo el individuo del presente. En la novela de la crisis hallan espacio los modos específicos en que parte de la producción intelectual de un pueblo, difundida a través de la literatura, representa con sentido crítico, los modos en que su cultura permea y resiste su realidad histórica. La importancia del presente trabajo radica entonces en la articulación de modelos teóricos que posibilitan una lectura filosófica de dicha literatura. Consideramos que analizar una serie de autores representativos de la promoción vigente, su obra y apuestas dentro del fenómeno estético al que hemos denominado la novela de la crisis en Colombia permite delimitar los aspectos de orden epistemológico que regulan la creación de este tipo de novela, asimismo permite a la crítica objetivar participaciones en el campo de producción literaria colombiano, entender el margen de autonomía que establecen en relación con las reglas del arte dictadas desde el campo de poder. En síntesis, se desarrolla la explicación filosófica de escrituras constitutivas de un fenómeno estético circunscrito a la necesidad de ofrecer frente a las crisis actuales, representaciones críticas garantes, a su vez, de transformaciones epistémicas cuyas repercusiones resultan sensibles en la evolución de la cultura, el arte y el sujeto. La necesidad de estudiar este fenómeno en toda su complejidad queda expuesta al ubicarse en el centro de resistencias respecto del oficialismo que sostiene la realidad, y a partir del cual se decreta la inoperancia funcional de arte en su versión más crítica y comprometida. El corpus elegido permite argumentar de manera suficiente la presencia de una serie de autores, con intereses comunes, que promueven el desarrollo de una literatura harto más interesada en el desarrollo de la conciencia crítica que en el posicionamiento privilegiado de un nombre, una obra. Para estos autores, la respetabilidad de su nombre depende, específicamente, del aporte concreto de su obra a la racionalización de la crisis.
En Democracy in Capitalist Times, John Dryzek (1996) reflexiona sobre la tensión inminente entre la democracia y la economía política capitalista. Socias virtuosas durante la vigencia del relato de la modernidad, las vinculaciones entre estas dos ideas y/o fuerzas fueron horadándose de forma progresiva. Conforme sostiene el autor, si bien el capitalismo ha sido históricamente siempre bueno para la democracia, no ocurre lo propio en la actualidad. En el transcurrir de los últimos años, en efecto, el capitalismo ha dejado de identificar en su asociación con la democracia un factor clave para su desarrollo. Por lo consecuente, en los tiempos presentes, democracia y capitalismo no constituyen procesos necesariamente convergentes. De hecho, en determinadas circunstancias operan de modo contrapropuesto. A modo de ejemplo, baste señalar que los Estados, apremiados por las necesidades de competir y prosperar en la economía internacional, deben de adoptar crecientemente políticas públicas que los vuelven menos democráticos (Dryzek, 1996:3).Según el autor, cuatro son los desafíos que la economía política capitalista de hogaño impone a la democracia. En primer término, se presentan los condicionamientos a las funciones del Estado. Al respecto, es de notar que, en las sociedades capitalistas contemporáneas, los Estados no pueden alejarse de una ingeniería político-funcional estructuralmente determinada. En palabras de Dryzek, "en el momento actual, todos los Estados deben mantener el orden civil, gestionar las vicisitudes de la vida económica operando como Estados de bienestar (al menos aquellos cuyas condiciones económicas se lo permiten) y asegurar un sistema capitalista de mercado el cual provea de bienes para ganancia y soporte de los gobiernos" (Dryzek, 1996:10). En segundo término, se plantea el desafío inherente al racionalismo económico, promotor de un individualismo "agresivo" y del repliegue de los hombres/ciudadanos de lo público/democrático. El tercer desafío remite a la ideología liberal soporte de las democracias capitalistas. Advierte Dryzek, en este punto, que tal ideología -su elemento liberal en particular- ha asimilado y desarticulado todas críticas potenciales al sistema, incluso las formuladas desde la teoría democrática. El último de los desafíos interpuesto por la economía capitalista a la democracia se vincula a las demandas provenientes del escenario económico internacional. Tal cual explica el autor, el orden económico trasnacional emergente requiere la adopción políticas (liberalización y desregulación del movimiento de bienes, servicios, finanzas, capital y personas) que limitan, constriñen iniciativas democráticas. Es propósito del presente trabajo escrutar los caracteres de estos últimos constreñimientos. Explora, en términos concretos, las limitaciones que el proceso de globalización implicó -e implica, desde luego- para la democracia. El indagar sobre los alcances de tales constreñimientos conlleva un propósito en paralelo: advertir las oportunidades para la democracia en el marco del (des)orden económico correspondiente al proceso globalizador.En relación con esto último, resulta importante remarcar que si bien Dryzek repara sobre la magnitud de las limitaciones de la democracia en la coyuntura actual, su obra –insiste en reiteradas oportunidades- apela a la lectura y a la acción en positivo. Es que, conforme expone, detrás de cada uno de los desafíos se identifica una serie de oportunidades para propiciar el proceso de democratización. Subyacen ciertamente bajo cada desafío un complejo de contradicciones que el desarrollo capitalista no puede contener. Considérese como muestra de ello la crisis ecológica en ciernes provocada por el incremento en la demanda de recursos naturales y el agotamiento progresivo de los mismos.Tras esta introducción, el artículo se desarrolla en tres secciones. En la primera de ellas, se identifican las derivaciones del proceso de globalización sobre la democracia. Especial atención se pone en este apartado a los constreñimientos interpuestos por tres agentes claves de la escena económica mundial: los organismos multilaterales de crédito; las empresas multinacionales y el capital financiero transnacional. En la seccón siguiente, en tanto, se ensaya sobre las oportunidades para la democratización del espacio económico internacional. Finalmente, y conforme las convenciones de rigor, se presentan unas reflexiones conclusivas.La democracia frente a las demandas de la economía globalIniciado en los primeros setenta, en concomitancia con la profundización del proceso de integración de la economía mundial y el desarrollo de vastos avances tecnológicos –particularmente en el ámbito de las comunicaciones-, el fenómeno globalizador acarreó importantes derivaciones sobre el actuar y el pensar político. De tales derivaciones, el debilitamiento del Estado resulta sin dudas una de las más significativas. Lejos de presentarse como aquella entidad capaz de reivindicar "con éxito el monopolio del uso legítimo de la fuerza física y simbólica en un territorio determinado y sobre el conjunto de la población correspondiente" (Bourdieu, 1996:9), el Estado se encuentra atravesado en la actualidad por una crisis que asesta los basamentos de su propia naturaleza. La soberanía y la autonomía, principios constitutivos del Estado nación westfaliano, reportan ciertamente múltiples desafíos asociados a fuerzas y movimientos que ignoran fronteras territoriales y desdibujan consecuentemente las demarcaciones históricas entre lo interno y lo externo.Las contrariedades incrementales de los Estados para definir y ejecutar políticas en el ámbito económico dan cabal cuenta de estas mudanzas contextuales. Tras la multiplicación exponencial de los flujos internacionales y el ascenso del capital financiero como actor rector de la economía global, los Estados comprueban crecientes limitaciones para definir su relación con el mercado. Tal relación, otrora objeto de decisiones debatidas y adoptadas al interior de los Estados conforme la correlación de fuerzas e ideas socio-políticas, se conoce progresivamente influenciada por actores económicos internacionales, indiferentes, en lo general, a las demandas de las comunidades política y territorialmente organizadas.En este contexto, se inscriben las limitaciones de las sociedades para gobernarse democráticamente. Al imponerse la supuestamente ascética lógica de los mercados como el lineamiento rector de la vida social, los ciudadanos se repliegan de la vida pública desencantados de las capacidades arquitectónicas de la política y del régimen democrático.Con la despolitización como telón de fondo, los gobernantes -y dirigentes, en general- experimentan crecientes dificultades para agenciar representatividad. Es que, enfrentados ante un escenario signado por la complejidad, los gobernantes se hallan desbordados por las demandas de contexto, mostrándose incapaces de atender los mandatos primigenios de sus representados. Pero no es ésta la única problemática que perjudica a la dinámica de la democrática representación. No deben descuidarse al respecto las importantes derivaciones de la globalización sobre los propios representados. Se señala en este punto al deterioro y/o desarticulación de grupos sociales sobre los cuales se habían estructurado instituciones estables de representación -partidos políticos, sindicatos, etc.-. Este complejo de desafíos interpuesto a la democracia se configura, se canaliza mediante la estructura y el desempeño de los actores claves del orden económico global. A continuación, un repaso por las limitaciones postuladas por tres de ellos: los organismos multilaterales de crédito, las empresas multinacionales y el capital financiero trasnacional.Constituidos para garantizar la estabilidad de los intercambios económicos internacionales, los organismos multilaterales de créditos se constituyen -en no pocas oportunidades- en cortapisas para el desarrollo democrático. Como bien observa Dryzek, las instituciones del orden económico internacional -el Fondo Monetario Internacional (FMI) o el Banco Mundial (BM) imponen constreñimientos masivos respecto a lo que los Estados (y no sólo los deudores) pueden hacer o no (Dryzek, 1996:11). Las condicionalidades del FMI son tal vez la expresión más acabada de este planteo. So pretexto de observar los principios constitutivos y resguardar en paralelo los recursos del organismo, el FMI condicionó históricamente su asistencia a la ejecución de políticas que en los hechos resultaban contrarias al desarrollo democratizador. Los excesos del FMI sobre democracias con economías en desarrollo durante el manejo de las crisis financieras de la década del noventa fueron oportunamente explicitados por Stiglitz (2003). Conforme el economista, en la gestión de sucesivas las crisis, el organismo exigió a los Estados la adopción de políticas que condujeron a un empobrecimiento general de la población y niveles crecientes de inequidad social. De seguro, son las condicionalidades exigidas a Argentina durante y tras la salida inmediata del régimen de la convertibilidad muestra cabal de tales excesos. Durante este período, el FMI requirió medidas que forzaban abiertamente los mecanismos democráticos (piénsese al respecto el condicionamiento de asistencia a la sanción de leyes con plazos y contenidos determinados, tal cual lo sucedido en 2002 con la exigencia de la derogación de la ley de subversión económica). Las empresas multinacionales configuran otros importantes desafíos para la democracia. Conforme explica Guéhenno (1995), al distribuir en varios países las diferentes fases de la producción, las multinacionales dificultan la localización del valor añadido. Significativas consecuencias tiene esta situación para la definición de una política impositiva progresiva. Tal como expone el precitado autor: "el impuesto ya no es una decisión soberana desde el momento en que ya no existe una necesidad territorial, que el lugar de la residencia y la inversión ya no son un dato sino una opción y que el valor añadido se forma de una manera demasiado abstracta para que pueda asignarse a un lugar preciso" (Guéhenno, 1995:26). Urgidos entonces por atraer y propiciar la radicación de las multinacionales en sus territorios, los Estados estipulan una miríada de concesiones que termina por debilitar aún más sus márgenes de maniobra política. Apremiados por esta lógica, se encomiendan a una competencia con otros Estados, la cual los coloca en una situación cada vez más desventajosa (proceso de "carrera hacia abajo" o race-to-bottom, conforme la literatura económica). En este escenario de concesiones incrementales a las compañías multinacionales, los Estados resignan recursos, harto necesarios para garantizar las condiciones estructurales del desarrollo democrático. Finalmente, han de considerarse los constreñimientos planteados por el capital financiero transnacional. En virtud de su movilidad y volumen, ostenta este actor la capacidad de influir de modo cuasi instantáneo sobre la suerte de la(s) política(s) de los Estados. La posibilidad de trasladarse de un mercado a otro de manera repentina hace del capital financiero internacional un actor "escurridizo" a las decisiones por las sociedades democráticas adoptadas. Sin compromiso alguno con tales sociedades, los flujos internacionales de capital activan y censuran políticas públicas lo cual lo convierte en no pocas circunstancias en los grandes electores nacionales. Ratifican así su carácter "absentista", tal cual lo advertido por Bauman (1999:10). La erosión en las potestades impositivas reporta mayor dimensión en relación con lo formulado con las empresas multinacionales. Además de las concesiones estatales derivadas de las urgencias de financiamiento, deben de sumarse las dificultades técnico-administrativas para la aplicación de medidas impositivas.Los senderos para la democratizaciónAdvertidos los desafíos derivados del escenario económico global, se procede en este apartado a escrutar las oportunidades para la democratización por éstos habitadas. En consonancia con lo planteado en las líneas introductorias del trabajo, se sostiene que detrás de cada uno de los constreñimientos se descubren contradicciones y/o fallas que habilitan senderos hacia la democratización de los ámbitos inherentes a cada desafío particular (el Estado; la economía; la sociedad civil y el sistema internacional). En el ámbito del orden económico internacional, varias son las contradicciones que habilitaron -y habilitan- cauces para el proceso de democratización. En concomitancia a la acentuación del proceso de globalización y de sus desafíos a la democracia, asoman en la escena económica trasnacional ciertos indicios inherentes al proceso de democratización. En tal sentido, puede corroborarse en el campo de la economía internacional –y en los actores arriba analizados- indicios, expresiones de una creciente participación (franchise), alcance (scope) y autenticidad (authenticity) democrática; los tres criterios considerados por Dryzek para identificar un proceso de democratización.Se formulan a continuación algunos comentarios sobre este incipiente proceso de democratización en la economía global.En relación con el criterio de participación es de señalarse la progresiva gravitación de actores otrora marginados, desvalorados, en la estructura y las decisiones de los organismos multilaterales de crédito. Durante los últimos años, en efecto, estos actores han ampliado el número de interlocutores. A modo ilustrativo, se menciona que el Centro Internacional de Arreglo de Diferencias relativas a Inversiones (CIADI) -institución constitutiva del Grupo Banco Mundial- ha aceptado recientemente la participación de organizaciones no gubernamentales (organismos vinculados al trabajo en Derechos Humanos, en defensa de usuarios de servicios públicos) en algunos procedimientos arbitrales incoados contra la República Argentina mediante la figura del amicus curae.También pudo comprobarse en últimos años esfuerzos incrementales por subsumir el accionar de la economía internacional y de estos actores, en particular, bajo el control democrático. Piénsese en las regulaciones medioambientales que, orientadas compatibilizar la satisfacción de necesidades presentes con la habilidad de las generaciones futuras a satisfacer las suyas propias (tal cual la definición de desarrollo sustentable), condicionan los procesos industriales de producción. Promovida por la paulatina concientización de las sociedades sobre la relevancia de la preservación de los recursos naturales, la incorporación de la problemática ambiental en la agenda democrática ha implicado modificaciones en el diseño y ejecución de los procesos industriales. Puede ilustrase también el avance de este criterio con la preocupación de no pocas empresas e inversores en la actualidad por encauzar acciones inscriptas en el concepto de Responsabilidad Social Corporativa (RSC).Entendido por Dryzek como "el grado por el cual el control democrático es sustantiva más que simbólico, informado más que ignorante", el criterio de la autenticidad reporta indicios más sutiles. La razón de ello se vincula al hecho de que el control democrático de la economía política global remite más a los esfuerzos y acciones de los actores e instituciones internacionales que de las sociedades nacionales. En continuidad con el ejemplo de la incorporación de la problemática medioambiental en la agenda democrática, puede identificarse al Protocolo de Kyoto (aún con sus profusas deficiencias) como un mecanismo de control al desarrollo de la producción industrial.Reflexiones finalesIdeas y/o fuerzas claves de una historia compartida –esto es, la historia de la modernidad-, la democracia y la economía política capitalista empezaron, en el transcurrir de los últimos tiempos, a operar en tensión. Tal cual lo ensayado por Dryzek, el desarrollo del capitalismo se disoció poco a poco del proceso de democratización. En este contexto, la economía capitalista dejó de identificar en su asociación con la democracia un elemento capital para su dinamización.Cuatro son para Dryzek los desafíos que el capitalismo impone actualmente a la democracia: (a) los condicionamientos en funciones al Estado, (b) el racionalismo económico; (c) la ideología liberal de la democracia capitalista y (d) las demandas provenientes del orden económico internacional.Fue propósito del trabajo centrar atención en el último de estos desafíos. De este modo, se encauzó a identificar los caracteres y alcances de los desafíos a la democracia provenientes de la economía internacional.Conforme se advirtió, no son pocos los desafíos que la economía política global impone al proceso de democratización. La constitución de un espacio global crecientemente integrado supone vastas limitaciones al desempeño democrático de las sociedades y los Estados en los tiempos contemporáneos. Especial énfasis se puso a los constreñimientos interpuestos por los organismos multilaterales de crédito, las empresas multinacionales y el capital financiero trasnacional.No obstante su número y dimensión, las limitaciones a la democracia provenientes del sistema económico internacional no deben ser interpretadas cual fenómenos o procesos forzosos. En tal sentido, se comparte con Dryzek la necesidad de una lectura en clave optimista. Haciendo propias sus palabras ha de remarcarse que: "cuando la teoría democrática se encuentra con el mundo real, debería devenir fortalecida y corregida. El propósito básico de identificar constreñimientos es el de identificar oportunidades" (Dryzek, 1996:9).La interpretación en términos positivos permite identificar algunos indicios respecto al avance del proceso de democratización en el ámbito propio de la economía internacional. Se advirtió, específicamente, la paulatina manifestación de los criterios de participación, alcance y autenticidad en el accionar de los actores promotores del sistema económico global. La democracia, en términos de Downs, no es una construcción institucional estática. Se trata, al contrario, de un proceso dinámico de gobierno y de vida, inclusive. Así pues, "los defensores de la democracia deben de cambiar sus formas y significados específicos" (citado por Dryzek, 1996:5). En la actualidad, el Estado nacional, cual espacio referencial para la organización política en tiempos de la modernidad, ha dejado de representar un articulador resuelto de solidaridades políticas. "El Estado nacional es mucho menos que antes un marco general de identificación colectiva", en palabras de Touraine (2006:50). En este contexto, se ha de advertir que la democracia no adentró en un proceso de cesión sino en uno orientado a la búsqueda de nuevas formas y significación. El proceso de democratización, en breve, ha de desarrollarse en nuevos espacios, distintos a los del Estado nación. De aquí, entonces nuestra perspectiva positiva en la resolución de la tensión entre democracia y la economía capitalista en tiempos de la globalización. Sobre el autor Doctor en Relaciones Internacionales. Docente de Economía Internacional en la Facultad de Ciencia Política y Relaciones Internacionales de la Universidad Nacional de Rosario (UNR). Becario Postdoctoral del Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas (CONICET). Referencias bibliográficasBAUMAN, Zygmut (1999), La Globalizacón: Consecuencias humanas, México, Fondo de Cultura Económica.BOURDIEU, Pierre (1996), "Espíritus de Estado. Génesis y estructura del campo burocrático", en Revista Sociedad, Facultad de Ciencias Sociales, UBA, Número 8, abril.DRYZEC, John (1996), Democracy in Capitalist Times. 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Author's introductionAlthough criminologists have long dominated the field of school violence research, there has been a growing body of research by cultural sociologists in this area as well. In many ways, a cultural approach to understanding school violence has taken school violence beyond the realm of just criminal and physical acts of violence. These scholars have begun to examine verbal, emotional, sexual, and racial expressions violence, as well as violence that is perpetuated by institutions, what Bourdieu has called symbolic violence. Courses that take this perspective explore how cultural concepts, or what Swidler calls a 'cultural toolkit', can be used as a lens for analyzing the experiences and practices of school violence. This can include, for example, an examination of how the dominant American ideology of meritocracy and competition can foster fights between middle school students, or how a feminine identity might push girls to be relationally aggressive towards each other rather than physically aggressive. In this regard, cultural sociology broadens our understanding of what constitutes school violence to uncover a wide spectrum of behaviors, attitudes and beliefs that may indeed lead to more overt expressions of violence. In doing so, a cultural approach can also help educators rethink discipline policies that have been created to resolve this social problem.Author recommendsSwidler, Ann 1986. 'Culture in Action: Symbols and Strategies.'American Sociological Review51: 273–86.Swidler's concept of a cultural toolkit provides a strong foundation for any cultural sociology course. Swidler defines a cultural toolkit as the symbols, stories, rituals, beliefs, ideologies and practices of daily life through which people use to shape their behavior. This paper presents a broad understanding of culture, which Swidler argues is not a unified system, but rather a set of complex and changing concepts from which we select different pieces from in order to construct different strategies of actions. When considering cultural approaches to school violence, it is useful to consider this broad definition of culture.Henry, Stuart 2000. 'What is School Violence? An Integrated Definition.'Annals of the American Academy of Political and Social Science567: 16–30.Henry provides a definition of school violence that transcends physical violence and interpersonal violence between students to include psychological, emotional, ethical and moral violence that occurs not only between students, but also includes harm committed by teachers and organizations against students. This latter form of harm can include tracking, school security, sexual harassment, or essentially anything that hinders the creativity, learning and academic success of a student. Henry argues that school violence must include symbolic violence, which he defines as the use of authority, power, and coercion to dominate an individual or group of people.Ferguson, Ann Arnett 2000. Bad Boys: Public Schools in the Making of Black Masculinity. Ann Arbor, MI: University of Michigan Press.Ferguson builds on Bourdieu's concept of symbolic violence and Foucault's theory of disciplinary power to examine an intervention program for 'at‐risk' students, which was comprised of mainly 5th and 6th grade African‐American males. Her ethnography provides a great example of the benefit of using a cultural approach to studying violence, discipline and punishment in schools. For example, Ferguson argues that fighting among boys should be seen as a symbolic expression of masculinity and a space for boys to do emotional work, as well as a site for the production of power and a form of resistance to authority. Her work also explores how teachers and administrators can enact a form of symbolic violence onto students. She observed how the cultural behaviors of African‐American boys, for example, their use of Black English, was often translated by the teachers as 'problem behavior' and resulted in their label of 'Troublemaker'. Such labels often condemned the boys to the bottom rung of the social order and negatively impacted their academic success.Spina, Stephanie Urso, ed. 2000. Smoke and Mirrors: The Hidden Context of Violence in Schools and Society. New York, NY: Rowan and Littlefield.This edited collection examines school violence as a complicated and multi‐faceted phenomenon, exploring how political, economic, ideological and discursive practices contribute to school violence. This interdisciplinary book includes chapters from Donna Gaines, Henry Giroux, Peter McLaren, Stanley Aronowitz, and Paulo Freire and Donald Macedo. The authors expand the definition of violence by arguing that youth violence, adult violence and societal violence are all intricately connected, and therefore prevention of school violence would requires educators to move beyond reform that only takes place in the school system. Instead, violence prevention needs to implore a broader strategy for change that includes schools, families, communities, and beyond.Brown, Lyn Mikel 2003. Girlfighting: Betrayal and Rejection among Girls. New York, NY: New York University Press.Mikel Brown conducted qualitative interviews with more than 400 girls from first grade through high school who were from different economic, racial and geographic backgrounds. She begins the book by analyzing the cultural messages that girls receive in the media; messages and images that she argues provide girls with a context for fighting among their peers. She draws on Paulo Freire's notion of horizontal violence to look at how girls' meanness to other girls is a result of their struggle to make sense of gender‐saturated images of beauty and heterosexuality that often reinforce their subordinate status in the world. Girlfighting then becomes an avenue to power for young girls in a culture that is rife with sexism. Unlike many other recent books on relational aggression among girls, Mikel Brown interrogates the complicated intersections of race, ethnicity, and class as it relates to girlfighting.Casella, Ronnie 2001. 'Being Down': Challenging Violence in Urban Schools. New York, NY: Teachers College Press.Casella's ethnography of Brandon High School, a small city school in a diverse neighborhood in upstate New York, takes a cultural‐ecological approach to school violence, capturing systemic, interpersonal and hidden forms of violence. He provides a thoughtful critique of intervention strategies that have been created to deal with school violence, such as peer mediation programs, the use of police officers in the hallways, and D.A.R.E. programs, because these programs only address individual acts of violence and do not account for the realities of urban environments, prejudice, economic injustice and poverty that underlie and contribute to school violence.Merten, Don E. 1994. 'The Cultural Context of Aggression: The Transition to Junior High School.'Anthropology and Education Quarterly25(1): 29–43.Don Merten has published several articles that provide a useful framework for examining aggressive behavior from a cultural standpoint. The data from this article come from a larger ethnographic project of predominantly middle class students in a suburban area who recently transitioned from elementary to junior high school. Merten argues that middle class culture promotes and celebrates individualism, success and hierarchy, which in turn creates a culture that promotes aggressive behavior among students, because students learn that meanness can be an easy avenue for gaining power and status in the hierarchy of cliques in schools.Morris, Edward 2005. '"Tuck in that Shirt!" Race, Class, Gender and Discipline in an Urban School.'Sociological Perspectives48(1): 25–48.Morris draws on Bourdieu's classic reproduction theory to look at the relationship between cultural capital and bodily discipline as it relates specifically to clothing styles and manners. This article is based on an ethnographic study of an urban middle school in Texas that recently enlisted a 'Standard Mode of Dress' uniform policy. The regulation of dress became a constant source of conflict between the students and staff at the school, but had the most punitive effect on poor and racially ethnic minority students, whose cultural styles tended to be negatively stereotyped by the teachers. These students were more likely to punished for violating the policy, even though all social class and racial groups, to some degree, violated the policy. This harsher punishment engendered resistance and alienation among the minority students, which Morris argues had the potential of pushing these students away from school, further reproducing the very inequalities that the school was trying to change.Online materials http://nces.ed.gov/programs/crimeindicators/crimeindicators2008/ The National Center for Education Statistics puts out an annual report on indicators of School Crime and Safety. The indicators in this report are based on information drawn from a variety of data sources, including national surveys of students, teachers, and principals. The report covers not just overt forms of school violence, such as bringing a weapon to school, fighting, and teacher injuries, but also covers bullying, victimization, student perceptions of school safety, and availability and use of drugs and alcohol. http://www.cdc.gov/HealthyYouth/yrbs/index.htm The Youth Risk Behavioral Surveillance System is a school‐based survey conducted by the Centers for Disease Control and Prevention. The survey is conducted every 2 years and provides a representative sample of 9th through 12th graders in public and private schools in the United States. The YRBSS asks a wide variety of questions, but most relevant to school violence include self‐reported responses about behaviors that might lead to unintentional injuries and violence, such as carrying a weapon to school, being threatened by a weapon or being in a fight on school grounds. These data serve a useful comparison between student self‐reporting of violent behavior and school reporting of incidents of school violence. http://www.sshs.samhsa.gov/default.aspx The Safe Schools/Healthy Students website is a federal initiative by the U.S. Departments of Education, Justice, and Health and Human Services. It provides many useful resources, including links federal reports on school safety, a list of related websites, and video podcast discussions of school violence that can be used in the classroom. http://www.hrw.org/legacy/reports/2001/uslgbt/toc.htm 'Hatred in the Hallways: Violence and Discrimination against Lesbian, Gay, Bisexual and Transgender Students in U.S. Schools' is a report conducted by the Human Rights Watch. Data consists of interviews with 140 students, ages 12–21, and 130 parents, teachers, administrators and counselors across seven states, in every region of the U.S. The findings discuss a broad spectrum of violent behavior, including verbal harassment, homophobia, and physical violence. It can be useful for classroom discussion because each finding section of the report includes a 'case study' of one of the participants with direct quotes from their interview. http://www.aauw.org/research/hostile.cfm 'Hostile Hallways: Bullying, Teasing and Sexual Harassment in School' is a national report conducted by American Association of University Women on 8th to 11th grade students. The study found that 8 in 10 students experienced some form of harassment during their time in school. Both the executive summary and entire report are available to download on the website.Sample syllabusCourse outline and selected reading assignmentsSection 1: Introduction to cultural sociologyDefining CultureSwidler, Ann 1986. 'Culture in Action: Symbols and Strategies.'American Sociological Review 51: 273–86.Jepperson, Ronald and Ann Swidler 1994. 'What Properties of Culture Should We Measure?'Poetics 22: 359–71.Cultural Capital and Symbolic ViolenceBourdieu, Pierre and Jean‐Claude Passeron 1977. Reproduction in Education, Society and Culture. London: Sage.Lareau, Annette, and Elliott B. Weininger 2003. 'Cultural Capital in Educational Research: A Critical Assessment.'Theory and Society 32: 567–606.Reproduction TheoryMacLeod, Jay 1987. Ain't No Makin' It: Aspirations and Attainment in a Low Income Neighborhood. Oxford: Westview Press. Read Chapter 2, 'Social Reproduction in Theoretical Perspective.' 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Of particular relevance to this class, the film examines how the construction of masculinity relates to school shootings. The film is directed by Sut Jhally and narrated by Jackson Katz. This film could be used in the section Cultural Scripts – Masculinity.Wrestling with manhood: boys, bullying and battering (2004)This Media Education Foundation film, written and directed by Sut Jhally, examines the relationship between professional wrestling and the construction of masculinity. The film looks at how wrestling contributes to homophobia, violence against women and bullying in school. This film could be used in the section Cultural Scripts – Masculinity.School violence: answers from the inside (2000)This film originally aired on PBS''In the Mix,' a television series created by and for teens. The film examines stereotyping and conflict in schools through the eyes and voices of teenagers attending a diverse suburban high school. This film could be used in the section Cultural Resources – Language.The killer at Thurston high (2000)This PBS Frontline film focuses on Kip Kinkel, who in 1998, at the age of 15, shot his mother and father, and then opened fire at his school in Springfield, Oregon, killing two and injuring 25. He is currently serving 111 years in prison. The film provides an understanding of the tragedy through multiple viewpoints, including interviews with Kip's sister, teachers and psychiatrists. This film could be used in the section Broadening the Definition of School Violence.Mean girls (2004)Written by Tina Fey and based on Rosalind Wiseman's book, Queen Bees and Wannabes: Helping Your Daughter Survive Cliques, Gossip, Boyfriends, and Other Realities of Adolescence, this fictional account of 'mean girls' is a film that most college students will be familiar with. Clips from the film can be used in the section Cultural Scripts—Femininity to begin a discussion about relational aggression between girls in schools. It can also be used to examine the role that racism and classism play in our public perception of violent behavior, particularly since 'mean girls' in this film tend to be constructed as white and upper class, whereas in contrast, 'violent girls' in film have historically been constructed as poor, young women of color.Project ideas1. Social Policy and Intervention. This assignment is intended to get students critically thinking about how educators approach school violence. Have students pick either a national intervention program, such as D.A.R.E., or a local school policy created to deal with school violence. Begin by analyzing how school violence is defined and what type of intervention/prevention is being proposed. Require students to use a cultural approach to understand and critique the policy. In writing the paper, students should consider the following questions. How would a cultural sociologist define violence? What types of violence are missing from this policy? How would this policy be different if it took into account a cultural approach? The book, 'Being Down': Challenging Violence in Urban Schools (2001) by Ronnie Casella provides a good background resource for completing this assignment.2. Observation Project: Clothing and School Safety. Students will begin by gaining permission to observe at a local middle school or high school. Begin by analyzing the school policy towards clothing. Some schools might have an official uniform policy, whereas others might have policies regarding certain types of clothing (i.e. gang clothing, clothing with profanity, etc.) Next, spend several days observing students in non‐classroom settings, like the hallways, cafeteria, bus or playground. Take detailed fieldnotes. Pay particular attention to the clothing that students wear, any discussion made about clothing by either students or teachers, the relationship between clothing and identity, how clothes are used as a site of resistance, and how clothes might cause conflict between students, or between students and teachers. (You may also want to informally interview students about their perception of the school's policy on clothing, how they negotiate rules about clothing, and how they see clothing policies as contributing to conflict and violence, as well as school safety.) As a class, develop a coding scheme for the fieldnotes. Each student will then individually write an analysis paper on the relationship between clothing, conflict, discipline policies, and school violence.3. Mean Girls: Examining Relational Aggression in Schools. There has been much public attention in recent years to 'mean girls.' As a class, view the film Mean Girls during the course section, Cultural Scripts – Femininity. As a class, develop an interview guide with about six open‐ended questions (i.e. What were your experiences with 'mean girls' in high school? How did you or a close friend deal with being the victim of relational aggression? To what extent did you ever participate in being a 'mean girl'? How did teachers at your school respond to relational aggression between girls?) Next, have students interview six female students using the class interview guide. Students can work individually or in groups to write a paper that compares and contrasts the social construction of mean girls in the film with the actual perceptions of mean girls from their research participants. The analysis should be grounded in the social science research that students are reading on relational aggression.
Editorial Aniversario y balance Por una renovación de la agenda historiográfica de las izquierdas Colectivo Editor Se han cumplido veinte años ya de aquel viernes 3 de abril de 1998 en que el CeDInCI abriera por primera vez sus puertas en el barrio porteño de Almagro. Poco antes de la universalización del correo electrónico, y a través del antiguo sistema de invitación por tarjeta de cartón, del rumor boca a boca y el llamado telefónico, más de doscientos asistentes desbordaron la vieja casa de la calle Sarmiento cuando todavía olía a pintura fresca. Más de la mitad de los concurrentes debió esperar en la calle a que salieran los primeros para poder ingresar. ¿Qué fue lo que convocó en aquellos años de reflujo de las izquierdas y de apogeo del menemismo a las más diversas figuras de la cultura argentina, desde David Viñas a Juan José Sebreli, desde Emilio J. Corbière a Mary Feijóo, desde José Sazbón a Abel Alexis Lattendorf? Sin lugar a dudas, la expectativa de que, finalmente, un centro de documentación concebido a la manera de las modernas instituciones europeas pudiera recoger en un espacio único y plural el patrimonio documental de los movimientos sociales y las izquierdas que hasta entonces se dispersaba, y a menudo se perdía. Sin embargo, esa fundación no vino, como suele decirse, a "llenar un vacío". Fue necesario librar a lo largo de los años una verdadera batalla cultural para introducir en la agenda pública y en la agenda social el concepto de patrimonio documental. Para entonces, cuando el primero de estos términos era apenas un sinónimo de patrimonio arquitectónico, el legado documental era una noción carente de sentido. En lo que a la cultura de izquierdas respecta, los fondos personales de militantes, dirigentes, sindicalistas, escritores y editores, o los acervos de pequeñas organizaciones políticas y sociales se volatilizaban; y con ellos, la posibilidad de escribir la historia de las izquierdas, de los movimientos sociales, de las clases subalternas. La fundación del CeDInCI conjuró para siempre aquel desdén, aquel olvido. Desde ese abril de 1998 su acervo creció exponencialmente. Veinte años después, se contabilizan con nombre y apellido casi dos mil donantes. A pesar de su fragilidad institucional —apenas una asociación civil sin fines de lucro, gestionado por un equipo de una decena de profesionales—, el CeDInCI apareció a lo largo de estos años como un espacio que ofrece a los donantes garantías de transparencia, estabilidad y pluralidad. La modernización que propuso el CeDInCI en el terreno bibliotecológico, hemerográfico y archivístico vino estrechamente ligada a una propuesta de renovación historiográfica. Poner a disposición de los investigadores un acervo documental cuantioso, rico y diverso era condición necesaria pero no suficiente para una actualización de los estudios sobre las izquierdas. Recordemos brevemente aquel contexto. Para fines del siglo XX el estudio de las izquierdas estaba fuera de la agenda historiográfica. La historia obrera, una de las ramas que se había desprendido de la historia social a mediados del siglo XX, había quedado reducida a un rol residual, apenas cultivada por un porfiado puñado de historiadores, entre los que sobresalía la figura tutelar de Alberto Pla, fallecido en 2008. El cierre del CICSO (un centro de investigación fundado en 1966 que había producido una obra colectiva de referencia a comienzos de la década de 1970),[1] la dispersión de sus investigadores más reconocidos y la donación de su archivo a una institución tan poco previsible como la SADE (Sociedad Argentina de Escritores) constituían un síntoma elocuente de aquel fin de ciclo. Algunos de los historiadores obreros más jóvenes apelaban por entonces a la renovación que había conocido la historiografía inglesa desde la década de 1960, pero a menudo sus referencias a las obras de un E. P. Thompson fueron, antes que un índice de lecturas fructíferas o una puesta en acto de sus aportes teórico-conceptuales, verdaderos modelos de citas de autoridad.[2] Mientras estos historiadores obreros resistían desde un paradigma historiográfico francamente conservador (una teoría de la clases sociales y de su conciencia de corte leninista, una reificación del conflicto social y una metodología positivista de recolección "objetiva" de "datos"), la historiografía conocía una renovación vertiginosa a escala global, que socavaba incluso muchos de sus supuestos epistemológicos. Desde el impacto del "giro lingüístico" hasta al correspondiente al "giro material" (por no hablar del más reciente "giro reflexivo"), tanto la microhistoria, la historia de las mujeres, la historia de lo cotidiano, la historia de la sexualidad, la historia social de la cultura como la nueva historia política conmovían los cimientos de la profesión, despertaban la vocación de los nuevos historiadores y reorientaban incluso los intereses muchos investigadores formados. De modo que para fines de la década de 1990 la mayor parte de los miembros del PEHESA,[3] un centro fundado en 1977 a comienzos de la última dictadura militar y que había venido a modernizar los estudios de historia social, habían abandonado la historia obrera stricto sensu. Si bien durante algunos años prosiguieron los trabajos de Silvia Badoza sobre la Sociedad Tipográfica Bonaerense, los de Mirta Lobato sobre las obreras de los frigoríficos de Berisso, los de Juan Suriano sobre el anarquismo argentino o los de Ricardo Falcón sobre la formación de la clase obrera en la segunda mitad del siglo XIX, buena parte de los investigadores fueron atraídos enseguida por otras demandas historiográficas. Suriano fue desplazando sus intereses desde el movimiento obrero anarquista hacia la cultura libertaria.[4] Leandro Gutiérrez —el principal inspirador de la historia y la cultura obrera, y su último cultor a tiempo completo, fallecido en 1992—, había iniciado junto a Luis Alberto Romero un desplazamiento de su objeto hacia los que entonces se designaban como "sectores populares".[5] Significativamente, la obra que reunía gran parte de los trabajos maduros de historia social y obrera de esa generación —nos referimos a Jeremy Adelman (ed.), Essays in Argentine Labour History 1870-1930— no encontró un editor en la Argentina.[6] Si la historia de la clase obrera se veía progresivamente desplazada de la renovada agenda historiográfica de fin de siglo, la historia de las corrientes de izquierda que no se encuadraba en lo que entonces llamábamos "historias oficiales", seguía siendo cultivada casi exclusivamente por el periodismo de investigación. La popularidad que gozaron en los años '80 y '90 las contribuciones sobre anarquismo, socialismo, comunismo y nueva izquierda de figuras como Osvaldo Bayer, Emilio J. Corbière, Isidoro Gilbert y María Seoane contrastaban con la reticencia de la historiografía académica frente a estos objetos. Sólo unas pocas obras clave nacidas entre esas dos décadas vinieron a dar una nota discordante en ese clima académico: nos referimos a Una modernidad periférica: Buenos Aires 1920 y 1930 (1988) de Beatriz Sarlo, Nuestros años sesentas. La formación de la nueva izquierda intelectual en la Argentina (1956-1966) (1991) de Oscar Terán, e Intelectuales y poder en Argentina en la década del sesenta (1991) de Silvia Sigal. Aunque respondían más a ejercicios de balance histórico por parte de intelectuales formados en las décadas pasadas que a la agenda académica de esos años, estas obras iban a abrir una brecha en la renovación historiográfica nacida con el nuevo siglo. Fue en ese contexto de innovación al mismo tiempo que de profesionalización de la historiografía argentina, que el CeDInCI postulaba en torno a 1998, además de la necesidad de un acervo documental, una agenda historiográfica para el estudio de las izquierdas y de las clases subalternas. Por supuesto, ya la propia organización de un centro que reuniera en forma integral y al mismo tiempo diferenciada áreas de biblioteca, hemeroteca y archivo, hablaba de una renovación respecto de las antiguas bibliotecas donde estas áreas solían estar confundidas. La hemeroteca adquiría en este proyecto un lugar central, poniendo a disposición de los investigadores un universo revisteril mucho más denso, diverso y proteico que el de las pocas revistas canónicas que había consagrado la historia literaria en el siglo XX. El archivo, centrado en los fondos de militantes, escritores y editores, venía a ofrecer un corpus hasta entonces apenas transitado por la historiografía. La novedad no estaba tanto en la diversidad de los soportes ofrecidos, como en el orden con que fueron organizados y presentados. La organización y la catalogación misma de los libros, los folletos, los afiches, los periódicos, las revistas, las cartas privadas, fueron concebidas desde un inicio para propiciar una historia renovada y multidimensional de las izquierdas. Borges decía que el orden de una biblioteca era un modo silencioso de ejercer la crítica. Para nosotros, el catálogo excedía su dimensión técnica, el orden de las piezas respondía a una perspectiva de la historia, el tesauro a un universo conceptual, la descripción se comprometía con la investigación. También el propio nombre de la institución, con su referencia expresa no a "la izquierda" lisa y llana, sino a una "cultura de izquierdas", sugería además de la pluralidad todo un abanico de dimensiones materiales, simbólicas e imaginarias de social y de lo político que connotaba el término cultura, excediendo con creces la clásica historia institucional centrada en pasar revista de los congresos, analizar la corrección de los discursos de los dirigentes y en contabilizar la cantidad de obreros que el partido controlaba entre los marítimos o los ferroviarios. El lanzamiento del CeDInCI fue acompañado de una serie de libros y de artículos de carácter programático elaborados por algunos de sus fundadores que en poco tiempo era asumida y enriquecida por una nueva camada de historiadores.[7] A contrapelo de un clima historiográfico en el que Marx y el marxismo eran sacrificados en el altar del "fin de las ideologías", esos textos, al mismo tiempo que celebraban la profunda renovación historiográfica en curso, se esforzaban en mostrar el estímulo intelectual y el provecho historiográfico que ofrecían ciertas figuras y conceptos forjados por el marxismo crítico de un Gramsci o un Benjamin, así como por historiadores marxistas extraacadémicos olvidados como Issac Deutscher, Arthur Rosenberg o Fernando Claudín. Pugnaban, asimismo, por mostrar los signos de renovación de la historia social británica a los que la academia argentina comenzaba a darle la espalda —desde los estudios clásicos de Eric Hobsbawm, E.P. Thompson y Raymond Williams hasta los de Raphael Samuel, Perry Anderson y Gareth Stedman Jones—, la innovación historiográfica que había representado en las décadas de 1970 y 1980 la obra de figuras como Robert Paris, Georges Haupt y Franco Andreucci para la historia del marxismo y las internacionales obreras, así como los aportes contemporáneos de la sociología de la cultura (Pierre Bourdieu y su escuela) y la sociología de los intelectuales revolucionarios (Michael Löwy). La nueva historia de las izquierdas y de las clases subalternas incluía y al mismo tiempo excedía la historia partidaria, la historia obrera o la historia del mundo del trabajo. Proponía, por ejemplo, otras claves para repensar la dimensión institucional (desde el socioanálisis de René Lourau y Georges Lapassade hasta la teoría foucaultiana de los micropoderes, pasando por la dimensión imaginaria teorizada por Cornelius Castoriadis),[8] incorporaba la perspectiva de género y el concepto de vida cotidiana para repensar las subjetividades militantes, dialogaba con los aportes conceptuales y metodológicos de la sociología cultural, de la historia intelectual y la historia del libro y la edición para reconsiderar dimensiones claves de la cultura de izquierdas, hasta entonces apenas exploradas en nuestro país por unos pocos estudios pioneros, como los de Dora Barrancos. El CeDInCI promovió un diálogo productivo de la historia de las izquierdas con la nueva historia intelectual, menos atento a ciertas prescripciones de la Escuela de Cambridge de Skinner y Pocock —sobre todo las que parecen "querer apresar las ideas de una época en sus marcos lingüísticos"[9] — que a las vertientes que ponen en el centro los soportes materiales de los procesos históricos de la cultura, aquellos que se resisten a ser simplemente reducidos a texto. Comprometida en un proyecto de historización radical de las ideas, Políticas de la Memoria promovió estudios y debates sobre la problemática de la recepción y la circulación internacional de ideas y saberes, poniendo sobre todo de relieve los problemas de "traductibilidad", los "desvíos" y "malentendidos" propios de las "ideas fuera de lugar". Dentro de la renovación que conoce la historia de los intelectuales, nuestra revista atendió antes que nada a la dimensión relacional de la historia social de la cultura, prestando especial atención a las redes intelectuales, las redes editoriales y las redes revisteriles. Siguiendo estas líneas, fue plataforma de difusión de diversos referentes de esa renovación historiográfica como Enzo Traverso, Bruno Groppo, Perry Anderson, Christophe Prochasson, Daniel James, Judith Revel, Roberto Schwarz, Ricardo Melgar, Claudio Batalha, Ricardo Piglia, Giselle Sapiro, Jean-Yves Mollier, Vivek Chibber, Philippe Artières y Dominique Kalifa, entre muchos otros. Una política de edición que anticipó y complementó una revista hermana del CeDInCI como El Rodaballo, menos acotada al campo historiográfico y más abierta a los debates intelectuales, que dio a conocer entre 1994 y 2006 textos inéditos en español de Toni Negri, Michael Hardt, Perry Anderson, Robin Blackburn, Michael Löwy, Boris Kagarlitsky, Nancy Fraser, Judith Butler, André Gorz, John Holloway, Frédrik Jameson, Robert Castel, Daniel Bensaïd, Richard Greeman, Terry Eagleton, Etienne Balibar, Régis Debray y René Lourau, entre muchos otros. Con el apoyo de estas renovadas lecturas, Políticas de la Memoria garantizaba la puesta en circulación de un amplio espectro de problemas referidos al mundo de la cultura de izquierdas en Argentina, Latinoamérica y Europa; participando, de este modo, de diferentes y entrecruzadas agendas historiográficas, debates político-académicos y temas de marcada recurrencia entre historiadores y cientistas sociales. A partir de la publicación de artículos, dossiers e intervenciones se abordaron cuestiones como la recepción argentina de Marx y la configuración de una cultura marxista en nuestro país, la formación y las derivas del socialismo argentino, las vicisitudes del anarquismo en América Latina, la historia intelectual del comunismo latinoamericano, el sindicalismo y sus diversas corrientes ideológicas, el antiimperialismo en los albores del siglo XX, el indigenismo y los latinoamericanismos, los intelectuales y su relación con la política revolucionaria, los avatares del trotskismo en la Argentina, del peronismo de izquierda, de las "nuevas izquierdas" y de los grupos armados a nivel continental. Asimismo, Políticas de la Memoria dio lugar a debates recientes sobre la historia europea contemporánea (guerras mundiales, revolución rusa, totalitarismos, guerra fría), ofreciendo estudios referidos al desarrollo de los partidos socialistas y comunistas a nivel mundial y a la historia de las Internacionales Obreras. La historia del marxismo europeo y latinoamericano ocupó en sus páginas un lugar sostenido, lejos tanto del desdén de la historia académica como de los abordajes trillados de los órganos semipartidarios. La serie sobre las sucesivas "crisis del marxismo", aún en curso de publicación, ofreció textos hasta entonces inéditos en español de Masaryk, Sorel, Croce, Gentile y Mondolfo, así como los sustantivos estudios introductorios de Daniel Sazbón, Miguel Candioti y Horacio Tarcus. Finalmente, debemos destacar al anuario como uno de los pioneros en la difusión de estudios y debates sobre los movimientos feministas y sobre la cuestión sexo-genérica en la cultura de izquierdas. En la construcción sostenida de esta singular agenda de temas y de problemas, no fue menor la exhumación de documentos inéditos (piénsese en la correspondencia cruzada entre Ingenieros, Darío y Lugones, en las cartas de Simón Radowitzky a Salvadora Medina Onrubia, en la correspondencia de Mario R. Santucho con Carlos Astrada, en la de José Aricó con Héctor P. Agosti, o en las Actas del Comité Obrero de 1890) así como la incorporación de trabajos que reconstruyen la trayectoria biográfica, política e intelectual de figuras clave en la historia de las izquierdas, como Germán Avé-Lallemant, Virginia Bolten o Ernesto Laclau. Por su parte, la publicación de reseñas críticas, fichas de libros y de revistas que ofrece cada año Políticas de la Memoria —secciones que fueron engrosándose hasta formar parte constitutiva del anuario—, constituyen un insumo fundamental de actualización bibliográfica para cualquier interesado en el mundo de las izquierdas. Pero el aporte de Políticas de la Memoria a los estudios sobre la cultura de izquierdas no es simplemente temático. Su contribución tampoco se resume en la incorporación y en la difusión de autores y de obras de reconocimiento internacional. El anuario interviene en el debate de ideas y se interesa por diferentes perspectivas historiográficas: a su modo, ha formado parte del cultivado campo de la historia intelectual argentina y latinoamericana, ha mostrado un interés sostenido pero también crítico por los modos en que a menudo se cultiva la historia reciente, dando lugar a debates sobre la relación entre historia y memoria, y señalando las potencialidades y los límites de la historia oral. Políticas de la Memoria ha sido pionera en difundir nuevas corrientes de investigación dedicadas a la historia del libro y la edición, a las políticas de archivo y a la relación entre historia cultural y nueva historia política. El mero enunciado de los ejes temáticos con que fueron convocadas las sucesivas Jornadas de Historia de las Izquierdas del CeDInCI a lo largo de los últimos 20 años ofrece un índice ilustrativo de su programa historiográfico, tal y como se fue desplegando a lo largo del tiempo: "Exilios políticos latinoamericanos y argentinos" (2005); "Prensa política, revistas culturales y emprendimientos editoriales de las izquierdas latinoamericanas" (2007); "¿Las 'ideas fuera de lugar'? El problema de la recepción y la circulación de ideas en América Latina" (2009); "José Ingenieros y sus mundos" (2011); "La correspondencia en la historia política e intelectual latinoamericana" (2013); "Marxismos latinoamericanos. Tradiciones, debates y nuevas perspectivas desde la Historia cultural e intelectual" (2015); "100 años de Octubre de 1917: Peripecias latinoamericanas de un acontecimiento global" (2017). El estudio de Juan Maiguashca incluido recientemente en Marxist historiographies. A global perspective tomaba justamente a las Jornadas del CeDInCI como un índice de la renovación historiográfica latinoamericana de izquierdas posterior a los años de la "crisis del marxismo".[10] El historiador ecuatoriano, actualmente profesor de la Universidad de York, Canadá, ofrecía un cotejo entre los que identificaba como los dos polos paradigmáticos de la renovación del marxismo historiográfico de inicios de siglo: la revista mexicana Contrahistorias. La otra mirada de Clío, que fundó en 2003 Carlos Antonio Aguirre Rojas, y las jornadas bianuales del CeDInCI. Maiguashca reconocía como notas distintivas del caso argentino la creciente voluntad de exceder los límites de la historia nacional para abrazar un horizonte latinoamericano; la consolidación de un espacio de diálogo que vino a reemplazar "las actitudes solipsistas de antaño"; el rigor en el tratamiento y el citado de las fuentes; la apertura hacia los diversos marxismos y más allá de los marxismos; y la ampliación del universo de la cultura de izquierdas hacia problemáticas antes negadas o desconocidas como el feminismo, los movimientos sociales o la memoria histórica. "La preocupación obsesiva con las clases se ha ido y los participantes están comenzando a explorar con una mente abierta las importaciones analíticas de otras variables: etnia, género, territorio, entre otros".[11] Además de sus jornadas bianuales, el CeDInCI organizó o promovió la coorganización de encuentros académicos sobre campos de estudio más amplios, como los Coloquios Argentinos de estudios sobre el libro y la edición (2012, 2016 y 2018), los Encuentros de Investigadore/as del Anarquismo (2007, 2009, 2011, 2013 y 2015), el Primer Congreso de Investigadorxs sobre Anarquismo (2016), o las Jornadas de Archivo (2015 y 2017) así como el Encuentro nacional de Teoría Crítica José Sazbón (Rosario, 2010), las Jornadas Internacionales José María Aricó (Córdoba, 2011) y las Jornadas A 100 años de la Reforma Universitaria. Historia, Política, Cultura (Rosario, 2018). Además, en los últimos años, se han creado en el marco del CeDInCI dos nuevos espacios específicos que han mancomunado archivo e investigación. Primero, el Programa de Investigación del Anarquismo que animó, junto a otros colegas, un proceso de intercambio que culminó con la organización del Congreso de 2016 cuya continuidad, en un Segundo Congreso Internacional de Investigadorxs del Anarquismo, se celebrará en Montevideo en 2019. A su vez, en el año 2017 se creó el Programa de memorias políticas feministas y sexogenéricas que, con una notable Colectiva asesora, lleva adelante un intenso trabajo de recuperación, preservación y disposición a la consulta pública de un invaluable material que se encontraba en riesgo de pérdida, disperso o inaccesible. Finalmente, el CeDInCI fue parte activa de las sucesivas Jornadas de Trabajo sobre Historia Reciente, librando batallas, desde sus primeras manifestaciones en el año 2003 y hasta el presente, a favor de esa historia crítica que se resiste a ser avasallada por la memoria; el CeDInCI protagonizó asimismo las primeras manifestaciones pluralistas de los Congresos de Historia Intelectual Latinoamericana (CHIAL) realizados en Medellín (2012) y Buenos Aires (2014), tomando luego prudente distancia de un espacio que fue adquiriendo en México (2016) y más gravemente en Santiago de Chile (2018) contornos elitistas y conservadores. * * * A lo largo de estos 20 años, la producción historiográfica sobre las izquierdas conoció una expansión inédita, no sólo en nuestro país sino en toda América Latina. En los textos programáticos de la década de 1990 que anunciaban el nacimiento del CeDInCI, la bibliografía argentina sobre las izquierdas apenas superaba una carilla. Hoy contamos con una masa de estudios sobre el anarquismo, el socialismo, el reformismo universitario, el comunismo, el antifascismo, el trotskismo, el peronismo revolucionario y las diversas expresiones de la nueva izquierda que se ha tornado prácticamente inabarcable. El espectro tradicional de las izquierdas se fue complejizando con la indagación focalizada en ciertos cruces, préstamos e hibridaciones poco antes impensados, como los "anarcobolcheviques" o los "comunistas liberales". A su vez, estas corrientes son atravesadas diagonalmente por estudios innovadores sobre los intelectuales revolucionarios, las políticas editoriales, la prensa y las revistas, el papel de las juventudes, el rol de las mujeres militantes, las micropolíticas, las prácticas sexuales y las biopolíticas de las organizaciones de izquierda. El CeDInCI acompañó y contribuyó a modelar este vasto proceso de producción con su acervo siempre enriquecido, con sus jornadas y sus seminarios de posgrado, con su revista Políticas de la Memoria, con sus ediciones de fuentes y sus diccionarios biográficos. Basta repasar los centenares de agradecimientos que muchos investigadores estampan en las primeras páginas de sus tesis o de sus libros para reconocer al menos el umbral más básico de esta deuda. Además, las obras que fueron elaborando los propios hacedores del CeDInCI se han ido instalando como referencias en el campo de estudios sobre las izquierdas en Argentina y América Latina. Ahora bien, el CeDInCI ha sido apenas un propiciador de este campo. El notable dinamismo desplegado en la Argentina de los últimos veinte años ha respondido a demandas múltiples y diversas. Una de las mayores fue la que podríamos llamar la "demanda de verdad" respecto de la militancia revolucionaria de los años '60 y '70 así como de las condiciones de su represión y su derrota. Poco antes, la "demanda de justicia" propia del movimiento de derechos humanos tendía a poner a los sujetos de la política en el lugar de víctimas de la represión. En un segundo momento, el periodismo de investigación y la historiografía académica después, vinieron a reponer a esos sujetos en su condición de militantes. El auge de estudios sobre la militancia de las dos décadas de gran movilización social y radicalidad política (1955-1976) tuvo un efecto dinamizador sobre otras experiencias y otras figuras militantes de pasados algo más remotos. Esta demanda social de "verdad" fue inicialmente satisfecha por un periodismo de investigación abiertamente tensado por sus posicionamientos políticos, desde las contribuciones de Isidoro Gilbert y María Seoane hasta las de Ceferino Reato y Tata Yofre. En el campo específicamente historiográfico, algunas de las primeras respuestas surgieron de una cierta perspectiva académico-militante, de espíritu defensivo y reivindicativo, cuyo afán por exhumar documentos o recabar testimonios que probaran las correctas posiciones de las izquierdas en el pasado, o bien su profunda implantación social e incluso la aprobación social de sus acciones militares, los empujaba de modo concomitante a invisibilizar sus límites, a desproblematizar sus dilemas y a sublimar sus fracasos. En buena parte de esta literatura, la perspectiva historiográfica quedaba, así, capturada por el sistema de creencias de los propios actores que estudiaba. Estas formas de teleología obrera y de sobrepolitización de la historia apenas si se vieron neutralizadas por las exigencias de profesionalización propias de fines del siglo XX. Ciertamente, el ciclo de estudios sobre las izquierdas coincidió con un profundo proceso de profesionalización de las ciencias sociales y las humanidades que tuvo lugar a lo largo de estos veinte años: esto es, la significativa ampliación de cupos de ingreso a carrera de investigador de CONICET; la gran expansión de becas de especialización e investigación en universidades y diversas entidades científicas y académicas; y la proliferación de espacios de formación, producción y circulación de saberes disciplinares. Este proceso significó, sin duda, una necesaria y justa democratización del universo académico, fundamentalmente en lo relativo al establecimiento de condiciones materiales para la producción intelectual. Sin embargo, la normativización y objetivación —la más de las veces cuantitativa— de los criterios de acreditación, evaluación y legitimación del quehacer intelectual implicaron en contrapartida una penalización a la historiografía más elaborada, crítica y original. La producción en serie de papers y artículos en los que prima la descripción —a veces minuciosa o erudita, otras no tanto— por sobre la interrogación y la construcción de objetos-problema; las escrituras que en su afán de productividad han abandonado todo debate, toda pretensión teórica o cuanto menos reflexiva, es la que predomina hoy en nuestros campos disciplinares. La cuestión excede con creces, por supuesto, a la historiografía de izquierdas, pero es ésta la que nos interesa aquí. Este sistema cuantitativo de evaluación y legitimación ha sido incluso perfectamente funcional para el crecimiento de esas versiones de la historia obrera tradicional o de la historia partidaria, permitiéndoles acomodarse perfectamente a unas reglas que exigen alta productividad antes que problematización de los objetos y avances reales en la construcción social del conocimiento histórico. El balance de conjunto de la producción de estos últimos veinte años sobre las izquierdas aún está por hacerse. Aquí sólo quisimos avanzar en algunos señalamientos que hacen al específico posicionamiento del CeDInCI, entre los riesgos de partidización de la historia reciente, por un lado, y ciertas derivas elitistas y despolitizadoras de la nueva historia intelectual, por otro. Nos propusimos incitar a un debate colectivo que sirva como balance de lo producido y como actualización de una agenda historiográfica para el estudio de las izquierdas, que tal como había sido formulada veinte años atrás, ya ha quedado en cierto modo realizada, y por lo tanto anticuada. El aniversario, además de la congratulación, puede ser una excelente oportunidad para barajar y dar de nuevo, para debatir colectivamente cuál es hoy el mapa de la historiografía de izquierdas; cuáles sus dispositivos teórico-metodológicos y sus redes conceptuales más destacadas; cuáles sus imbricaciones y apuestas político-intelectuales; cuáles son sus tensiones; qué tradiciones político-ideológicas se perpetúan en las escrituras actuales; cuáles han sido desechadas, cuáles olvidadas, cuáles actualizadas; cuáles son sus puentes, cuáles sus distancias con el espacio más general de la memoria. Incluso cabe preguntarse: ¿Puede hablarse de un campo de estudio de las izquierdas?, o incluso: ¿qué sería hoy una historiografía de izquierdas? Para ello, invitamos a colegas y amigos a participar de las próximas Xas Jornadas de Historia de las Izquierdas Dos décadas de historia de las izquierdas latinoamericanas. Aniversario y balance, los días 20, 21 y 22 de noviembre de 2019. Beba Balvé, Miguel Murmis, Juan Carlos Marín, Lidia Aufgang, Tomás J. Bar y Roberto Jacoby, Lucha de calles, lucha de clases. Elementos para su análisis (Córdoba, 1961-1969), Buenos Aires, La Rosa Blindada, 1973. ↑ Tan sólo a modo de ejemplo: en sentido opuesto a la expresa declaración de su autor, el enfoque de Oposición obrera a la dictadura (Buenos Aires, Contrapunto, 1988) de Pablo Pozzi era escasamente thompsoniano. Lejos de tomar la dimensión de la experiencia como constitutiva de la clase obrera, no hacía más que evaluar las prácticas de resistencia obrera construidas empíricamente con el rasero de una conciencia de clase previamente establecida (en un sentido, justamente, pre-thompsoniano). ↑ Programa de Estudios de Historia Económica y Social Americana. ↑ Juan Suriano, Trabajadores, anarquismo y Estado represor : De la Ley de Residencia a la Ley de Defensa Social (1902-1910), Buenos Aires, CEAL, 1988; y Anarquistas. Cultura y política libertaria en Buenos Aires. 1890-1910, Buenos Aires, Manantial, 2001. ↑ Leandro Gutiérrez, Luis Alberto Romero, "Los sectores populares y el movimiento obrero: un balance historiográfico", en Sectores populares. Cultura y política, Buenos Aires, Sudamericana, 1995. ↑ Jeremy Adelman (ed.), Essays in Argentine Labour History 1870-1930, Londres, Macmillan Press, 1992, incluyó estudios de Juan Suriano, Hilda Sábato, Silvia Badoza, Mirta Lobato, Ofelia Pianetto, Ruth Thompson, Colin M. Lewis, Eduardo A. Zimmermann, Leandro H. Gutiérrez, Luis Alberto Romero y el propio Jeremy Adelman. ↑ Horacio Tarcus, El marxismo olvidado en la Argentina: Silvio Frondizi y Milcíades Peña, Buenos Aires, El Cielo por Asalto, 1996; Horacio Tarcus, Mariátegui en la Argentina, o las políticas culturales de Samuel Glusberg, Buenos Aires, El Cielo por Asalto, 2001; H. Tarcus, J. Cernadas y R. Pittaluga, "Para una historia de la izquierda en la Argentina. Reflexiones preliminares", en El Rodaballo nº 6/7, Buenos Aires, otoño/invierno 1997, pp. 28-38; Íbid., "La historiografía sobre el Partido Comunista de la Argentina: un estado de la cuestión", en El Rodaballo. Revista de política y cultura nº 8, Buenos Aires, otoño/invierno 1998, pp. 31-40. ↑ Horacio Tarcus, "La secta política. Ensayo acerca de la pervivencia de lo sagrado en la modernidad", en El Rodaballo. Revista de política y cultura, nº 9, Buenos Aires, verano 1998/99, pp. 13-33. ↑ Enzo Traverso, La historia como campo de batalla, Buenos Aires, Fondo de Cultura Económica, 2012, pp. 22; véase una crítica semejante en el estudio de Michael Heinrich que ofrecemos en este mismo número. ↑ Q. Edward Wang and Georg G. Iggers (eds.), Marxist historiographies. A global perspective, New York, Routledge, 2016. El estudio de Juan Maiguashca apareció inicialmente como "Latin American Marxist History: Rise, fall and resurrection", en Storia della Storiografia nº 62, Pisa, 2012, pp. 105-120. Hay una versión española de Isabel Mena: "Historia marxista latinoamericana: nacimiento, caída y resurrección", en Procesos. Revista ecuatoriana de historia nº 62, Quito, segundo semestre 2013, disponible en: http://revistaprocesos.ec/ojs/index.php/ojs/article/view/6/24 ↑ Juan Maiguashca , "Historia marxista latinoamericana: nacimiento, caída y resurrección", op. cit., p. 106. ↑