Militärfeiern in Deutschland und Frankreich als Rituale der Nation (1871-1914)
In: Nation und Emotion, S. 199-214
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In: Nation und Emotion, S. 199-214
In: Colloquia Augustana volume 36
Building on the new critical historiography about the evolution of the European state, the book analyses how administrators, scientists, popular publicists and other actors tried to redefine the realms of state action in the "Sattelzeit" (Koselleck). By focussing on the specific strategies of these actors and on the transnational circulation and dissemination of state related knowledge itself, the contributors of the book highlight the fluidity and the interconnections of the European debate in the crucial period of the development of the modern nation-state and its administration. They study the common European features of the evolution of a new type of statehood built upon multiple circulations and transfers that forged administrative practices in the different fields of state action. Analysing important fields of expertise ranging from agricultural knowledge, mining sciences to anthropological knowledge, which laid the basis for the new "scientific" foundations of administration, the book underlines the necessity of a re-evaluation of the classical approaches to the history of state in the 18th and 19th centuries
Wirtschaftsbeziehungen sind Tauschbeziehungen und beruhen auf kulturell geprägten Regeln, die durch Werte oder Emotionen Verbindlichkeit gewinnen - etwa dadurch, dass die Partner sich vertrauen. Umso erstaunlicher, dass Wirtschafts- und Kulturgeschichte einander kaum zur Kenntnis nehmen. In diesem Band werden klassische Themen der Wirtschaftsgeschichte aus kulturgeschichtlicher Perspektive behandelt. Die Autorinnen und Autoren gehen davon aus, dass die Wirtschaft (von ökonomischen Theorien bis hin zur Managementkultur) von der Kultur beeinflusst wird. Zugleich wirkt die Ökonomie bis in das Alltagsleben der Menschen hinein. Die Ergebnisse des Bandes reichen von der Erkenntnis, wie wichtig etwa Vertrauen in der Wirtschaft ist, bis zur Entdeckung nationaler bzw. religiöser 'Wirtschaftskulturen' und spezifischer Ausprägungen der Konsumgesellschaft. Beiträge u. a. von Christoph Conrad, Sebastian Conrad, Georg Elwert, Friedrich Wilhelm Graf, Martina Heßler, Dirk van Laak, Birger Priddat, Jakob Tanner, Adam Tooze, Frank Trentmann und Thomas Welskopp. Hartmut Berghoff ist Professor für Wirtschaftsgeschichte an der Universität Göttingen und Mitherausgeber der Zeitschrift für Unternehmensgeschichte. Jakob Vogel, Dr. phil., ist wiss. Assistent am Frankreich- Zentrum der TU Berlin.
L'histoire et le politique entretiennent une relation compliquée, parfois houleuse. Dans leur travail, les historiens sont quasi continuellement interpellés par le débat politique et les événements de leur époque. Ainsi, leurs perspectives de recherche font souvent directement écho à des interrogations qui polarisent la sphère publique et ils cherchent dans l'analyse du passé des clés pour l'intelligence des phénomènes présents qu'ils restituent dans la durée. En même temps, les approches qu'ils mobilisent les amènent souvent à critiquer et à nuancer, voire à démentir, les affirmations d'un responsable politique qui tendent facilement vers le raccourci ou l'amalgame et qui, fréquemment, instrumentalisent l'Histoire et ses interprétations. L'élection présidentielle française en administre la preuve. Le 28 août 2016, François Fillon a plaidé pour le rétablissement de la continuité du récit national « en partant de la France et en axant ce récit sur celle-ci et non en le diluant, comme on le fait aujourd'hui dans l'étude des faits généraux "mondialisés" ». Emmanuel Macron n'a pas été en reste. Lors d'un déplacement à Alger, il a déclaré le 14 février 2017 à une télévision locale que la colonisation française fut « un crime. Un crime contre l'humanité. C'est une vraie barbarie et ça fait partie de notre passé que nous devons regarder en face en présentant nos excuses à l'égard de celle et ceux avec lesquels nous avons commis ces gestes ». Deux déclarations emblématiques qui ont aussitôt nourri des controverses politiques et historiographiques, les historiens étant sollicités par les médias ou prenant d'eux-mêmes l'initiative de donner leur avis et leur évaluation de la pertinence des propos de ces deux candidats à la magistrature suprême. [Premier paragraphe]
BASE
L'histoire et le politique entretiennent une relation compliquée, parfois houleuse. Dans leur travail, les historiens sont quasi continuellement interpellés par le débat politique et les événements de leur époque. Ainsi, leurs perspectives de recherche font souvent directement écho à des interrogations qui polarisent la sphère publique et ils cherchent dans l'analyse du passé des clés pour l'intelligence des phénomènes présents qu'ils restituent dans la durée. En même temps, les approches qu'ils mobilisent les amènent souvent à critiquer et à nuancer, voire à démentir, les affirmations d'un responsable politique qui tendent facilement vers le raccourci ou l'amalgame et qui, fréquemment, instrumentalisent l'Histoire et ses interprétations. L'élection présidentielle française en administre la preuve. Le 28 août 2016, François Fillon a plaidé pour le rétablissement de la continuité du récit national « en partant de la France et en axant ce récit sur celle-ci et non en le diluant, comme on le fait aujourd'hui dans l'étude des faits généraux "mondialisés" ». Emmanuel Macron n'a pas été en reste. Lors d'un déplacement à Alger, il a déclaré le 14 février 2017 à une télévision locale que la colonisation française fut « un crime. Un crime contre l'humanité. C'est une vraie barbarie et ça fait partie de notre passé que nous devons regarder en face en présentant nos excuses à l'égard de celle et ceux avec lesquels nous avons commis ces gestes ». Deux déclarations emblématiques qui ont aussitôt nourri des controverses politiques et historiographiques, les historiens étant sollicités par les médias ou prenant d'eux-mêmes l'initiative de donner leur avis et leur évaluation de la pertinence des propos de ces deux candidats à la magistrature suprême. [Premier paragraphe]
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L'histoire et le politique entretiennent une relation compliquée, parfois houleuse. Dans leur travail, les historiens sont quasi continuellement interpellés par le débat politique et les événements de leur époque. Ainsi, leurs perspectives de recherche font souvent directement écho à des interrogations qui polarisent la sphère publique et ils cherchent dans l'analyse du passé des clés pour l'intelligence des phénomènes présents qu'ils restituent dans la durée. En même temps, les approches qu'ils mobilisent les amènent souvent à critiquer et à nuancer, voire à démentir, les affirmations d'un responsable politique qui tendent facilement vers le raccourci ou l'amalgame et qui, fréquemment, instrumentalisent l'Histoire et ses interprétations. L'élection présidentielle française en administre la preuve. Le 28 août 2016, François Fillon a plaidé pour le rétablissement de la continuité du récit national « en partant de la France et en axant ce récit sur celle-ci et non en le diluant, comme on le fait aujourd'hui dans l'étude des faits généraux "mondialisés" ». Emmanuel Macron n'a pas été en reste. Lors d'un déplacement à Alger, il a déclaré le 14 février 2017 à une télévision locale que la colonisation française fut « un crime. Un crime contre l'humanité. C'est une vraie barbarie et ça fait partie de notre passé que nous devons regarder en face en présentant nos excuses à l'égard de celle et ceux avec lesquels nous avons commis ces gestes ». Deux déclarations emblématiques qui ont aussitôt nourri des controverses politiques et historiographiques, les historiens étant sollicités par les médias ou prenant d'eux-mêmes l'initiative de donner leur avis et leur évaluation de la pertinence des propos de ces deux candidats à la magistrature suprême.
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In: Histoire_372Politique: politique, culture, société ; revue électronique du Centre d'Histoire de Sciences Po, Band 31, Heft 1, S. 1
ISSN: 1954-3670
L'histoire et le politique entretiennent une relation compliquée, parfois houleuse. Dans leur travail, les historiens sont quasi continuellement interpellés par le débat politique et les événements de leur époque. Ainsi, leurs perspectives de recherche font souvent directement écho à des interrogations qui polarisent la sphère publique et ils cherchent dans l'analyse du passé des clés pour l'intelligence des phénomènes présents qu'ils restituent dans la durée. En même temps, les approches qu'ils mobilisent les amènent souvent à critiquer et à nuancer, voire à démentir, les affirmations d'un responsable politique qui tendent facilement vers le raccourci ou l'amalgame et qui, fréquemment, instrumentalisent l'Histoire et ses interprétations. L'élection présidentielle française en administre la preuve. Le 28 août 2016, François Fillon a plaidé pour le rétablissement de la continuité du récit national « en partant de la France et en axant ce récit sur celle-ci et non en le diluant, comme on le fait aujourd'hui dans l'étude des faits généraux "mondialisés" ». Emmanuel Macron n'a pas été en reste. Lors d'un déplacement à Alger, il a déclaré le 14 février 2017 à une télévision locale que la colonisation française fut « un crime. Un crime contre l'humanité. C'est une vraie barbarie et ça fait partie de notre passé que nous devons regarder en face en présentant nos excuses à l'égard de celle et ceux avec lesquels nous avons commis ces gestes ». Deux déclarations emblématiques qui ont aussitôt nourri des controverses politiques et historiographiques, les historiens étant sollicités par les médias ou prenant d'eux-mêmes l'initiative de donner leur avis et leur évaluation de la pertinence des propos de ces deux candidats à la magistrature suprême.
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In: Militärgeschichtliche Mitteilungen: MGM, Heft 1, S. 280
ISSN: 0026-3826
In: Collection "Histoire"
"L'actualité politique au Moyen-Orient, en Turquie et au Maghreb attire notre attention sur la question de la place des minorités dans les régions qui bordent la Méditerranée. La notion moderne de minorité a été généralement présentée par l'historiographie comme le résultat des débats des experts internationaux au lendemain de la Première Guerre mondiale. Or, la Méditerranée du XIXe siècle constitue un terrain particulièrement fécond pour une analyse des multiples dynamiques de la construction des minorités. Cet ouvrage interroge les modalités de la fixation des identités par les États impériaux et par les minorités elles-mêmes. Il accorde une attention particulière à l'articulation entre les critères religieux, linguistiques, nationaux et territoriaux dans la catégorisation de ces identités collectives et individuelles. Il apporte un éclairage sur la mise en place de nouveaux modes d'administration des minorités, montrant les circulations et les transferts des normes et des pratiques, entre minorités au sein d'un même empire, mais aussi d'un empire à l'autre. Privilégiant l'approche comparatiste, ce livre collectif entend contribuer à une histoire croisée des minorités, en faisant dialoguer les historiographies de l'aire ottomane, des mondes coloniaux et de l'Europe."--Page 4 of cover
In: Soziologie der Konventionen
In: Studies in Contemporary European History Volume 14
9 Transnational Cooperation and Criminal Policy10 International Congresses of Education and the Circulation of Pedagogical Knowledge in Western Europe, 1876-1910; 11 From Transnational Reformist Network to International Organization; 12 Shaping Poland; Select Bibliography; Notes on Contributors; Index.