Net energy ratio, EROEI and the macroeconomy
In: Structural change and economic dynamics, Band 37, S. 121-126
ISSN: 1873-6017
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In: Structural change and economic dynamics, Band 37, S. 121-126
ISSN: 1873-6017
In: Mathematical social sciences, Band 75, S. 87-93
We introduce the concept of carbon footprint into an aggregate demand and supply model with imperfectly competitive price and wage formation. We analyse the properties of the short-term macroeconomic equilibrium in the presence of a climate policy, which may take the form either of a carbon tax or of quotas of pollution permits. We show that in the short run climate policy (or its strengthening) is simultaneously a negative aggregate supply shock and a positive aggregate demand shock. It is thus inflationary but it has an ambiguous impact on aggregate economic activity and employment: it will only stimulate output in an economy where nominal wages are rigid enough. In all cases, climate policy will depress real wages. We also analyse the interactions between climate policy and the usual macroeconomic policies of demand (fiscal and monetary stimuli) and supply (labour tax cut). The multiplier effects of these demand and supply policies depend on the instrument chosen for implementing the climate policy (carbon tax or pollution permits). We finally establish the conditions under which a reform combining a climate policy strengthening and a labour tax cut can reach the double objective of a lower carbon footprint and a lower unemployment rate, without reducing workers' real wages. Such a policy reform has however an ambiguous impact on the government surplus (or deficit).
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We introduce the concept of carbon footprint into an aggregate demand and supply model with imperfectly competitive price and wage formation. We analyse the properties of the short-term macroeconomic equilibrium in the presence of a climate policy, which may take the form either of a carbon tax or of quotas of pollution permits. We show that in the short run climate policy (or its strengthening) is simultaneously a negative aggregate supply shock and a positive aggregate demand shock. It is thus inflationary but it has an ambiguous impact on aggregate economic activity and employment: it will only stimulate output in an economy where nominal wages are rigid enough. In all cases, climate policy will depress real wages. We also analyse the interactions between climate policy and the usual macroeconomic policies of demand (fiscal and monetary stimuli) and supply (labour tax cut). The multiplier effects of these demand and supply policies depend on the instrument chosen for implementing the climate policy (carbon tax or pollution permits). We finally establish the conditions under which a reform combining a climate policy strengthening and a labour tax cut can reach the double objective of a lower carbon footprint and a lower unemployment rate, without reducing workers' real wages. Such a policy reform has however an ambiguous impact on the government surplus (or deficit).
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We introduce the concept of carbon footprint into an aggregate demand and supply model with imperfectly competitive price and wage formation. We analyse the properties of the short-term macroeconomic equilibrium in the presence of a climate policy, which may take the form either of a carbon tax or of quotas of pollution permits. We show that in the short run climate policy (or its strengthening) is simultaneously a negative aggregate supply shock and a positive aggregate demand shock. It is thus inflationary but it has an ambiguous impact on aggregate economic activity and employment: it will only stimulate output in an economy where nominal wages are rigid enough. In all cases, climate policy will depress real wages. We also analyse the interactions between climate policy and the usual macroeconomic policies of demand (fiscal and monetary stimuli) and supply (labour tax cut). The multiplier effects of these demand and supply policies depend on the instrument chosen for implementing the climate policy (carbon tax or pollution permits). We finally establish the conditions under which a reform combining a climate policy strengthening and a labour tax cut can reach the double objective of a lower carbon footprint and a lower unemployment rate, without reducing workers' real wages. Such a policy reform has however an ambiguous impact on the government surplus (or deficit).
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Nous introduisons le concept d'empreinte carbone dans un modèle offre globale et demande globale avec formation imparfaitement concurrentielle des prix et salaires et en examinons les propriétés de l'équilibre en présence d'une politique climatique. Nous étudions deux instruments possibles de cette politique, une taxe carbone ou un quota de permis de pollution. Nous montrons qu'à court terme la politique climatique (ou son durcissement) constitue à la fois un choc d'offre globale négatif et un choc de demande globale positif. Elle provoque donc des effets inflationnistes mais a un impact ambigu sur l'activité économique, l'emploi et le chômage. Ce n'est que dans une économie avec des rigidités nominales de salaire suffisantes que la politique climatique stimulera -sous certaines conditions- l'activité à court terme. Dans tous les cas de figure, elle pèsera négativement sur les salaires réels. Nous étudions encore les interactions entre la politique climatique et les politiques macroéconomiques traditionnelles de demande (stimulus budgétaire ou monétaire) et d'offre (baisse des cotisations sociales). Les effets multiplicateurs de ces politiques sont influencés par l'existence d'une politique climatique et diffèrent selon l'instrument choisi (taxe ou permis). Nous montrons les conditions sous lesquelles une réforme combinant durcissement de la politique climatique et baisse des cotisations sociales sur le travail peut engendrer un double dividende (réduction de l'empreinte carbone, baisse du chômage), sans pénaliser les salaires réels des travailleurs. Une telle politique a toutefois des effets incertains sur le solde des finances publiques.
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Nous introduisons le concept d'empreinte carbone dans un mod èle o ffre globale et demande globale avec formation imparfaitement concurrentielle des prix et salaires et en examinons les propriétés de l' équilibre en présence d'une politique climatique. Nous étudions deux instruments possibles de cette politique, une taxe carbone ou un quota de permis de pollution. Nous montrons qu' a court terme la politique climatique (ou son durcissement) constitue à la fois un choc d'off re globale négatif et un choc de demande globale positif. Elle provoque donc des effets inflationnistes mais a un impact ambigu sur l'activité économique, l'emploi et le chômage. Ce n'est que dans une économie avec des rigidités nominales de salaire suffisantes que la politique climatique stimulera -sous certaines conditions- l'activité à court terme. Dans tous les cas de figure, elle p èsera négativement sur les salaires réels. Nous étudions encore les interactions entre la politique climatique et les politiques macro économiques traditionnelles de demande (stimulus budgetaire ou moné taire) et d'off re (baisse des cotisations sociales). Les eff ets multiplicateurs de ces politiques sont influencés par l'existence d'une politique climatique et diff èrent selon l'instrument choisi (taxe ou permis). Nous montrons les conditions sous lesquelles une réforme combinant durcissement de la politique climatique et baisse des cotisations sociales sur le travail peut engendrer un double dividende (réduction de l'empreinte carbone, baisse du chômage), sans p pénaliser les salaires r réels des travailleurs. Une telle politique a toutefois des e ffets incertains sur le solde des fi nances publiques.
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Nous introduisons le concept d'empreinte carbone dans un modèle offre globale et demande globale avec formation imparfaitement concurrentielle des prix et salaires et en examinons les propriétés de l'équilibre en présence d'une politique climatique. Nous étudions deux instruments possibles de cette politique, une taxe carbone ou un quota de permis de pollution. Nous montrons qu'à court terme la politique climatique (ou son durcissement) constitue à la fois un choc d'offre globale négatif et un choc de demande globale positif. Elle provoque donc des effets inflationnistes mais a un impact ambigu sur l'activité économique, l'emploi et le chômage. Ce n'est que dans une économie avec des rigidités nominales de salaire suffisantes que la politique climatique stimulera -sous certaines conditions- l'activité à court terme. Dans tous les cas de figure, elle pèsera négativement sur les salaires réels. Nous étudions encore les interactions entre la politique climatique et les politiques macroéconomiques traditionnelles de demande (stimulus budgétaire ou monétaire) et d'offre (baisse des cotisations sociales). Les effets multiplicateurs de ces politiques sont influencés par l'existence d'une politique climatique et diffèrent selon l'instrument choisi (taxe ou permis). Nous montrons les conditions sous lesquelles une réforme combinant durcissement de la politique climatique et baisse des cotisations sociales sur le travail peut engendrer un double dividende (réduction de l'empreinte carbone, baisse du chômage), sans pénaliser les salaires réels des travailleurs. Une telle politique a toutefois des effets incertains sur le solde des finances publiques.
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We introduce the concept of carbon footprint in a global mod and global demand with imperfect competitive formation of prices and wages and examine the properties of equilibrium in the presence of a climate policy. We are exploring two possible instruments of this policy, a carbon tax or a pollution permit quota. We show that in the short term climate policy (or its tightening) is both a negative overall shock and a positive global demand shock. It therefore causes inflationary effects but has an ambiguous impact on economic activity, employment and unemployment. It is only in an economy with sufficient nominal wage rigidities that climate policy will — under certain conditions — stimulate short-term activity. In all cases, it will be negative on real wages. We are still studying the interactions between climate policy and traditional macro economic policies of demand (budgetary or monetary stimulus) and off (reduction in social security contributions). The multipliers of these policies are influenced by the existence of a climate policy and divide according to the instrument chosen (tax or permit). We show the conditions under which a reform combining tighter climate policy and lower social contributions on labour can lead to a double dividend (reduction of the carbon footprint, reduction of unemployment), without penalising workers' actual wages. However, such a policy has uncertain effects on the government balance. ; Nous introduisons le concept d'empreinte carbone dans un mod èle o ffre globale et demande globale avec formation imparfaitement concurrentielle des prix et salaires et en examinons les propriétés de l' équilibre en présence d'une politique climatique. Nous étudions deux instruments possibles de cette politique, une taxe carbone ou un quota de permis de pollution. Nous montrons qu' a court terme la politique climatique (ou son durcissement) constitue à la fois un choc d'off re globale négatif et un choc de demande globale positif. Elle provoque donc des effets inflationnistes mais a un impact ...
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Nous introduisons le concept d'empreinte carbone dans un mod èle o ffre globale et demande globale avec formation imparfaitement concurrentielle des prix et salaires et en examinons les propriétés de l' équilibre en présence d'une politique climatique. Nous étudions deux instruments possibles de cette politique, une taxe carbone ou un quota de permis de pollution. Nous montrons qu' a court terme la politique climatique (ou son durcissement) constitue à la fois un choc d'off re globale négatif et un choc de demande globale positif. Elle provoque donc des effets inflationnistes mais a un impact ambigu sur l'activité économique, l'emploi et le chômage. Ce n'est que dans une économie avec des rigidités nominales de salaire suffisantes que la politique climatique stimulera -sous certaines conditions- l'activité à court terme. Dans tous les cas de figure, elle p èsera négativement sur les salaires réels. Nous étudions encore les interactions entre la politique climatique et les politiques macro économiques traditionnelles de demande (stimulus budgetaire ou moné taire) et d'off re (baisse des cotisations sociales). Les eff ets multiplicateurs de ces politiques sont influencés par l'existence d'une politique climatique et diff èrent selon l'instrument choisi (taxe ou permis). Nous montrons les conditions sous lesquelles une réforme combinant durcissement de la politique climatique et baisse des cotisations sociales sur le travail peut engendrer un double dividende (réduction de l'empreinte carbone, baisse du chômage), sans p pénaliser les salaires r réels des travailleurs. Une telle politique a toutefois des e ffets incertains sur le solde des fi nances publiques.
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Nous introduisons le concept d'empreinte carbone dans un mod èle o ffre globale et demande globale avec formation imparfaitement concurrentielle des prix et salaires et en examinons les propriétés de l' équilibre en présence d'une politique climatique. Nous étudions deux instruments possibles de cette politique, une taxe carbone ou un quota de permis de pollution. Nous montrons qu' a court terme la politique climatique (ou son durcissement) constitue à la fois un choc d'off re globale négatif et un choc de demande globale positif. Elle provoque donc des effets inflationnistes mais a un impact ambigu sur l'activité économique, l'emploi et le chômage. Ce n'est que dans une économie avec des rigidités nominales de salaire suffisantes que la politique climatique stimulera -sous certaines conditions- l'activité à court terme. Dans tous les cas de figure, elle p èsera négativement sur les salaires réels. Nous étudions encore les interactions entre la politique climatique et les politiques macro économiques traditionnelles de demande (stimulus budgetaire ou moné taire) et d'off re (baisse des cotisations sociales). Les eff ets multiplicateurs de ces politiques sont influencés par l'existence d'une politique climatique et diff èrent selon l'instrument choisi (taxe ou permis). Nous montrons les conditions sous lesquelles une réforme combinant durcissement de la politique climatique et baisse des cotisations sociales sur le travail peut engendrer un double dividende (réduction de l'empreinte carbone, baisse du chômage), sans p pénaliser les salaires r réels des travailleurs. Une telle politique a toutefois des e ffets incertains sur le solde des fi nances publiques.
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In: Cahiers d'économie politique, Band 32, Heft 1, S. 99-116
This paper focuses on the impact of technical progress on growth in the framework of a vintage capital model. This structure of capital allows for creative destruction, in the sense that the obsolescence of capital results from embodied technical progress in new equipments. The rate of growth is endogenous in Harrod-Domar's way and depends on a rate of technical progress which remains exogenous, contrary to what happens in endogenous growth theory. The model reduces to a system of linear differential-difference equations. Under a certain level of technical progress, the rate of growth is asymptotically constant. Above it, the model oscillates around a stationary state. Even if its impact is positive in a partial equilibrium context, an increase in the rate of technical progress has a negative impact on growth in a general equilibrium framework.
In: Journal of economics, Band 66, Heft 3, S. 223-247
ISSN: 1617-7134
In: Mathematical social sciences, Band 59, Heft 2, S. 208-226
In: Revue économique, Band 57, Heft 2, S. 219
ISSN: 1950-6694