U.S. and EU agriculture: comparisons and linkages
In: Agriculture issues and policies
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In: Agriculture issues and policies
1. Introduction -- 2. Institutional Trust and Individual Decision Making -- 3. Institutional Trust and Policymaking in the EMU -- 4. Fiscal Developments in the EU-15, 1992-2007 -- 5. The Maastricht Process in the CEE-10 -- 6. Financial Crisis in the EU-25 -- 7. The Relevance of Trust for Economic Outcomes
In: Zeitschrift für Informationsrecht: ZIR, Heft 3, S. 276-276
ISSN: 2309-754X
This book offers a broad perspective on some of the organizational and financial problems faced by cities and local governments across Europe and analyses the reactions and reforms implemented to address current economic and public finance conditions. The geographical coverage of the case studies, multidisciplinary background of the contributing authors and focus on a multiplicity of issues and challenges that confront local governments, not just financial issues as is often the case, means this book is relevant to a wide readership.
In: Veröffentlichungen des HWWA-Institut für Wirtschaftsforschung, Hamburg
World Affairs Online
In: Revue de l'Union Européenne, Band 546, S. 147-155
ISSN: 0035-2616
World Affairs Online
The unfolding economic crisis has unequivocally proved that neoliberal policies were no better for growth than for social progress. As poverty and inequality are rising to alarming levels in Europe, the old continent seems at a loss to respond. Political leaders seem content to liquidate the social gains made by workers' struggles. A small minority, possibly even smaller than 1 per cent, associated with the financial sector, stands to benefit from a deepening of neoliberalism.
In: Revue de l'Union Européenne, Heft 546
ISSN: 0035-2616
Sous la direction d'Éric Heyer, Xavier Timbeau ; International audience ; La dynamique de croissance mondiale entrevue au printemps 2015 se confirme avec une consolidation de la reprise dans les pays industrialisés et, en particulier, une accélération du rythme de croissance dans la zone euro qui devrait s'établir à 1,5 % en 2015 puis 1,8 % en 2016-2017 contre 0,9 % en 2014. Les facteurs qui ont soutenu la croissance depuis la fin de l'année 2014 restent favorables (prix du pétrole, taux de change et politique monétaire) et les politiques budgétaires sont globalement moins restrictives. Alors que les pays émergents avaient bien résisté à la crise de 2008-2009 et au ralentissement du commerce mondial, ils sont aujourd'hui exposés à la baisse des prix des matières premières, à l'instabilité provoquée par la sortie de politiques monétaires très expansives et à la mutation du régime de croissance de l'économie chinoise. Si les économies émergentes d'Asie seront les plus touchées par le ralentissement de la première puissance commerciale, les pays développés en subiront aussi les effets négatifs via un ralentissement de leur demande extérieure. Ce choc négatif entraînera un découplage de la croissance avec un ralentissement des pays en développement (3,2 % de croissance en 2015 contre une moyenne de 4,6 % sur la période 2012-2014) et une accélération de la croissance des pays avancés (1,9 % de croissance en 2015 contre 1,2 % sur la période 2012-2014). Le retour de la croissance dans les pays développés ne doit pas cependant masquer la fragilité du scénario de reprise qui s'appuie en partie sur des facteurs volatils et qui reste freiné par la poursuite du désendettement privé et la volonté de réduire à tout prix l'endettement public. La reprise aura besoin d'un autre carburant que la baisse du prix du pétrole pour être auto-entretenue. À la vieille de la COP21, le monde ne manque pas d'opportunités d'investissements rentables socialement. Peut-être jamais dans l'histoire des économies développées un tel retard ...
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Sous la direction d'Éric Heyer, Xavier Timbeau ; International audience ; La dynamique de croissance mondiale entrevue au printemps 2015 se confirme avec une consolidation de la reprise dans les pays industrialisés et, en particulier, une accélération du rythme de croissance dans la zone euro qui devrait s'établir à 1,5 % en 2015 puis 1,8 % en 2016-2017 contre 0,9 % en 2014. Les facteurs qui ont soutenu la croissance depuis la fin de l'année 2014 restent favorables (prix du pétrole, taux de change et politique monétaire) et les politiques budgétaires sont globalement moins restrictives. Alors que les pays émergents avaient bien résisté à la crise de 2008-2009 et au ralentissement du commerce mondial, ils sont aujourd'hui exposés à la baisse des prix des matières premières, à l'instabilité provoquée par la sortie de politiques monétaires très expansives et à la mutation du régime de croissance de l'économie chinoise. Si les économies émergentes d'Asie seront les plus touchées par le ralentissement de la première puissance commerciale, les pays développés en subiront aussi les effets négatifs via un ralentissement de leur demande extérieure. Ce choc négatif entraînera un découplage de la croissance avec un ralentissement des pays en développement (3,2 % de croissance en 2015 contre une moyenne de 4,6 % sur la période 2012-2014) et une accélération de la croissance des pays avancés (1,9 % de croissance en 2015 contre 1,2 % sur la période 2012-2014). Le retour de la croissance dans les pays développés ne doit pas cependant masquer la fragilité du scénario de reprise qui s'appuie en partie sur des facteurs volatils et qui reste freiné par la poursuite du désendettement privé et la volonté de réduire à tout prix l'endettement public. La reprise aura besoin d'un autre carburant que la baisse du prix du pétrole pour être auto-entretenue. À la vieille de la COP21, le monde ne manque pas d'opportunités d'investissements rentables socialement. Peut-être jamais dans l'histoire des économies développées un tel retard d'investissement n'aura été aussi manifeste, alimentant le risque de rester prisonnier du piège de la stagnation séculaire.
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In: Collection droit de l'Union européenne. Textes et commentaires 8
Banking regulation is an economically powerful and politically very salient instrument of economic policy. After all, the financial crisis had derived from an over-leveraged banking system obviating the importance of banking regulation for the functioning of regulatory capitalism. Gundbert Scherf's research focuses on this nexus between integrated banking, supranational monetary policy and national banking regulation. He finds that national level differences in financial systems and related institutions explain and drive variation in regulatory financial stability policy across countries. Applying game-theoretical rigor to political economy interactions, Gundbert Scherf develops a model of time-inconsistent supervisory policy as well as international competition in regulatory standards. He shows how these patterns lead to financial instability, by analyzing the original members of the Euro Zone as well as the US and the UK in the years leading up to the financial crisis of 2007/8. Contents · Varieties of financial systems and regulatory preferences · Banking regulation in an integrating financial market · Interaction of banking supervision and monetary policy · Time consistency problems in supervisory policy Target Groups · Researchers and students in the fields of economics, political economy, and finance interested in financial systems, regulation and supervisory policy · Central bankers, regulators, and executives in banking and finance The Author Dr. Gundbert Scherf wrote his dissertation under the supervision of Prof. Dr. Henrik Enderlein, Chair of Political Economy, at the Freie Universität Berlin.