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Das seinerzeit unter den Polen und Italienern ziemlich populäre Tagesblatt "L'Espérance" erschien unter der Leitung des Franzosen Armand Lévy von 1859 bis 1861 in Genf. Lévy stand in Verbindung mit dem Prinzen Napoleon, bekannt unter den Spottnamen Plon-Plon und "roter" Prinz. Die "Espérance" war aber kein von der französischen Regierung subventioniertes Blatt. Sie nahm finanzielle Unterstützungen ausschliesslich von den gegen ihre eigenen Regie-rungen kämpfenden Patrioten an, hauptsächlich wohl von Italienern und Polen. Cavour gewährte der Zeitung keine Unterstützung, weil er sich mit Preussen und Russland nicht verfeinden wollte.

Cape Verde Islands' economic and political developments since President Antonio Mascarenhas Monteiro came to power in 1991; some focus on democratization and transition to a free market economy; 24-page section.

La première phase de la Nouvelle Politique Industrielle Sénégalaise (1986-1988) s'est traduite par une baisse importante de la production et de l'emploi. Aux erreurs de conception initiales, sont venus s'adjoindre des décalages préjudiciables dans le calendrier d'exécution des mesures et un ensemble d'aléas externes, climatiques et politiques. Une reprise durable de l'activité industrielle supposerait, au minimum, une meilleure coordination des instruments de politique économique, une active promotion industrielle vers les opérateurs extérieurs et une attention plus grande vis à vis de l'intégration ouest africaine. (Résumé d'auteur)

Unlängst mir zugänglich gemachtes und von mir neuaufgefundenes Archivmaterial wirft zusätzliches Licht auf die Geschichte des Genfer Tageblattes "L'Espérance".

Communication (non publiée) lors de la journée d'études "Eschatologie et espérance", Paris, 7 novembre 2013, Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, Institut d'Étude des faits religieux (Université d'Artois) ; National audience ; Tous droits réservés Guilhen ANTIER Eschatologie et espérance : quelques thèses pour aujourd'hui L'objet de cette communication ainsi que le délai imparti me conduiront à m'exprimer sous une forme plus assertorique que démonstrative. En 1525, dans son traité "Du serf-arbitre", en pleine controverse avec Érasme, Luther déclarait déjà : « […] ce n'est pas se conduire en chrétien, que de craindre les affirmations. » Peut-être est-ce, au final, cela qui à notre époque fait défaut : un geste affirmatif, une parole subjectivement engagée, une lame qui tranche le nœud gordien des systèmes de savoir-la gratuité d'un appel, en somme, qui invite chacun à risquer une réponse singulière. J'articulerai ici les thèmes de l'eschatologie et de l'espérance sous forme de thèses qui seront autant d'invites à la discussion. Il y en aura vingt-quatre. Ces propositions s'organisent autour d'une conviction centrale qui, même si je ne n'y ferai pas toujours explicitement référence, irriguera de manière souterraine mon propos : l'événement eschatologique par excellence dans le Nouveau Testament est la mort de Jésus sur une croix. Cet événement marque, pour les croyants, le commencement d'un nouveau rapport à soi-même et au monde en tant que subversion de la logique des puissances : c'est dans la faiblesse d'un crucifié que s'accomplit la puissance de vie de l'amour divin (cf. 1 Co 1,18-2,5). Les représentations imaginaires de la puissance (religieuses, politiques, économiques, sociales…) s'en trouvent disqualifiées dans leur prétention à dire sans reste la vérité du sujet et du monde, de sorte que dans le temps post-pascal qui est le nôtre, « l'eschatologique est caché dans le non-eschatologique ». Pour le formuler autrement, ce que l'on peut considérer comme l'ultime ou l'absolu ne se laisse découvrir que ...