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Non-cooperative Bargaining with Arbitrary One-Sided Uncertainty -- An Adaptive Proportional Value-per-Click Agent for Bidding in Ad Auctions -- Improving Prediction in TAC SCM by Integrating Multivariate and Temporal Aspects via PLS Regression -- Testing Adaptive Expectations Models of a Continuous Double Auction Market against Empirical Facts -- Autonomously Revising Knowledge-Based Recommendations through Item and User Information -- A Bidding Agent for Advertisement Auctions: An Overview of the CrocodileAgent 2010 -- Dealing with Trust and Reputation in Unreliable Multi-agent Trading Environments -- Analysis of Stable Prices in Non-Decreasing Sponsored Search Auction -- Acceptance Strategies for Maximizing Agent Profits in Online Scheduling

Globalisation forces all countries to become more competitive by shifting capital and labour to new economic sectors. However, while it is widely accepted today that proactive industrial policies are needed for such structural change, there is disagreement to what extent low and middle-income countries are also able to design and implement such policies without ending up with perverse incentives for investors and bureaucrats, the creation of rents and less allocative efficiency. This discussion paper looks at the experience of Egypt with industrial policies during President Mubarak's last years in office. The country is a particularly interesting case to be studied because it looks back to a long history of very top-down industrial policies, while the last government before the revolution, which had been appointed by Mubarak 2004, embarked on a very different, much more market friendly course. The question is thus whether this government, which included a considerable number of big business people, was better able to promote structural change and thereby economic competitiveness without favouring well-connected groups of entrepreneurs at the expense of others. The paper argues that Egypt's new industrial policy adopted after 2004 was in fact less interventionist, selective and redistributive than earlier ones and oriented more towards demand, and that it boosted foreign direct investment, exports and economic growth. But this growth was neither pro-poor nor sustainable; it was mainly based on short-term effects and the export of primary goods rather than structural change and innovation. The new government was able to improve entrepreneurs' access to finance, simplify tax rates and procedures and cut away red tape. But it did not succeed in raising the technology contents of Egyptian exports, firms' business sophistication and technology absorption, and the level of applied research and innovation. The main reason for this failure is that the business men in office apparently did not understand that many small and medium enterprises face very other problems than themselves and that the causes of these problems are too fundamental to be relieved just by a change in economic policies. These causes include significant deficits in the quality of education and training in Egypt, in the rule of law, in the transparency and fairness of administrative and judicial procedures, in private sector representation and in the availability of affordable land for production. In addition, the government missed to help overcome failures in the coordination of investors that typically prevent structural change.

المؤتمر العلمي السنوي لكلية العلوم السياسية 2011

Résumé En 2005, Paul Wynants avait consacré deux livraisons du Courrier hebdomadaire à l'évolution du PSC depuis 1981 et à sa transformation en CDH. Poursuivant son étude, il propose un examen approfondi de l'histoire récente du parti démocrate humaniste francophone entre l'été 2004 et la fin de l'année 2011. Cette période est notamment marquée par le retour du CDH au gouvernement fédéral en décembre 2007 – échelon dont il était absent depuis l'éviction du PSC en 1999 – et par les longues négociations institutionnelles qui ont jalonné les années 2007-2011. Elle a également vu la fin des douze années de présidence de Joëlle Milquet et l'arrivée de Benoît Lutgen à la tête du parti, en août 2011. C'est à la période qui s'étend de juin 2004 à décembre 2007 qu'est consacrée la première partie de cette étude. Dans ce Courrier hebdomadaire, l'auteur fait le point sur le processus de transformation du parti au printemps 2004, soit à la veille du retour des démocrates humanistes au pouvoir en Région wallonne, en Région de Bruxelles-Capitale et en Communauté française. Ensuite, il examine la période qui s'étend de juin 2004 à juin 2007, au cours de laquelle le CDH gouverne dans ces trois entités fédérées, tout en adoptant une attitude d'opposition constructive au gouvernement Verhofstadt II. Enfin, il analyse le second semestre de l'année 2007, marqué par les infructueuses tentatives de constituer une coalition orange bleue au niveau fédéral. Outre retracer l'histoire du CDH de manière distanciée, Paul Wynants s'est fixé pour objectif de répondre à cette question fondamentale : dans quelle mesure le CDH est-il un nouveau parti, en rupture avec l'héritage du PSC, ou est-il simplement la continuation, sous une autre forme, de l'ancienne formation sociale-chrétienne ?

Résumé La seconde partie de l'étude de Paul Wynants consacrée à l'évolution récente du CDH couvre l'époque s'étendant de décembre 2007 à la fin de l'année 2011. Cette période s'ouvre avec le retour du CDH au gouvernement fédéral, au sein du cabinet Verhofstadt III. Depuis 2004, le parti était déjà associé à l'exercice du pouvoir en Région wallonne, en Région de Bruxelles-Capitale et en Communauté française. Désormais, si la rénovation interne demeure une préoccupation et se poursuit, elle cède partiellement le pas à une autre priorité : prouver sa crédibilité comme parti de gouvernement. Le présent Courrier hebdomadaire analyse tout d'abord la participation du CDH aux gouvernements fédéraux qui se sont succédé de 2007 à 2009, en prolongeant jusqu'en décembre 2011 l'examen de la politique menée par les ministres du CDH. Parmi les multiples dossiers traités, figurent notamment la réaction à apporter à la crise financière mondiale et les mesures à prendre en matière d'emploi. Ensuite, l'auteur traite des politiques menées par les ministres démocrates humanistes dans les entités fédérées. Enfin, le dernier chapitre porte sur une période particulièrement agitée de la vie politique belge : les années 2010 et 2011, marquées par la chute du cabinet Leterme II et par une crise gouvernementale d'une longueur sans précédent (541 jours). Au cours de cette période, le CDH connaît également un important changement interne : en août 2011, succédant à Joëlle Milquet, Benoît Lutgen accède à la présidence du parti. En conclusion, Paul Wynants poursuit sa réflexion sur la mesure dans laquelle le Centre démocrate humaniste se démarque de l'ancien Parti social-chrétien ou, au contraire, assume son héritage.